Réflexion : Créer un réseau pour lutter contre la déprime ambiante

Dépression épidémique – Un appel au réveil pour réenchanter l’humanité

La dépression a été décrite comme une épidémie moderne. Une armée de théoriciens hautement qualifiés ont postulé toutes sortes d’approches et créé une vaste entreprise insistant sur la prise de pilules pour soigner cette maladie de notre société moderne soi-disant « civilisée ». Nous n’allons pas discuter ici de psychologie ni d’éléments de développement personnel galvaudés émanant d’ignorants qui pontifient de manière fantasque dans leur tour d’ivoire.

Aujourd’hui, nous allons descendre dans les tranchées pour couper court à toutes les inepties et étudier l’incidence et le rôle de la dépression d’un point de vue existentiel, non matérialiste. Ce faisant, il se pourrait que nous découvrions tout simplement le « sens de la vie ».

Certaines dépressions ont une relation de cause à effet claire et nette : milieu familial violent, perte d’emploi, etc. Ce type de dépression nous oblige à examiner les problèmes dans nos vies, ce qui devrait être relativement simple si l’on arrive à sortir de soi-même un instant et à envisager des solutions rationnelles aux facteurs de stress. Ainsi, la dépression ne devrait pas durer et passer dès que le problème immédiat est résolu. Toutefois, ce n’est pas le type de dépression qui nous préoccupe ici.

La dépression qui m’intéresse est celle qui perdure, celle qui coûte à sa victime des heures sur le divan du thérapeute et la place dans une routine médicale, souvent à vie. Le type de dépression dont je parle est celui qui pousse les gens au suicide, souvent de multiples fois sur de longues périodes au cours de leur vie. Elle aspire votre âme en dehors de vous-mêmes, car elle vous convainc que le monde est un endroit entièrement nihiliste. Il n’y a pas de but, pas d’espoir, pas d’avenir et personne ne comprend. Il n’y a qu’un monde froid et insensible dont la culture est au mieux superficielle, et au pire carrément psychopathique. Il y a un vide en vous qui grandit, grandit et grandit.

Comment et pourquoi des gens relativement bien adaptés, avec une vie normale, en arrive à porter en eux ce monstre, ce sentiment d’une âme brisée qui refuse de guérir avec des médicaments ou les dernières théories psychothérapiques ? Je pense que la réponse à cette question est que l’être de ce type d’individu a, à un certain niveau de conscience, été forcé de réaliser que le monde « ici-bas » va fondamentalement de travers, qu’il est en fait devenu un terrain de jeu pour les personnalités nihilistes qui n’ont pas d’autres plans que d’étancher leur soif de ténèbres et de destruction.

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© Sott.net

Il n’y a, en réalité, aucun espoir pour un monde dirigé de la sorte, car le résultat logique d’un monde gouverné par une « élite » dotée uniquement d’un appétit pour l’obscurité est l’entropie totale. Cela va à l’encontre de toutes les raisons pour lesquelles les gens devraient vivre et à l’encontre de ce que pourrait être réellement le sens de la vie. Il faut être vraiment tordu pour croire que le but de l’univers et de la diversité de la création autour de nous est le néant ; que la raison à tout est le néant. Le cerveau des gens normaux n’est pas configuré ainsi et, face à la réalité que les « créateurs de réalité » auto-proclamés ont créée, les gens normaux ressentent un pur effroi. Cependant, les gens à même de soutenir le regard de la bête et tenter de remédier à la situation sont relativement rares, et la majorité s’efforce de balayer la douloureuse vérité sous le tapis et continue à vivre leurs vies.

La plus grande partie de l’humanité est plutôt versatile et suivra le programme tant qu’elle pourra continuer à avoir sa part du gâteau et à trouver quelqu’un d’autre pour régler ses problèmes et les rendre responsables. Ceux de nature plus sensible ont la nette impression que ces sentiments sont mauvais puisque tout le monde s’en fiche et que les médias continuent à exhiber la désirabilité du bonheur obtenu des choses les plus superficielles et futiles ; amalgamant « bonheur » et véritable épanouissement. Puisque sentir c’est « mal », ils deviennent désabusés et se replient sur eux car ils n’arrivent à trouver aucun but à un monde aussi antithétique à leur nature profonde. Je pense que « désillusion » est un terme plus approprié pour cette dépression profonde.

