La vitamine B 17, « la » vitamine anti-cancer ?

Il semble tout de même curieux que, compte-tenu des avancées immenses dans les dernières décennies, dans la connaissance des mécanismes de notre physiologie, de la médecine, des principes actifs que nous fournit la nature, des bio-technologies, de plus en plus pointues, on ait toujours pas résolu la question des cancers. Les chercheurs cherchent, c’est certain. Cependant, lorsque l’on sait que pour qu’un laboratoire ait les moyens d’exister, il lui faut de lourdes subventions, et que, de ce fait, celui qui finance est aussi celui qui oriente les recherches, on peut tout de même se poser des questions.

Mais l’État direz-vous..  Et bien, les choses sont tellement intriquées qu’à moins d’une véritable révolution dans le système, il est piégé. D’abord par un lobbying tout puissant au niveau des décideurs : informations biaisées, prévarication, chantage tout est bon. – Ne croyez pas que je parle sans savoir : J’ai travaillé pour big pharma. J’ai pu constater à mon petit niveau à quel point la morale et l’éthique n’ont aucune substance pour eux face au profit-  Ensuite, parce que les laboratoires pharmaceutiques représentent des sources de revenus énorme pour l’état, en emplois, impôts et que le chantage de ce côté-là  est facile…

Cette très puissante industrie est un important instrument de la mondialisation au plus haut sommet de la pyramide du pouvoir :  elle peut contrôler à sa guise la santé des populations ignorantes ou mal informées de la planète , nous y compris, ne l’oublions pas.

Le marché du cancer est un marché immense, plus que rentable pour big pharma.  et qui s’élargit…

«Il arrivera un jour où même des pays riches comme le nôtre n’arriveront plus à délivrer ces médicaments. Le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. En une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 3.700 à 7.400 € par mois. Cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite “ciblée”, qui va favoriser l’émergence de médicaments de “niche”.» (1)

Le chiffre des malades atteints augmente tous les ans avec une régularité désespérante : selon l’OMS il pourrait avoisiner les 20 millions de cas dans 10 ans.(2) et en février dernier, le Nouvel Observateur titrait :

Les cas de cancer devraient augmenter de 70% en 20 ans dans le monde

Je vous laisse faire le calcul…  On arrive à des enjeux annuels de milliards de dollars.

Il existe des alternatives. Depuis fort longtemps. Le problème est que tout ceux qui se sont élevés contre ce système se sont vus accuser de folie, d’inconscience, voire rayés des cadres. De ce fait, toute proposition qui sort des clous est réputé dangereuse, reste dans l’ombre, ou fait l’objet d’études biaisées financées par les labos.

Dans ce tableau, il faut tenir compte également des petits requins qui tournent dans les eaux parfois trouble de l’alternatif et ne manquent pas de proposer des traitements « miracles » témoignages et études à l’appui qu’ils fabriquent eux-mêmes, ainsi que le traitement, bien entendu !

La prudence est donc de mise. Lorsque l’on sait que l’on a plus rien à perdre, il me semble que l’on est prêt à tenter de trouver d’autres issues hors des sentiers battus. La proposition de l’article ci-dessous en est une. J’ignore objectivement ce qu’elle vaut, mais elle parait intéressante et utile à faire connaître ne serait-ce pour permettre aux personnes concernées de faire des recherches personnelles plus approfondies encore.

Galadriel

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Voici l’article, tel quel :

Vitamine B17 et cancer

Je sais que vous êtes une bande de petits curieux, comme moi, aussi aujourd’hui je vous oriente vers cette vitamine B17 dont on parle beaucoup et qui a guéri de nombreux cancers depuis des dizaines d’années à l’insu de tous, bien entendu, nous n’avons jamais le droit de savoir. Je n’en connais pas plus que vous et donc, ni je cautionne ni je désapprouve, ce qui est sûr c’est qu’on nous cache beaucoup de choses au nom du Saint profit, comme d’hab. Mais comme j’ai de la sympathie pour tout ce qui ne rapporte rien à personne, je vous soumets ces textes, trés longs mais ça en vaut la peine, vous avez un week-end pour tout assimiler, et n’oubliez pas de lire l’article du « gaulois déchainé » à la fin, tout cela est assez fantastique et tellement simple…

