Avoir confiance en soi : Une des clefs du bonheur

Sous des apparences très étudiées et derrière des scenarii théâtraux parfois très fins, difficile de mesurer la réelle confiance en soi des adultes.  Il ne s’agit pas ici d’aplomb, de culot, de provocations dont on sent bien la fausse note dans le concert. Il s’agit de cette certitude intérieure, sereine, sans orgueil mais sans soumission non plus, cette impression de stabilité naturelle, de confiance en ce que l’on est, dans ses imperfections et ses talents, qui permet l’ouverture aux autres, la tolérance, la solidarité. On est bien dans sa peau, l’autre n’est plus un danger. « Parce que j’ai confiance en moi, je peux me permettre de faire confiance à l’autre, avec tolérance et légèreté » :  Et ça, c’est une des clés du bonheur.

Beau programme, n’est-ce pas ?

Le doute de nous-même a de nombreuses racines, notamment, comme vous le lirez, dans nos blessures anciennes. Ce n’est pas tout. Malheureusement, notre société basée sur la communication à tout va est déstructurante. Elle vous bombarde de modèles pré-mâchés, de faux idéaux creux et inatteignables, une vision de la réussite qu’elle a décidé. Devant le flot d’informations dirigées pour nous modeler nous finissons par ne plus savoir ce que nous pensons ou voulons vraiment. 

Dans ce flou psychologique entretenu la plupart du temps par la peur de ne pas être à la hauteur (quelle hauteur ? De quoi ?) la seule réponse qui nous permet de faire face est notre capacité à faire confiance à nos ressources intérieures et agir en harmonie avec ces pensées-là, pas celles que nous programment les informations dont nous sommes bombardés à longueur de journées par l’extérieur et auxquelles nous répondons de façon épidermique et souvent impulsive.

Pas simple de faire le tri dans ce tourbillon sans prendre le temps de s’écouter.  Qui suis-je face à ça ? Suis-je authentique dans ma réponse ? Ai-je le courage d’affirmer qui je suis ? Qu’est-ce qui me régit ? Mes doutes ? Mes complexes, ? Mes peurs ? Et si je doute, ce qui, après tout, est un réflexe de protection très normal, ai-je suffisamment confiance en moi pour m’opposer à la réponse majoritaire si elle ne me convient pas ?

Soumission ou délivrance ? Toute la question est là. Qui n’a jamais ressenti cet espèce de ras le bol qui vous fait « manger le morceaux » et vous déboutonner en dépit de toutes les pressions ? Vous souvenez-vous de cette jouissance que procure le soulagement d’être enfin arrivé à dire ce que vous pensiez vraiment au fond de vous ?

La réponse a-t-elle été pire que ce mensonge permanent qui vous mettait mal à l’aise ?

Ne pas se faire confiance, c’est bien évidemment douter des autres, donc possiblement projeter sans bases réelles ce que l’autre va dire ou faire dans le sens que vous attendez inconsciemment. L’autre se sent faussement jugé : Vos relations avec l’extérieur deviennent difficiles vous vous sentez incompris et malheureux. Ces personnes (ou événements) deviennent l’unique source commode de votre mal être, et vous tournez en rond dans le piège. 

Comment faire ? Quelques pistes  :

http://construiresavie.fr/comment-faire-pour-avoir-confiance-en-soi/

Intéressant également :

http://construiresavie.fr/eloge-de-loptimisme/

NB : Cet article m’a paru riche de réflexions utiles à tous. Il n’est en rien une promotion commerciale

Galadriel

SPÉCIAL ADOS

http://www.acticity.com/mes-infos/sante-confiance-en-soi-tres-importante/

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