Alors, que faut-il faire ? Pourquoi tant de gens subissent-ils cet horrible état émotionnel ? Avant de répondre à cette question, faisons un petit détour pour explorer certains principes scientifiques qui nous fourniront un certain contexte.

La connexion anthropocosmique

Les matérialistes prétendent que tout obéit à la seconde loi de la thermodynamique. Que l’énergie se dissipe et les structures complexes se décomposent jusqu’à ce que le système atteigne un état de désordre et d’immobilité totale. Ils prétendent que tout l’univers deviendra un jour obscurité, car l’énergie du « Big bang » est finie, se dirige vers le néant et sera un jour complètement dissipée. Dans la nature, on observe que les choses semblent passer d’un état d’ordre à un état de désordre. Les liaisons chimiques du carburant de votre voiture sont rompues, libérant de l’énergie et convertissant le carburant en gaz relativement inerte. Un mur tombe en poussière. Le fer rouille et se désagrège.

Mais il existe une exception majeure à cette loi : la Vie. La vie prend les éléments désordonnés qui existent dans l’environnement et les combinent en formes organisées. En outre, la vie a tendance à évoluer vers des formes plus complexes et à créer des écosystèmes complexes qui tendent à contrer les effets de la seconde loi. Ce faisant, la vie gagne en conscience et en aptitude à choisir comment appliquer ce principe organisateur. Tout ceci est en violation de la seconde loi qui stipule que les choses devraient toujours se diriger vers un niveau toujours plus important d’entropie. Les matérialistes prétendent que la vie est un hasard extraordinaire, quelque chose qui a surgi d’une probabilité ridiculement réduite et qu’au final, l’entropie gagnera. Ils n’ont jamais été capables d’apporter de réelles preuves pour étayer cette affirmation autres que des suppositions sur la façon dont cela pourrait fonctionner. En fait, je pense que les preuves sont réellement en faveur de la conclusion inverse.

En physique quantique, on sait depuis longtemps que le fait d’observer un système peut modifier l’état de ce système. L’expérience de pensée du chat de Schrödinger a été utilisée pour illustrer la fonction de réduction du paquet d’ondes d’un système existant dans une superposition d’états possibles en un seul état défini. La réalité pouvait continuer comme si le chat était toujours vivant ou mort, mais ne s’établirait en état objectif qu’à partir du moment où quelqu’un choisit d’ouvrir la boîte. Tout ceci implique que les pensées, ou la conscience puissent affecter la manifestation de la réalité. Des expériences psychiques ont été réalisées pour approfondir cette idée. Dans son livre Entangled Minds, Dean Radin détaille nombre de ces expériences. La plus couramment citée est celle sur les effets de l’intention sur des générateurs de nombres aléatoires, mais il y a aussi les lancers de dés et les tentatives pour transmettre des images par télépathie et bien d’autres choses.

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Après des millions d’essais, ces expériences ont démontré que l’intention affecte systématiquement l’issue des expériences, mais cet effet est très petit. Pour prendre l’exemple des expériences de lancers de dés, on s’attendrait à ce qu’un dé donne autant de chiffres bas (1-3) que de chiffres élevés (4-6), soit 50 %. Quand les participants tentèrent d’influencer le résultat du lancer, celui-ci alla dans la direction voulue environ 51,2 % du temps. Bien que cela puisse paraître négligeable au premier abord, si l’on considère qu’il s’agissait là du méta-effet observé à partir de 2,6 millions de lancers de dés lors de 148 expériences différentes réalisées par 52 investigateurs différents, l’effet est significatif. Des expériences supplémentaires ont montré que l’effet augmente quand plusieurs personnes tentent de créer cet effet, surtout si elles se connaissent.