L’article est tiré du site :  http://forums.lesinsoumis.org/viewtopic.php?f=166&t=1637&p=10649

Vitamine B17 (laetrile), vitamine C remèdes contre le cancer

de Samy44 » 05 Déc 2008, 15:16

La vitamine B17

Dans son article intitulé  » Les charlatans au supplice « , publié dans le journal britannique Observer, John Diamond a sommairement rejeté ce qui apparaît comme le plus célèbre des traitements anticancéreux naturels et éprouvés connus de l’homme : l’extrait naturel de noyau d’abricot, aussi connu sous le nom de vitamine B17.  » Les adeptes du laetrile (vitamine B17) et de l’Essiac, en particulier, ont fait tant de bruit autour de leurs guérisons miraculeuses que ces deux méthodes ont fait l’objet de nombreuses recherches et se sont avérées parfaitement inefficaces ».19

Maintenant, nous pouvons nous demander si ce ne serait pas la faute d’une âme bienveillante mais malavisée qui a envoyé à John Diamond un essai sur les bienfaits de la vitamine B17 mélangée à de l’eau de noix qui l’a poussé à rejeter si catégoriquement la vitamine B17.

Ou bien John faisait-il réellement confiance aux rapports de recherche conventionnels qu’il avait consultés à propos de cette vitamine ?
Fait intéressant, le Dr Dean Burk, l’ancien président du Département de Cytochimie de l’Institut National du Cancer et l’un des cofondateurs de cette célèbre institution médicale américaine, avait travaillé personnellement sur la vitamine B17.
Il a décrit cette substance en des termes bien différents :  » Lorsque nous ajoutons du laetrile à une culture de cellules cancéreuses sous le microscope « , a déclaré le Dr Burk,  » à condition qu’.il y ait aussi l’enzyme glucosidase, nous voyons les cellules cancéreuses mourir comme des mouches « .20 (La glucosidase est l’enzyme figurant en grande quantité dans les cellules cancéreuses, qui déclenche le mécanisme unique de destruction du cancer que l’on trouve dans la vitamine B17.
Vous trouverez une excellente analyse clinique de ce mécanisme dans 577 Metabolic Therapy – In the Prévention and Control of Cancer [La Thérapie métabolique par la vitamine B17 – Dans la prévention et la maîtrise du cancer], un bref résumé des recherches réalisées sur cette vitamine, dont de nombreuses évaluations cliniques. Le Dr Buck a en outre affirmé que des preuves de l’efficacité du laetrile avaient été observées dans au moins cinq institutions indépendantes de trois pays très éloignés les uns des autres.22

Alors, qui devons-nous croire dans cette affaire ? Diamond ou Burk ? En regardant où Diamond a pu obtenir ses  » informations  » sur les recherches relatives à la vitamine B17, nous voyons apparaître plus distinctement les vilains traits de la recherche anti-cancéreuse conventionnelle.

C’est la faute de l’argent

Le cancer est un marché juteux et les déclarations sur les traitements qui rapportent de l’argent aux compagnies pharmaceutiques et, inversement, sur ceux qui ne leur en rapportent pas ne sont jamais neutres. Le Dr Ralph Moss a été Directeur adjoint des affaires publiques dans l’institution de recherche sur le cancer la plus célèbre d’Amérique, le Mémorial Sloan Kettering à Manhattan. Il sait tout de l’industrie du cancer. Lisez ce qu’il avait à dire en avril 1994 lors d’un entretien avec Laura Lee et jugez par vous-même de la qualité des preuves contre l’efficacité de la vitamine B17 :

