Univers d’énergie, soit ! Que peut-on en mesurer ?

Si l’univers est vibratoire, alors, cette connaissance pour ne pas dire cette science devient primordiale dans l’idée et la gestion que nous pouvons avoir d’un environnement sain.

L’échelle de Bovis ou l’étalonnage du subconscient

J’aimerai m’entretenir avec vous sur mes modestes travaux sur les « Emissions dues aux formes ». Mais avant tout, quel cheminement m’a amené à utiliser le pendule ? J’ai commencé à utiliser le pendule à 14 ans, j’avais lu un petit article sur ce dernier dans une revue de vulgarisation des phénomènes inexpliqués. Curieux, j’avais fixé une petite clef de laiton à un bout de corde. Après une tentative de quelques dizaines de minutes, j’obtenais mes premières oscillations « involontaires ». J’ai, par la suite, lu les grands auteurs qui ont étudiés les « émissions dues aux formes » : Bélizal et Chaumery, les Frères Servranx, De la Foye, De Lafforrest, La Maya et Jacques Ravatin.
Cadran_influence

Mais l’utilisation du pendule est devenue réellement intéressante, pour moi, en 2013. Suite à un échange avec un véritable sourcier. Ce dernier m’a convaincu que, moi aussi, je pouvais étalonner mon esprit en prenant pour base des cadrans tels que « l’échelle de Bovis » et devenir un véritable « appareil de mesure ».

Tout un champ de compréhension c’est alors ouvert à moi. Depuis, je mesure ce que l’on pourrait appeler « la fréquence vibratoire des objets et des lieux » ainsi que leur « Densité énergétique ». J’ai mis aussi au point un troisième cadran me permettant de détecter « ce qui influence  » ces derniers.

Je dispose aujourd’hui de 3 pendules :

– Un pendule « goutte d’eau » : qui me permet d’amplifier mes micro tremblements et de leurs donner un mouvement intelligible au dessus d’une feuille de papier graduée.

– Un pendule « équatorial » De La Foye : objet « émetteur » du spectre des couleurs « Bélizal et Chaumery» que j’utilise pour charger un objet avec une de ces « couleurs ». Là, l’objet est véritablement actif, par sa forme et le creusement de sillons et le perçage de trous.

– Le fameux pendule dit « Egyptien » : émetteur de forme puissant, permettant d’augmenter la densité énergétique des objets, de charger/d’enregistrer sa « volonté » sur un objet ou un lieu. Dans ce cadre on est aux frontières de la « magie ».

pendules

Quel est ma vision de ce mécanisme ? Je crois que l’homme est une antenne, il capte volontairement et involontairement un océan d’ondes (cosmiques, telluriques, vitales et spirituelles) et certaines sont très subtiles. Je pense qu’au moyen de notre « subconscient » et par l’intermédiaire des cristaux de magnétites présents naturellement dans le corps humains, nous avons la capacité de ressentir les vibrations terrestres et par micro-tremblements musculaires, amplifiés par le pendule, de faire apparaitre des résultats de mesures. D’où l’importance de l’étalonnage du subconscient et du savoir « lâcher prise » de notre conscient. J’ai lu un livre très intéressant qui m’a permis de compléter ma théorie : « Les ondes de forme vues par un physicien ». Dans ce livre, l’auteur met le doigt sur la particule responsable de l’information que les radiesthésistes captent : c’est le neutrino (généré en grande partie par les étoiles tel que notre soleil). Pour l’anecdote, de nombreux radiesthésistes perdent temporairement leur capacité lors d’éclipse…

Dans ce livre on explique qu’il existerait 3 champs dans notre réalité : le champ spirituel H2 (issu du « Cosmos »), le champ physique H1 (notre réalité matérielle/dimensionnelle, le « Local ») et le champ messager/intermédiaire H3 dont le neutrino serait l’intermédiaire. L’interaction entre le neutrino et le champ physique provoquerait l’émission d’ondes de formes que captent les radiesthésistes. Ces émissions auraient un comportement équivalent à ce que l’on peut visiblement obtenir de la lumière avec un prisme de verre.

Champ H1Champs physique (ou champ du « Local ») de la matière.

Champ H2Champs immatériel (ou champ du « Global » ou champs de l’information primordiale) du spirituel.

Champ H3Champs intermédiaire faisant lien entre H1 et H2 ou champ des émissions dues aux formes. via les neutrinos « monopolaires » généré par les étoiles tel que le soleil. et chargés par le magnétisme de notre planète.