Laura Knight-Jadczyk et Pierre Lescaudron ont appliqué ces recherches à l’échelle macroscopique lorsqu’ils ont proposé leur théorie de la Connexion anthroposcosmique. En analysant les archives historiques, ils ont réalisé que les périodes de catastrophes naturelles coïncidaient avec l’existence d’empires psychopathiques destructeurs où régnaient une inégalité et une répression ahurissantes de la créativité humaine (traduisez : dépression collective). Bien qu’il puisse sembler aller de soi que des catastrophes naturelles provoquent l’effondrement des sociétés, les recherches suggèrent que les régimes d’oppression existaient avant que les désastres ne commencent à ravager le pays. Dans leur livre Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique (version française à paraître), ce schéma ressort à maintes reprises. Un régime d’oppression parvient au pouvoir avec l’intention de réduire l’humanité à l’esclavage, surviennent souffrance collective et dépression de la populace, et l’environnement commence à devenir instable amenant le régime en place à devenir encore plus tyrannique. Ce processus se poursuit dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que tout s’effondre. Ceci suggère non seulement que l’instabilité de l’environnement provoque oppression/dépression sociales, mais aussi qu’il s’agit d’un processus dynamique où chaque individu dans une société en souffrance, déprimée, envoie son 1,2 % d’influence sur le lancer de dés, pour ainsi dire, et apporte en masse et inconsciemment des changements dans la réalité qui entraîneront la disparition de cette société.

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Cette dynamique fut le plus culturellement accessible lors de l’antique civilisation chinoise qui croyait en un « Mandat du Ciel ». Ils croyaient qu’un empereur ne pouvait gouverner que tant qu’il traitait son peuple en parent prévenant, toujours à la recherche de son bien-être. S’il ne le faisait pas, le cosmos amorçait toutes sortes de malheurs et de châtiments divins qui affaibliraient son emprise et mèneraient au bout du compte au chaos social et à son renversement.

Quant au mécanisme qui rend cela possible, il semble que l’unité de réalité fondamentale soit l’information – organisée par la conscience – et que cette unité informe la matière pour créer des structures. Dans son livre, Réenchanter la science, Rupert Sheldrake parle des « champs morphogénétiques » qui façonnent le monde matériel et transmettent des idées. Le très populaire syndrome du « centième singe » résume le mieux cet effet : dès qu’une masse critique de créatures apprend une certaine compétence, il devient beaucoup plus facile pour les autres de l’apprendre et celle-ci peut être transmise, apparemment « psychiquement », à une tribu distincte de créatures semblables dans un endroit éloigné. Sheldrake présente aussi des exemples comme la synthèse de cristaux où dès que des cristaux ont été synthétisés à un endroit, ils deviennent spontanément de plus en plus faciles à synthétiser dans les mêmes conditions partout dans le monde. Il appelle ce phénomène la « résonance morphique », phénomène par lequel une certaine structure est introduite dans le « champ d’information » et plus d’énergie et de fréquence sont investies dans la tentative d’accéder à cette forme particulière, plus le champ informatif devient puissant et plus il se manifeste facilement dans la réalité matérielle partout ailleurs. Je suis d’avis que la désillusion existe en tant que « champ morphogénétique », apparaît en relation avec des champs de ce type et poursuit un objectif spécifique.

À présent, je souhaite prendre une direction plus spirituelle qui nous ramène à la question de savoir pourquoi les gens sont déprimés et ce qu’on peut y faire.

Être et non-être

Selon les anciennes traditions ésotériques, que Georges Gurdjieff et Boris Mouravieff ont contribué à faire connaître au siècle dernier, l’humanité a été placée sur Terre pour une certaine période afin d’atteindre un certain niveau d’évolution et passer à un degré de conscience supérieure plus proche de l’« Absolu » (le Créateur ou la Divinité). Cette idée est résumée par ce qu’on appelle le « Rayon de la Création » et divers niveaux d’êtres existent à différents points sur les divers « rayons » en tant que partie des formes infinies d’expression de l’univers. La Tradition dit que ces êtres évoluent soit sur un escalier ascendant pour devenir esprit en direction de l’Absolu, soit sur un escalier descendant, régressant dans la matière. Il est parfois fait référence à ces idées archétypales sous les termes d’Être et de Non-être. Un examen approfondi du phénomène ovni et de diverses rencontres paranormales révélera qu’il existe des entités bien plus loin sur cet escalier que nous ne le sommes, certaines semblant évoluer vers l’Être et d’autres vers le Non-être. Cette dualité peut aussi être exprimée par diverses formulations plus ou moins spécifiques telles que bien/mal, Dieu/Satan, lumière/ténèbres.