o Dr Moss :  » Peu de temps après avoir pris mes fonctions [à l’Institut du Cancer Sloan-Kettering], j’ai rendu visite au vieux scientifique japonais Kanematsu Sugiura, qui m’a étonné en me disant qu’il travaillait sur le laetrile (vitamine B17). À l’époque, c’était la chose la plus controversée en matière de cancer. Nous autres, aux Affaires publiques, nous faisions paraître des déclarations affirmant que le laetrile ne servait à rien, que c’était du charlatanisme et que les gens ne devaient pas abandonner les thérapies qui avaient fait leurs preuves.
J’étais étonné que notre scientifique le plus émérite s’embarrasse d’une telle chose et je lui ai dit, ‘Pourquoi faites-vous cela si ça ne marche pas ? Il a pris ses livres de laboratoire et m’a montré que, en réalité, le laetrile avait un effet spectaculaire pour stopper la propagation du cancer.  »

o Laura Lee :  » Donc, c’est un fait avéré, le laetrile peut avoir cet effet positif ?  »

o Moss :  » Nous étions en train de le découvrir et pourtant nous autres, aux Affaires publiques, recevions l’ordre de publier des déclarations en opposition totale avec ce que nous découvrions sur le plan scientifique.23  »

Incapable de garder le silence sur ces informations, le Dr Moss a par la suite convoqué une conférence de presse et, devant une batterie de journalistes et de cameramen, a accusé les responsables de Sloan-Kettering d’avoir massivement tenté d’étouffer l’affaire. Il a fourni tous les documents justificatifs et cité tous les noms qu’il fallait pour attester ses dires. Le lendemain, il a été mis dehors pour  » ne pas s’être acquitté de ses responsabilités professionnelles les plus fondamentales « .24

De même, dans son livre, Worid Without Cancer [Un Monde sans cancer], le chercheur de l’industrie du cancer G. Edward Griffin note :  » Toutes les études sur le laetrile ont été entachées du même genre de manque d’à propos scientifique, de parti pris et de tromperie absolue… Certaines de ces études reconnaissaient ouvertement les preuves d’un effet anticancéreux mais s’empressaient d’attribuer cet effet à d’autres causes. Certaines études ne portaient que sur la toxicité, ce qui signifie qu’elles n’essayaient pas de savoir si le laetrile était efficace mais simplement de déterminer quelle dose de laetrile suffisait à tuer le patient.  »

Aujourd’hui, les  » preuves  » étayant l’affirmation de John Diamond selon laquelle la vitamine B17 est inutile et même dangereuse abondent dans toutes les grandes institutions sur le cancer. Et pour cause ! Nous sommes dans le temple des marchands, ne l’oubliez pas !

Comme le dit Pat Rattigan, auteur de The Cancer Business [Le Marché du cancer] :  » La menace que représentent pour le marché du cancer les thérapies efficaces a été prise très au sérieux dès le départ. Dès les années 1940, l’agence chargée des intérêts du marché avait 300 000 noms de  » charlatans  » sur ses dossiers. La vitamine B17, constituant une menace unique en raison de sa simplicité, s’est attirée davantage de foudres que tous les autres traitements réunis : rapports expérimentaux frauduleux ; piquets porteurs de bannière payés à l’extérieur des cliniques ; jurys truqués ; critiques virulentes de personnes dans les journaux ; licenciement des employés hérétiques, etc. La FDA (Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire des États-Unis), orchestrant l’attaque, a envoyé 10 000 affiches et des centaines de milliers de brochures mettant en garde contre les dangers de la toxicité de cette substance.
Auparavant, un Bureau de comptabilité du Congrès avait découvert que 350 employés de la FDA détenaient des actions ou avaient refusé de déclarer des intérêts dans l’industrie pharmaceutique.  » 26

La FDA publia un article sur le décès d’une petite fille de onze mois, apparemment suite à un empoisonnement au cyanure après avoir soi-disant avalé les comprimés de vitamine B17 de son père.

