Sale temps pour Hillary ! Inconséquences coupables et problèmes de santé MAJ

MAJ 04/09/16 – Un article éclairant à lire sur Hillary Clinton

Le site les Crises publie aujourd’hui cette analyse de Stephane Trano qui vit aux États Unis et suit les élections américaines pour Marianne. On ne peut guère le soupçonner de soutenir Trump, il a déclaré dans uns de ses articles que s’il devait voter ce serait pour H .Clinton « par défaut ».
Selon lui, même les grands médias US acquis à la candidate démocrate commencent à émettre des doutes et pas des moindre, (liens dans l’article). Certains commencent à réclamer carrément la fermeture de la sulfureuse Fondation.
En ce qui concerne cette fondation Clinton, vous découvrirez que certains pays comme l’Ukraine (qui, sinon les oligarques ?) et l’Arabie Saoudite sont très très généreux.  Pour la GB on est moins surpris. Même la France est dans le coup avec 800 000 dollars, argent que les donateurs auraient certainement pu employer utilement chez nous* :  Nous avons des assoc utiles et bénévoles qui meurent par manque de financement. Mais dans ce cas, le « retour sur investissement » est nul…  Je vous laisse juges.

[*Le classement par pays ne signifie pas que ce sont directement les états qui versent le soutien mais de « généreux donateurs privés » dont c’est la nationalité, ce qui, de mon point de vue est beaucoup plus trouble.]

http://www.les-crises.fr/clinton-une-course-contre-la-montre-face-aux-affaires-par-stephane-trano/

Si vous avez encore un peu de courage, deux billets du site de defensa spécialisé en analyses géo-politique (anti-clintonien mais pas spécialement séduit par Trump)

http://www.dedefensa.org/article/et-soudain-hillary-devient-pathetique

La deuxième analyse est un article du très sérieux US News & World Report qui pose une question jamais posée jusqu’alors (c’est un détail important) : “Que se passerait-il si, peu avant l’élection, l’un des deux candidats mourait ou bien abandonnait la course ?”.

Pourquoi une question ignorée jusqu’à présent arrive-t-elle sur le tapis ? Est-ce la question de la santé d’HC ? Est-ce la probabilité de révélations supplémentaires (promises par Julian Assange) qui la mettraient hors course ? Est-ce la possibilité de l’assassinat de D. Trump par un système acculé ?

Pures supputations, c’est vrai… Mais cette élection américaine tourne au thriller.  Prochain chapitre avant le 26/9 prochain ?

http://www.dedefensa.org/article/usa-2016-au-cas-catastrophique-ou

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03/09/16

Quelque soient les façons dont on interprète cette affaire de courriers privés de la candidate à la Maison Blanche, elle pose de façon sérieuse le problème de sa santé, sujet tabou dans les médias outre-atlantique. Dans ce cas précis, on ne peut pas donner tort à Donald  Trump lorsqu’il s’interroge sur l’opportunité de confier les clés de l’État le plus puissant du monde à une femme en mauvaise santé et sujette aux « trous de mémoires ».. Des vidéos circulent sur le net qui montrent qu’Hillary Clinton ne semble pas en possession de tous ses moyens, mais leur crédibilité n’est pas prouvée.

Elle est probablement sous traitement lourd et une thrombose cérébrale (attaque ou AVC)  même traité à temps, n’est ni sans conséquences ni sans risques pour l’avenir. Selon les chiffres de l’article ci-dessous, (1) un patient sur deux entamera une dépression et 1 patient sur 4 une démence.  Mais nous pouvons supposer qu’Hillary est suivie par l’élite de la médecine cardio-vasculaire mondiale. 

Le FBI publie des notes défavorables à Hillary Clinton

Des notes d’enquête inédites du FBI ont renforcé vendredi les accusations de négligence fragilisant Hillary Clinton dans sa campagne présidentielle. Elles révèlent que la candidate a jonglé avec les données confidentielles quand elle était secrétaire d’Etat.

Une nouvelle fois la favorite des sondages pour l’élection du 8 novembre se retrouve rattrapée par la controverse sur ses emails. L’affaire empoisonne sa course vers la Maison Blanche et fournit des munitions à ses adversaires.

Alors qu’elle dirigeait la diplomatie américaine, Mme Clinton a utilisé un serveur privé non sécurisé. Et ce malgré la sensibilité des dossiers dont elle était chargée.

Selon les 58 pages de documents publiés vendredi, elle a expliqué à la police fédérale qu’elle « faisait confiance » à ses interlocuteurs afin que ceux-ci fassent attention à ne pas lui envoyer d’informations sensibles par email. Et elle a confié ignorer que l’annotation « C » figurant sur certains documents signifiait « confidentiel ».

Hillary Clinton a aussi utilisé 13 téléphones portables susceptibles d’avoir envoyé des emails par son serveur personnel clintonemail.com.

Trous de mémoire
Ces notes du FBI, dont de larges portions ont été expurgées de données confidentielles, retranscrivent notamment l’interrogatoire de l’ancienne secrétaire d’Etat par les policiers fédéraux.

On y apprend que Hillary Clinton « a affirmé n’avoir reçu du département d’Etat aucune instruction ou directive quant à l’archivage ou la protection de données alors qu’elle se préparait à quitter ses fonctions de secrétaire d’Etat en 2013 ».

« Toutefois, Mme Clinton a subi en décembre 2012 une commotion cérébrale et souffrait vers le Nouvel an d’un caillot sanguin (dans le crâne). Suivant les conseils de son médecin, elle ne pouvait travailler au département d’Etat que quelques heures par jour et ne parvenait pas à se souvenir de chacun des briefings auxquels elle assistait », poursuit le rapport du FBI.

La commotion cérébrale et le caillot sanguin de Mme Clinton sont déjà connus. Mais l’affirmation du FBI sur les trous de mémoire de la responsable est nouvelle et pourrait être exploitée par le camp Trump, pour qui la santé de la candidate est un nouvel angle d’attaque.

Réactions 

(Article AFP). Lire la suite : http://www.romandie.com/news/Le-FBI-publie-des-notes-defavorables-a-Hillary-Clinton/733553.rom

(1) – L’attaque cérébrale par l’Union des Médecins Libéraux de La Réunion

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