Selon la Tradition, la nature par défaut de l’univers est que les êtres s’élèvent, s’efforcent d’atteindre la lumière et s’alignent sur le centre de pensée de l’Être. Toutefois, la Tradition évoque aussi des êtres qui s’opposent à ce processus d’évolution et parfois même triomphent temporairement. Dans notre réalité quotidienne, cette dualité peut être représentée par l’alignement sur la Seconde Loi de la Thermodynamique, tel que le prêchent les matérialistes, par opposition aux Lois de la Vie que décrivent des gens comme Rupert Sheldrake. Il est évident que notre société a adopté la Seconde Loi de la Thermodynamique – un principe qui s’applique à une tendance spécifique de la matière à dissiper la chaleur jusqu’à ce qu’elle atteigne un état d’équilibre – pour l’élever au rang de parole d’évangile. Ce faisant, elle a choisi le centre de pensée du Non-être et régresse dans la matière. Puisque, au bout du compte, tout décline vers le chaos et rien n’a de sens, tout est apparu par hasard comme une mauvaise blague et vous feriez mieux d’en profiter tant que ça dure car quand vous mourrez, c’est fini et voilà tout. Les symptômes de cette orientation sont visibles partout, depuis la marchandisation sexuelle de l’humanité jusqu’aux systèmes bancaires prédateurs, en passant par les religions qui se spécialisent dans les mutilations génitales, l’abominable pollution de l’air, de l’eau, des terres et même de l’ADN. Généralement, personne ne se préoccupe de rien d’autre que de soi-même. Ce n’est pas une situation naturelle pour un être qui souhaite évoluer vers la lumière et c’est déprimant à l’extrême.

Alors que faut-il faire face à cette désillusion/dépression ? Pourquoi tant de gens subissent-ils cet affreux état émotionnel ? Je crois que ce type de dépression est la voix de l’âme qui hurle contre les principes entropiques qui dominent sur notre planète et se languit de vivre d’une manière plus en accord avec les principes de la vie. Le champ morphogénétique du Non-être a enveloppé la planète et en tentant de l’ignorer, ou de le refouler, nous nous alignons en fait sur ce champ qui peut être contraire à notre nature profonde de viser la lumière pour nous élever, nous développer. L’incessante désillusion profonde et lancinante face à tout ce qui se passe « ici-bas » est un réveil-matin qui nous dit que quelque chose cloche terriblement et que nous devons nous réveiller et réaffirmer nos choix à l’univers, ou être entraînés avec lui. Nous n’avons pas à accepter passivement cette désintégration, nous pouvons choisir l’inverse. Nous pouvons choisir d’investir notre énergie d’une manière qui renforce le champ morphogénétique représentant l’Être.

Tout est une question de choix

Examinons en pratique ce qui peut être fait. Supposez que vous êtes impliqué dans un accident de voiture où vous grillez un feu rouge et heurtez une voiture à 95 km/h, défonçant la portière du conducteur et le tuant sur le coup. Au moment où vous voyez la voiture, elle est littéralement sous votre nez et vous n’avez pas le temps de réagir. Pendant cet instant infinitésimal, vous vivez une sorte de choix. Vous pouvez braquer et appuyer sur le frein en priant pour que la voiture s’arrête d’une façon ou d’une autre, même si vous savez qu’il est trop tard pour que cela fasse une différence, ou, à la dernière fraction de seconde, vous pouvez fermer les yeux et prétendre que rien de tout cela n’est en train d’arriver. Dans ce dernier scénario, vous déconnectez effectivement votre conscience et tout se déroule comme le décrète la science matérialiste. Vous percutez la portière et tuez le conducteur instantanément. Vous pouvez prolonger cette ligne temporelle pour inclure des événements résultant de cet accident : sa femme sombre dans une dépression suicidaire et devient alcoolique, négligeant ses jeunes enfants qui finissent en centre d’accueil. Ils se retrouvent à la rue et finissent par mourir lors d’une transaction de drogue qui tourne mal. L’entropie du système s’accroît et tout était prédestiné, n’est-ce pas ?