Le Dr Harold Manner, cancérologue et ardent défenseur de la vitamine B17, reprend l’article :  » Je donnais une conférence à Buffalo, à New York… après de tonitruantes déclarations de ma part, un homme s’est levé et m’a dit, Dr Manner, comment diable pouvez-vous faire de telles déclarations alors que la FDA en fait de toutes autres ? J’ai répété que les déclarations de la FDA étaient des mensonges. Il m’a répondu : regardez cette petite fille dans la partie nord de l’état de New York ; elle a pris les comprimés de laetrile de son père et en est morte, empoisonnée au cyanure. A ce moment précis, une petite femme s’est levée : « Dr Manner, laissez-moi répondre à cette question. Je pense que j’en ai le droit parce que je suis la maman de cette petite fille. Mon bébé n’a jamais touché les comprimés de laetrile de son père. Le médecin, sachant que son papa prenait du laetrile, a inscrit  » empoisonnement possible au cyanure « . À l’hôpital, ils ont utilisé un antidote et c’est l’antidote qui a tué mon enfant. Et pourtant ils continueront à répéter cette affirmation, même s’ils savent que c’est un mensonge. »27

Les histoires alarmistes se focalisent toujours sur les minuscules quantités de cyanure naturellement présentes dans la vitamine B17. Mais nulle part ces histoires ne mentionnent le merveilleux mécanisme gouvernant la libération de ce cyanure. Aucun mal n’est causé à la personne consommant cette vitamine (si tel était le cas, nous avons consommé un nombre suffisant d’abricots, de pommes, de pêches, de cerises, etc… contenant de la vitamine B17 pour n’être plus de ce monde depuis longtemps). Le cyanure n’est libéré que lorsque des cellules cancéreuses sont reconnues de par leur haute teneur en glucosidase. Le cyanure de la vitamine B17 attaque spécifiquement les cellules cancéreuses. En l’absence d’importantes quantités de glucosidase, il n’y aura pas de libération de cyanure.

Rassurez-vous, il n’existe aucune preuve indiquant que la vitamine B17 peut tuer – sauf, bien sûr si l’on se fait accidentellement écraser sous une palette d’abricots !

Un embarras supplémentaire pour l’orthodoxie du cancer doit certainement résider dans les recherches effectuées à L’Imperial Collège de Londres, où des chercheurs tentent de trouver des moyens d’utiliser le cyanure végétal naturel pour attaquer spécifiquement les tumeurs intestinales humaines.

L’idée a surgi après avoir étudié le schéma de la libération spécifique de cyanure dans l’amande et le manioc qui les protège des attaques des insectes. Une autre de ces merveilles naturelles, cherchant simplement à se faire entendre, est peut-être enfin écoutée par l’orthodoxie ?28

A notre grand regret, en affirmant le bien-fondé de la réputation  » louche  » conférée à la thérapie métabolique de la vitamine B17, nous nous rendons compte qu’elle est totalement injustifiée et que, en outre, ce traitement a fait l’objet d’une attaque continuelle de la part de l’industrie conventionnelle du cancer – attaque qui a pris différentes formes au cours de ces 40 dernières années.

Comme indiqué plus haut, les dépenses mondiales relatives aux traitements conventionnels s’élevant à plusieurs centaines de milliards par an, un traitement anticancéreux naturel de n’importe quelle sorte fait office d’intrus malvenu. Citons de nouveau le Dr Moss, dans son entretien d’avril 1984 avec Laura Lee, cette fois-ci à propos de l’argent impliqué dans les traitements conventionnels :

o Moss :  » Près de 630 000 personnes meurent chaque année du cancer aux États-Unis et c’est vraiment une épidémie. Nous avons là une industrie incroyable. Toute personne atteinte d’un cancer et en train d’en mourir va être traitée et ces traitements sont extrêmement chers. La chimiothérapie est évaluée à des dizaines de milliers de dollars, parfois même à des centaines de milliers de dollars. Les greffes de moelle osseuse, qui représentent une autre façon de dispenser une chimiothérapie, ou les rayons peuvent s’élever à près de 150 000 dollars par personne et sont rarement efficaces. Ces traitements tuent 25 pour cent des patients.  »

o Lee :  » Pourquoi continuer alors ?  »

