Les pro-européens britanniques ne lâchent rien.  Le parlement en majorité contre le Brexit sont entrain de mettre des bâtons dans les roues à Theresa May en prétextant, pour résumer grossièrement, qu’ils n’ont pas eu leur mot à dire et que la premier Ministre n’a pas à enclencher l’article 50 sans qu’ils aient donné leur avis, on sait lequel.  Ne pouvant pas s’opposer clairement au résultats du référendum, ils sont entrain de créer une querelle constitutionnelle.

Ce que le peuple a décidé à la majorité (52%) est donc remis en question grâce à un biais juridique par l’establishment. Nous lisons dans l’article du Monde, fleuron du même establishment qu’après tout, 52% est « relativement serré ». Je rappelle ici ses propres chiffres au moment du vote (1). Vous constaterez que seuls l’Ecosse, l’Irlande et le grand Londres on voté contre le Brexit. Tout le reste de l’ile Britannique a voté majoritairement pour.  Il apparait que la victoire du Brexit est claire et nette, mais pas pour les grands démocrates pro-européens

En résumé, Teresa May dont certains émettent un doute sur sa légitimité puisque non issue d’un processus électoral,  est mise en difficulté par un Parlement qui refuse de s’incliner devant la volonté des gueux. Il fallait s’y attendre