Pour plus d’information sur mon cheminement personnel, je vous conseille de relire mon premier article sur ce sujet : « L’homme connecté ou la réalité radiesthésique«

Le cadre général de mes recherches

Pour réaliser mes premières mesures, j’ai choisi de prendre un cadran très connu par les radiesthésistes et géobiologues (histoire de « m’étalonner » sur un langage commun aux radiesthésistes): le cadran de BOVIS. Dans mon cas, c’est un demi-cercle gradué, sur lequel je laisse girer mon pendule goutte d’eau. Je l’ai un peu retravaillé en fonction de mes besoins… Les chiffres que je vais donner dans cet article ne sont issus que de mon étalonnage personnel, ils ne sont pas à prendre comme « La » vérité mais juste comme un moyen de trouver des « écarts » de mesures entre les objets, les lieux.

Deux radiesthésistes étalonnés différemment vont trouver des chiffres différents… mais on devra toujours retrouver l’écart de mesure entre plusieurs objets.

Quel est l’histoire de ce cadran ?

« Passionné de radiesthésie, André Bovis était un chaudronnier originaire de Nice.  Dans les années 1930, ses investigations personnelles lui permirent d’établir une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale contenue dans les aliments. Ce radiesthésiste, qui cherchait à mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, avait conçu une règle graduée de 0 à 10 000, appelée biomètre, dont l’unité de mesure est l’angström. Pour des raison de facilité, ces angströms furent ensuite convertis en « Bovis », ou « unité Bovis »  par les utilisateurs de la règle du même nom. Aujourd’hui, les « unités Bovis » sont souvent dénommées « UB » dans de nombreux ouvrages de  radiesthésie. Ainsi peut-on lire 5000 ou 6500 UB, et non plus 5000 ou 6500 angströms. »  (http://www.conscienceverte.fr)

Echelle_Bovis

Selon mon étalonnage, le cadran possède des « frontières » au-delà desquelles on bascule d’une famille de fréquence à une autre. Ci-dessous ces frontières, nuancées par mes découvertes :

0 – 3000 uB => nocivités abstraites, sur le plan vital et mental (malédictions, sortilèges, possessions…)

3500 – 5500 uB => nocivités physiques, sur le plan vital (ondes telluriques, ondes électromagnétiques, radioactivité, maladies, poisons…)

6000 -10 000 uB => neutre et bénéfique sur le plan vital (10 000 uB étant le champ vital parfait)

10 500 – 13 500 uB => échange cosmo-tellurique, équilibre (échanges équilibrés, vases communicants)

14 000 -18 000 uB => magie « passive » (Talisman de protection, symboles type pentagramme, bague atlante etc…), magie à l’état de « germe » ou de « réminiscence ».

18 500 – 24 000 uB => magie « active » (Certains dessins de radionique, les montages de De la Foye, de Bélizal…)

22 500 uB => Formes pensées ou Egrégores

24 000 uB => J’ai encore du mal à définir ce que c’est mais c’est une sorte de balise de la présence spirituelle, ou d’un lieu bénit… c’est la porte d’entrée des manifestations d’entités (médailles religieuses, photos, statues et icônes)

24 500 uB => Apparitions d’entités résiduelles ou Kâ

26 000 uB => Apparitions d’entités spirituelles désincarnées ou Bâ

28 000 uB => c’est le double du seuil magique, on entre de plus en plus dans ce que Jacques Ravatin appelle la fuite des repères… C’est aussi la fréquence des Entités divines ou Purs Esprits.

Au delà, pour mon étalonnage c’est effectivement la fuite des repères, je pense que je dois éclaircir mon point de vue pour repousser les frontières de ma compréhension… A titre indicatif je crois, selon mes mesures, qu’au delà de 9 000 000 uB on passe du champ « Belizal » au champ « Unité Sprink » définit par Jacques Ravatin.

En plus de l’uB (qui serait l’équivalent du voltage), il semble y avoir une notion de « densité énergétique » (qui serait équivalente à l’intensité). Cette notion de densité, je la mesure au moyen d’un cadran allant de 0 à 100%. Je vois donc les objets comme des « contenants » ayant une plage d’agissement mais ne pouvant agir avec leur environnement que par leur puissance de charge de 0 à 100%. Selon mon étalonnage, un objet ou un lieu ne devient « actif » dans sa plage de fréquence qu’à partir de 50% de densité.