o Moss :  » À cause de l’argent, car les sommes en jeu sont colossales  » 29

Lorsque nous saisissons l’ampleur des sommes d’argent en jeu, nous pouvons commencer à comprendre le désir interne de maintenir un processus  » de création de preuves  » pour soutenir les traitements conventionnels. Les traitements et la recherche conventionnels donnent carte blanche à l’inflation. Manifestement, les parties intéressées se sont alliées dans un processus honteux de  » création de preuves  » anti-vitamine B17 qui, à son tour, a sûrement conduit au décès précoce et inutile de milliers de personnes. En ce qui concerne le rejet de la vitamine B17 manifesté par John Diamond, il n’a pas écrit ses commentaires en guise d’insulte délibérée. Ce n’était pas lui le menteur dans cet enchaînement d’événements. Il voulait désespérément vivre. Son simple paragraphe lu par des milliers de personnes n’a été qu’un autre exemple de la réaction en chaîne préjudiciable du discours des marchands. Leur discours sur la thérapie métabolique par la vitamine B17 a donné lieu à une grave injustice sur ce traitement, et par conséquent pour tous ceux que l’on a convaincu de penser ainsi.

Examinons maintenant quelques témoignages de ceux qui ont résisté à cette propagande.

o Phillip
Phillip a 64 ans. En avril 2001, on diagnostiquait chez lui une tumeur du poumon inopérable. Le cancérologue lui montra les radiographies qui confirmaient les  » ombres  » tant redoutées.
On lui dit de rentrer chez lui, de profiter de la vie autant que possible et de mettre ses affaires en ordre. Une semaine plus tard, lors d’une conversation inopinée au travail, Phillip entendit parler de la vitamine B17. Phillip commença immédiatement à prendre un mélange de vitamine B17 et de vitamine C. Quatre mois plus tard, Phillip retourna à l’hôpital pour un bilan, où l’on prit une nouvelle série de radios.

Les ombres avaient entièrement disparu. Phillip explique :  » Je sais ce que j’ai vu et le docteur ne pouvait pas l’expliquer. Je poursuis mon régime à base de vitamine B17 et je mange une dizaine de noyaux par jour. »30 Phillip accorde désormais une très grande attention à son alimentation et pense que ce que nous faisons absorber à notre corps peut avoir une incidence spectaculaire sur le plan thérapeutique.

L’importance de la nutrition

Citons encore une fois John Diamond, à propos d’un  » dingue  » qui parlait d’un régime magique : « Un jour, j’attendais mon tour pour les rayons et j’ai parlé du ridicule d’un régime sur lequel j’avais lu des choses. La radiologue était d’accord avec moi et m’a raconté que lorsqu’elle avait commencé à travailler à l’hôpital il y avait un  » dingue  » qui, ayant refusé les rayons, venait et se répandait en injures contre ceux qui se trouvaient dans la salle d’attente des rayons, leur disant qu’ils devraient abandonner les rayons et suivre son régime magique.

« Criminel », ai-je dit. « Vous l’avez mis dehors, bien sûr ? « Eh bien, oui » a-t-elle répondu, « nous l’avons mis dehors régulièrement. Le seul truc, c’est qu’il a bel et bien survécu pendant des années et que son cancer a bel et bien disparu ».
Ce qui tend seulement à prouver… eh bien pas grand-chose, en réalité, mais j’ai pensé que je devais en parier au nom du fair-play ».31

Maintenant, si ce  » dingue  » n’était qu’un cas isolé de guérison grâce à l’alimentation, sa guérison ne constituait bien sûr pas une preuve. Mais avec la thérapie métabolique par la vitamine B17, nous observons des résultats formidables jour après jour. Continuons au nom du fair-play…

o William
On a diagnostiqué chez William une tumeur à l’œsophage. Il ne pouvait plus absorber que de la nourriture liquide. Il avait lu un article sur la vitamine B17 un an auparavant et l’avait conservé.
William commença à prendre de la vitamine B17 peu de temps après le diagnostic. Au bout de trois semaines, il avalait bien plus facilement la nourriture et au bout d’environ sept semaines son médecin lui dit que s’il pouvait mieux avaler la nourriture c’était tout simplement parce que la tumeur diminuait.