Et si, au lieu de tenter de disparaître dans une illusion subjective, vous envoyez activement l’intention d’arrêter la voiture, même si la situation semble fondamentalement sans espoir ? Vous invoquez ce mystérieux effet qui a été démontré lors des expériences de psychokinésie et la collision survient… trois centièmes de secondes après qu’elle aurait dû, permettant à la voiture de rouler quelques centimètres de plus. Ce laps de temps est imperceptible pour qui que ce soit et l’accident semble être le même en apparence. Dans ce cas, la force de la collision impacte majoritairement l’arrière du véhicule et le conducteur survit. Il est transporté à l’hôpital par hélicoptère dans un état grave où il doit subir des opérations chirurgicales mais finit par se remettre et une autre ligne temporelle est créée où il peut toujours être un père pour ses enfants. Un des enfants devient un artiste local dont l’œuvre inspire les gens et fournit un exutoire créatif à certaines personnes dans la communauté. Par conséquent, la transaction de drogue qui le tue dans la ligne temporelle A ne se produit jamais dans la ligne temporelle B. Évidemment, il s’agit d’un exemple très simplifié, on peut voir que les lignes temporelles possibles créées à partir d’un unique événement tendent rapidement vers l’infini au fil du temps, mais l’idée est que les gens ordinaires gérant des problèmes ordinaires peuvent faire une énorme différence dans les réalités personnelles grâce à la combinaison d’effets en chaîne résultant d’un choix apparemment sans conséquence.

Un réseau et un but

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Pour en revenir à la vision d’ensemble, que peut-on faire à propos de la réalité cauchemardesque, pesant telle une lourde chape de plomb, qui génère la dépression ? En pratique, votre influence minuscule est trop insignifiante pour avoir un quelconque effet notable sur un système de taille planétaire. C’est là où le concept du but et du réseau entre en jeu. Si vous voulez changer votre réalité, vous devez identifier ce que vous souhaitez accomplir et quelles influences et caractéristiques de votre réalité vous rapprocheront de cet objectif et lesquelles vous éloigneront de ce but. Les influences qui vous éloignent de votre objectif doivent être éliminées. L’étape suivante est de trouver un groupe de personnes qui partagent votre objectif. Le nombre de gens en relation colinéaire avec vous ajoute une interférence constructive à vos efforts et augmente l’ampleur de ces efforts. Ils vous donnent aussi des perspectives lors de la prise de décisions (qui devraient toujours être envisagées selon leur potentialité à vous faire progresser vers votre objectif) qui, dans l’ensemble, représentent une évaluation plutôt objective quant au caractère réaliste, bénéfique, de cette idée…

Un réseau qui s’efforce d’atteindre une compréhension objective de la réalité peut prendre des décisions informées sur la base de connaissances, ce qui est susceptible de mener à la plus grande manifestation possible du but. Au travers de ce processus, vous acquérez la capacité à faire des choix conscients informés par la connaissance, et à choisir comment vous interagissez en grande partie avec la réalité. Un réseau résout les quatre gros problèmes de la dépression : il vous donne de l’espoir, un objectif, des gens à qui parler et éventuellement aussi un avenir si vous arrivez à triompher du défi initial consistant à trouver les bonnes personnes et à vous impliquer.

Gurdjieff se plaisait à dire dans ses enseignements que 200 êtres conscients partageant un but commun pouvaient changer le monde. On se demande alors si les effets en chaîne d’un tel réseau sont ce que craint réellement l’élite psychopathique de la planète et la raison pour laquelle elle tente aussi fébrilement de créer une réalité tellement sombre qu’elle nous contraint à abandonner notre volonté, notre pouvoir de choisir. Avec le réveil-matin de la désillusion qui sonne tellement fort, la seule façon pour elle de conserver le pouvoir est de nous paralyser avec sa cacophonie nihiliste. L’aptitude à choisir est le plus grand des super-pouvoirs et on ne doit pas l’oublier. Même s’il semble que la Terre soit « abandonnée », une étude de la science ésotérique suggère fortement qu’un retour en arrière est possible pour ceux qui choisissent de s’aligner avec l’Être et ont foi en ce processus. Si jamais il y a eu une mission, une cause, une grande bataille à laquelle être exhorté, ou un but défini pour l’humanité en période de transition, ce doit être celle-là. C’est vraiment votre seule chance. Prenez là.

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