Les fréquences

– Les fréquences abstraites 0 – 3000 uB

depression

Il s’agit de fréquences engendrées par la pensée négative (méchanceté, haine, colère, chagrin…) ou par des objets dont la forme est contraire à l’harmonie des formes du monde physique. C’est une plage de fréquence dévitalisant, dangereuse et sournoise, car elle influe aussi sur les évènements au niveau quantique, entrainant la « malchance » et les accidents. On trouve dans cette catégorie, les sortilèges néfastes, les maléfices, les malédictions, les possessions démoniques, ainsi que les ondes telluriques néfastes telles que le Ve- ou le Ne-. Le cas de la malédiction templière lancée, par Jacques de Molay, sur la famille royale capétienne en est un exemple puissant. Voir l’état de leur arbre généalogique à partir de Philippe « Le Bel ».

Une poupée maléfisée trouvée par les époux Warren : 0 uB (70% de densité)

Miroir maléfisé : 0uB (50% de densité)

Moais de l’île de Pâques : 2500 uB

 

– Les fréquences nocives physiques 3500 – 5500 uB

electricite

Il s’agit de fréquences néfastes engendrées par des organismes pathogènes et parasites du « vivant », ainsi que par la technologie humaine : pollution électromagnétique, radioactivité… Elles sont abiotiques. Aujourd’hui, la pollution des courants telluriques naturels (du sous-sol) par les champs électromagnétiques issus de nos centrales électriques et autres pylônes téléphoniques entrainent des territoires entiers dans des conditions néfastes pour la vie, tel est le cas des maisons dites « à cancers » positionnées à côtés de telles nuisances.

Les virus, les bactéries pathogènes : 3500 à 5500 uB

Une arrivée électrique dans une maison : 5000 uB

Un téléphone portable, les téléviseurs : 5000 à 5500 uB

Les êtres vivants ont une certaine capacité à résister à ces lieux néfastes : l’ensemble des cellules vivantes constituant un être vivant synthonisent leurs fréquences à l’unisson, créant une barrière naturelle contre les agressions. Mais cette résistance naturelle ne dure qu’un temps, puis la fréquence nuisible finit pas modifier la fréquence naturelle des cellules et ces dernières perdent leurs coordinations vibratoires et se désorganisent. Elles se calent sur la nouvelle fréquence nuisible, c’est le début de la désorganisation cellulaire par tumeurs et la naissance du cancer… voir les travaux du professeur Lakhovsky et l’utilisation des torques metalliques.

 

– Les fréquences neutres à bénéfiques 6000 -10 000 uB

arbre_connaissance

Il s’agit des fréquences trouvées dans notre vie quotidienne « normale », elles sont biotiques et forment implicitement l’ensemble informationnel du vivant. Le seuil frontière maximum ou champ vital parfait est à 10 000 uB. C’est-à-dire qu’au-delà de 10 000 uB les informations ne sont plus liées au physique et au vivant.

Les matériaux neutres (bois, pierre…) vibrent entre 7000 et 8000 uB

Un silex poli par un homme préhistorique (3000 ans), 7000 uB : il semblerait que les objets lisses permettent une meilleur neutralité alors que les objets poreux, concaves retiennent plus de « fréquences ».

Un silex taillé par un homme préhistorique (3000 ans), 8000 uB

De l’ambre (56 millions d’années), 8000 uB

Gros sel (Guérande), 8000 uB

Une plante verte adulte (d’appartement), 8500 uB

Un jardin au cœur d’une ville : 8500 uB

Un fossile d’oursin (Echinoderme), 9000 uB (réminiscence de son état vivant ?). Utilisés par les celtes en médecines (sous le nom d’œufs de serpents), on comprend pourquoi par cette mesure.

Un arbre adulte en milieu naturel : 9500 uB

Un homme adulte : 9500 uB

Fonds d’une vallée au bord d’une rivière : 10 000 uB

Une jeune plante en croissance : 10 000 uB

Un enfant : 10 000 uB

Une moitié de coquille St Jacques : 10 000 uB (lié à sa forme ?)