William explique :  » L’opération destinée à enlever la tumeur a été annulée et j’attends encore les résultats du dernier examen. Je me porte comme un charme. Je fais attention à ce que je mange et je remercie vraiment Dieu d’avoir créé la vitamine B 17. Il est temps que le NHS [Département national de santé] reconnaisse cette vitamine comme une alternative aux traitements conventionnels. Je pense que de l’argent dépensé pour de la vitamine B17 est de l’argent bien dépensé.32  »

Que mangeons-nous ?

Il est intéressant de noter qu’il existe aujourd’hui des peuples chez qui le cancer est inexistant. Les Abkhasiens, les Azerbaïdjanais, les Hunzukut, les Esquimaux et les habitants du Karakorum s’alimentent tous de produits riches en nitriloside ou vitamine B17.

Leur alimentation se compose de sarrasin, de pois, de fèves, de germes de luzerne, de navets, de laitue, de repousses de légumes secs ou de graines, d’abricots et de leurs graines et de diverses baies.

Leur alimentation peut leur apporter jusqu’à 250-3 000 mg de nitroloside par jour. Le père fondateur des recherches sur la vitamine B17, Emst T. Krebs J.-R., a étudié les habitudes alimentaires de ces tribus. Krebs a déclaré :  » En examinant l’alimentation de ces peuples, nous avons découvert que le noyau d’abricot était considéré comme un mets raffiné et que chacune des parties de l’abricot était utilisée.  »

L’alimentation occidentale moyenne, avec ses aliments raffinés et sans fibres, apporte moins de 2 mg de nitriloside par jour. On a en outre noté que les indigènes de ces tribus qui s’installaient dans des zones  » civilisées  » et modifiaient leur alimentation en conséquence étaient susceptibles d’être atteints de cancer, à un taux similaire au taux occidental habituel.

Les bonnes substances

Dans son livre, Préface to Cancer : Nature, Cause and Cure [Préface au cancer : nature, cause et guérison], le Dr Alexander Berglas déclare à propos du taux de cancer :  » La civilisation est, en termes de cancer, un mastodonte que l’on ne peut pas arrêter… C’est la nature et l’essence de la civilisation industrialisée d’être toxique dans tous ses aspects…
Nous sommes confrontés à une lugubre perspective où l’avancée du cancer et de la civilisation vont de pair.  » 35 Le corps humain a une faculté étonnante de récupération, si nous prenons correctement soin de lui et si nous lui fournissons les substances adéquates à une réparation. Travailler avec des traitements non toxiques et physiologiquement favorables ne peut que jouer en notre faveur.

Il suffit de regarder les effets secondaires de la vitamine B17 tels que les décrit G. Edward Griffin dans Worid Without Cancer [Un monde sans cancer] :  » Les effets secondaires de la vitamine B17 incluent un plus gros appétit, une prise de poids, une baisse de la tension, une hausse de l’hémoglobine, un nombre plus élevé de globules rouges, la disparition ou une nette diminution des douleurs sans narcotiques.

Par ailleurs, la vitamine B17 renforce la résistance du corps à d’autres maladies. C’est une substance naturelle présente dans les aliments, elle est compatible avec l’expérience biologique humaine et détruit les cellules cancéreuses tout en nourrissant les cellules non cancéreuses » 36

Comparez cela aux effets secondaires de la chimiothérapie et des rayons : vertiges, dépigmentation de la peau, nausées, diarrhées, chute des cheveux, perte de l’appétit, dysfonctionnements organiques, hémorragies internes, etc..
Combien de temps faudra-t-il attendre avant que nous jetions sur ces traitements le même regard rétrospectif que celui que nous jetons aujourd’hui sur les saignées et les infusions à l’ammoniaque infligées au roi Charles II ?

