Témoignage : Le jus de curcuma une forme supérieure d’action ?

La potentielle action anti-cancéreuse du curcuma tant en prévention qu’en soin est largement relayée dans la blogosphère y compris sur ce blog. Il semblerait que sa forme d’absorption la plus efficace soit le jus. Ce qui m’a intéressé dans cet article c’est que l’auteur de l’article a testé le produit (en action préventive) et fait un rapport sans complexe de son expérience et présente ses arguments.

1 personne sur 3 a eu, a, ou aura à affronter le problème du cancer dans sa vie. Tous les moyens préventifs et curatifs sont donc à mettre en œuvre pour lutter contre ce qui est une véritable pandémie. Le curcuma est reconnu comme faisant  partie de ces moyens, 

Test personnel

J’ai aussitôt testé le produit et j’en suis à mon troisième flacon. La dose recommandée va de une cuillère à café 2 fois par jour à deux cuillères à soupe (en cas de cancer). Bien que je n’ai pas de problème de ce côté, du moins à ma connaissance, j’ai opté pour la manière forte. Je n’ose pas trop le dire mais j’ai ressenti rapidement un effet tonique, or je suis généralement insensible à ce genre de complément. Cela s’est traduit par l’enlèvement de la sensation de fatigue et de lourdeur dans les jambes. Or il se trouve que je vis dans une région qui n’est pas du tout plate et où la topographie impose beaucoup d’escaliers assez raides. Je n’en suis pas à courir et à monter les marches 4 à 4 car il me faudrait sans doute perdre 10 kg sur la moyenne de 86 mais en revanche j’ai pu faire un parcours en montagne avec des creux et des bosses assez prononcées sans ressentir la fatigue d’avant. Cette course m’a du reste parue beaucoup plus courte. J’observe d’autre port un effet sur mon humeur qui est devenue plus égale et la motivation. Je ne traîne plus les pieds pour accomplir certaines tâches. Pourvu que cela doure comme disait la copine à Napoléon ! Je croise les doigts…

Une thèse sur le curcuma très fouillée

Mon correspond m’a fait découvrir une thèse sur le curcuma et le pharmacien inventeur a fait partie du jury. Il s’agit de Jean-Claude Sonntag pharmacien à Nancy (Pharmacie des Thermes). Cliquez sur le lien suivant pour télécharger la thèse :

http://docnum.univ-lorraine.fr/public/SCDPHA_T_2010_HOMBOURGER_CHRISTELLE.pdf

Voici un diaporama sur le curcuma, plus « digeste », pour ceux qui veulent un raccourci sur les principales propriétés du curcuma.

http://silicium.blogspirit.com/files/Curcuma.pdf

Le curcuma étant placé assez haut dans la liste des antioxydants, il ne convient pas de l’utiliser en même temps que l’artémisinine. On me demande s’il est compatible avec la chimio. Il y a quelques indications à ce sujet dans la thèse mais les chimiothérapies étant des bombes plus ou moins destructrices, on ne voit pas trop l’intérêt d’ajouter le curcuma. Ma position est très arrêtée à ce sujet : si j’ai le malheur de faire un cancer je refuserai les traitements classiques sauf éventuellement la chirurgie si elle est praticable. Mais il va de soi que je me garderai bien d’insister si on me demande conseil. Les patients doivent être laissé libres, le refus doit venir d’eux et non des proches ou des amis…

Histoire de ce jus de curcuma

Ce jus à une histoire : le pharmacien l’a d’abord fait pour son usage personnel. A noter qu’il s’agit d’un ancien élève de Jean-Marie Pelt, le grand expert en plantes médicales qui vient hélas de décéder récemment. Tout s’explique !

Nous avons à peu près le même âge à cinq mois près (69 ans passé). Il s’est mis en quête à titre de prévention d’un antioxydant et a choisi le curcuma. Il a commencé par une petite presse et une production artisanale puis en a fourni à quelques clients. Trois cas l’ont particulièrement impressionné : celui d’une femme qui avec ce jus de curcuma et un régime est venue à bout d’un cancer du sein, celui d’un cancer de la prostate très virulent qui a été neutralisé à tel point que les médecins ont dit au patient : vous avez du faire quelque chose. On ne peut pas vous déclarer guéri parce que l’on n’y comprend rien. D’où la proposition d’un simple suivi. A noter que si les PS ne sont pas spécifiques, elles ont chuté ! Troisième cas, c’est celui d’un musicien d’orchestre atteint de sclérose en plaque, contraint à rouler en fauteuil. Au début c’est son amie qui venait chercher le produit. Ensuite, au grand étonnement du vendeur, il est venu à pied et sans béquilles et trouve cela tout-à-fait normal !

Je ne saurais évidemment garantir quoique ce soit mais ce sur quoi il m’importe d’insister c’est que le jus de curcuma est la meilleure façon d’absorber la plante. Soit vous vous procurez le produit sous forme de tubercules frais et mâchez un ou deux doigt matin et soir en avalant tout, soit vous optez pour le produit en bouteille avec un peu d’eau. A jeun, ce n’est pas indigeste mais vous risquez des « remontées ». Mâcher et avaler est mieux que passer au blender parce qu’on ne perd rien. Or le pharmacien a constaté que le « foin » qui reste après pressage est incompostable, il reste pratiquement intact, preuve qu’il demeure dans le résidu des principes actifs qui empêchent la fermentation et la dégradation.

Différence entre les jus et les extraits

SUITE DE L’ARTICLE et tous renseignement pour se procurer le produit ici

http://silicium.blogspirit.com/

(NDLR : Je ne connais pas personnellement l’auteur de l’article. Je n’ai donc aucune garantie de sa bonne foi, mais ayant exploré d’autres de ses publications, il m’a semblé que l’on pouvait lui accorder du crédit.)

Merci à Fabien qui nous a transmis ce lien.

Commentaires sont clos