Un corps de Saint Catholique miraculeusement conservé (Padre Pio) : 10 000 uB

 

– Les fréquences d’équilibre et d’échange 10 500 – 13 500 uB

sel

Il s’agit des fréquences d’échanges et de transmissions d’informations entre les objets, les êtres vivants, les énergies cosmiques et telluriques. On y retrouve tout les objets et les lieux d’équilibres et d’échanges « d’informations » permanentes. On trouve aussi une gamme d’objets ou de dessins dit « rééquilibrateurs ». Cette plage de fréquences serait à symboliser par « des vases communicants » :

La bouteille champenoise « De la Foye » et le dessin SCAP : 12 000 uB

Une sphère en bois avec un trou jusqu’à son centre : 12 000 uB

Le sel consacré : 13 500 uB

 

 

  – Les fréquences de « magie » passive et de protection 14 000 -18 000 uB

pentagramme

Il s’agit du passage en magie dite « passive », c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant un « germe » ou une réminiscence de magie. Se sont aussi les objets, dessins ou actions chargées de protéger une personne ou un lieu contre des actions magiques actives. J’entends par « magie », un acte ou une situation qui bouscule les repères du local (notre univers physique), que nous ne pouvons comprendre par nos sens physiques.

Le « phi » De Lafforest : 14 000 uB

Le pentagramme : 14 000 uB

La bague ou barre « atlante » : 14 000 uB

Une carte du tarot divinatoire de Marseille : 14 000 uB

Une pierre trouée 15 000 uB

Le sceau de Salomon : 17 000 uB

Le pentagramme à 7 branches : 16 000 uB

Le pentagramme d’Agrippa : 18 000 à 19 000 uB

J’ai l’impression que la fréquence 15 000 uB est l’équivalent d’un « lien magique» ou d’un pont entre deux points… Poupée Vaudou, Voults, pierres trouées…

 

– Les fréquences de « magie » actives et d’entités 18 500 – 24 000 uB

egregore

Il s’agit du passage en magie dite active, c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant une charge ou un sortilège provoquant une action active inexpliquée sur le monde physique ou sur les évènements de notre monde : les phénomènes paranormaux, les sortilèges ainsi que la radionique par exemple. Ces fréquences sont aussi celles qui caractérisent la présence des entités intelligentes ou résiduelles. Jacques Ravatin parle à ce propos de l’incursion du « Global » dans le « Local », d’un changement de nos repères « normaux ou locaux ». A noter la mesure de 24 000 uB qui semble être une véritable «balise du spirituel », une porte ouverte vers « le Global ».

Le pendule égyptien : 20 000 uB

Certains objets cérémoniels : 19 000 – 23 000 uB

Un égrégore : 22 500 uB

Des symboles religieux, objets rééquilibrateurs (Cercles réciproques De La Foye), objets divinatoires (paquet de carte du tarot de Marseille), maquette de la pyramide de Kheops : 24 000 uB

Un spectre résiduel : 24 500 uB puis basculement sous 0 uB (vers l’infini)

Un Esprit désincarné : 26 000 uB

Un pur Esprit : 28 000 uB

 

– Les fréquences « supérieures »

Menhir

Mon subconscient trouve ces mesures mais je ne me les explique pas. Veulent-elles signifier une puissance « non manifestée », un peu comme un stock/une pile/ un générateur sur lequel on peut se brancher pour puiser et obtenir des effets manifestés plus mesurable ?

  • Un petit menhir isolé : 200 000 uB
  • Un menhir de Carnac : 6 000 000 uB
  • Une colonne « Taofel » 14 étages et 56 pavés : 40 000 000 uB.Un Dolmen : 600 000 000 uB (véritable « aiguillage » des courants telluriques terrestre)

 

En conclusion, je dirai qu’il semble y avoir une constante dans ces mesures, plus un objet est lisse et uniforme, moins il accroche les émissions dues aux formes. Plus il est rugueux, poreux, cristallin, liquide, visqueux et plus il a le potentiel de capter l’information générée par les neutrinos monopoles ? Les formes géométriques semblent aussi agir comme un « langage de fréquence »… Le plus étrange c’est que ces caractéristiques, vous pouvez les retrouver dans les objets utilisés dans les rituels religieux ou païens… Avant je n’y croyais absolument pas, aujourd’hui j’ai un doute !

Dans mon troisième article : « Le grimoire radiesthésique ou le langage vibratoire de la matière« , j’aborde mes expériences concrètes sur « l’exploration des objets »: eau, huiles, cire d’abeille, pierres, sphères en bois, bijoux, fossiles, dessins de radionique… Que ce cache t-il au cœur de la matière ? Au-delà des quarks ? La matière n’est-elle pas tout simplement une vibration ? A l’image de la théorie mathématique « des cordes »…

Bragi, pour le Geepi.

http://www.geepi.fr/lechelle-de-bovis-ou-letalonnage-du-subconscient/

VIA : http://www.arcturius.org/chroniques/lechelle-de-bovis-ou-letalonnage-du-subconscient/

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