Même si l’ablation chirurgicale des tissus cancéreux peut souvent sauver la vie, pourrait-il y avoir un traitement plus inhumain au XXIe siècle que la thérapie anticancéreuse conventionnelle ?

o Flora
On a diagnostiqué chez Flora un cancer de l’intestin en phase 4 en 1999.  » Avant l’opération, on m’a fait une chimiothérapie, qui a été dévastatrice. A la fin de la séance, je tenais à peine debout. Ensuite, on m’a enlevé la tumeur de l’intestin. On m’a dit que le cancer avait gagné le foie. On m’a proposé une nouvelle chimiothérapie mais j’ai refusé. Je suis allée au Middiesex Hospital où j’ai reçu cinq séances de laser pour essayer de contenir le cancer du foie, suivie d’une autre chimiothérapie. Après avoir tenté cinq fois de contenir le cancer, ils m’ont dit qu’il grossissait de nouveau. J’ai alors entamé un régime biologique et suis allée à la Dove Clinic pour un traitement intensif à la vitamine C enrichie d’autres suppléments. C’est là-bas que j’ai entendu parler de la vitamine B17. Je l’ai ajoutée à mon régime. Au bout d’un certain temps, mon cancer du foie a complètement disparu. On est maintenant en février 2002 et cela fait un an que je suis débarrassée du cancer. Je poursuis mon régime biologique et je mange environ 50 noyaux d’abricot par jour. J’ai’64 ans, j’ai repris le travail et je me sens bien. De tels traitements devraient au moins être portés à la connaissance des patients par le NHS. 37  » II y a littéralement des milliers de personnes qui peuvent témoigner des vertus pharmacologiques et salvatrices de la vitamine B 17 et du régime nutritionnel qui l’accompagne. Et l’on peut dire de même de la vitamine C.

Pour votre gouverne  écoutez la vidéo : http://video.google.com/videoplay?docid=-8643037586078678846#
Autre documentation trés intéressante chez  » le gaulois déchainé » qui vous  explique comment cela fonctionne.

 

Intéressant à savoir : Les Hunzas sont de gros mangeurs d’abricots dont ils mangent tout, la pulpe, et l’amande riche en Vit B17. Et on sait que ce peuple ignore la maladie et entre autres le cancer. Je savais depuis trés longtemps que ce peuple vivait au printemps avec les provisions d’abricots de l’année d’avant. Relation de cause à effet ?

Il parait que pour bien l’assimiler il faut également l’associer avec de la vitamine C, du Zinc, des vitamines B, de la vitamine A, du magnésium et du selenium. Donc un complément vitaminique classique devrait faire l’affaire.

Mais on trouve la vitamine B17 dans notre alimentation traditionnelle : Les céréales complètes, le jaune d’oeuf, la levure de bière, les pepins de pomme, de poire, les haricots beurre, les noix de cajou, les amandes, la canneberge, les graines de lin, les pois chiches, le millet,  les groseilles, les myrtilles, les framboises, les lentilles, les haricots mungo, les noyaux de pêche, de prunes, les épinards, les choux, etc…. Mais en trés grande quantité dans les noyaux d’abricots.

C’est une vitamine hydrosoluble, qui établit la synthèse de l’hémoglobine, des acides gras et des acides aminés ; Elle est indispensable pour l’utilisation des autres vitamines du groupe B. La carence de cette vitamine peut provoquer de la fatigue, de l’insomnie, une peau sèche, un manque d’appétit, des douleurs musculaires .
C’est un peu long tout ça, mais il s’agit du cancer tout de même, ça mérite quelques instants de votre attention. N’attendez pas que ce soit nos instances qui nous en parlent.

 SOURCE DE L’ARTICLE : http://santenature.over-blog.com/article-vitamine-b17-et-cancer-62109280.html

Un autre article : http://www.cancersortezdelaboite.com/l%E2%80%99histoire-de-la-vitamine-b17-laetrile/

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(1) http://www.slate.fr/france/79671/le-prix-immoral-des-nouveaux-medicaments-anti-cancer

(2) http://www.lemonde.fr/sante/article/2013/12/12/hausse-du-nombre-de-cancers-le-constat-alarmiste-de-l-oms_4333500_1651302.html

(3) http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140203.OBS4868/les-cas-de-cancer-devraient-augmenter-de-70-en-20-ans-dans-le-monde.html

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