L’aluminium : ce poison légal qui met en danger la santé humaine

C’est un sujet que nous avons souvent traité, notamment à propos des vaccins. L’été avance et à la rentrée les campagnes de vaccinations anti-grippales vont se déchaîner dans les médias via la peur d’une souche sortie d’un tiroir quelconque..

Nous  ne répèterons jamais assez ! L’aluminium est un poison pour l’organisme et il est  partout : autour et dans nos produits de consommation courante. Témoignage d’une victime :

Aluminium, un poison répandu dans l’alimentation… mais pas seulement. Dans les médicament aussi, les cosmétiques, et plus grave : les vaccins. J’ai décidé de porter ici mon propre témoignage ainsi qu’une mise en lumière plus générale sur ce poison qu’est l’aluminium. Beaucoup ont écrit dessus, peu l’on vécu. je souhaite que cet éclairage fasse venir une prise de conscience.

A l’occasion de l’émission sur France 5 le 14/2 enquête de Santé, je décide ici de briser le tabou que France 5 n’a pas voulu écorner pour des raisons évidentes (protéger le discours de la vaccination), quand cela avait été fait plus tôt sur France 3 le 22/01 « Aluminium notre poison quotidien »
L’aluminium, ce poison légal, est présent partout dans notre alimentation moderne, et parfois en quantités significatives. Ce qui est le cas de certaines crèmes cosmétiques, les vaccins (adjuvant d’activation), certains dentifrices, déodorants (anti transpirants), des conserves telles que du lait pour bébé, ou encore l’eau du robinet (adjuvant de floculation).
On peut en citer d’autres, la liste n’étant pas exhaustive bien entendue, tel que pourrait vous le dire le docteur souvet (du même reportage).
Papier alu mis en contact avec des substances acides, pains et viennoiseries (dans la conservation du levain) et biscuits, après champoings, fars, vernis…. Et autres cosmétiques de type teinture notamment, crèmes (anti agglomérant) comme dans les crème solaires…
L’aluminium se cache dans de très nombreux produits, ses effets sont considérables, et plutôt du genre irréversible. Comme de nombreux métaux lourds il est toxique (sauf les oligo-éléments et autres non métabolisés car non réactifs), il constitue un poison qui, grâce aux lobbies industriels, n’est pas pris en compte en France comme étant potentiellement dangereux alors que les effets délétères sont connus et avérés.
L’aluminium est considéré par certains comme neurotoxique pour l’homme. Issu de la bauxite importée d’Afrique, il le devient notamment sous l’hydrate d’alumine, forme la plus courante utilisée dans la chimie.
Utilisé dans certains aliments, cosmétiques, médicaments, tous les vaccins quasiment, l’eau du robinet souvent, c’est un scandale sanitaire.
En Grande Bretagne, il avait été mesuré des quantités dans le lait infantile de 0.4 à 0.63 mg/litre soit trois fois plus de que ce qui est utilisé pour l’eau du robinet (0.2 mg/l). C’est ce qui a mis le feu aux poudres (de lait) pour ainsi dire…
Pour des raisons de coût, ce produit reste dans les processus industriels.
Si l’aluminium a fait polémique en grande Bretagne (et exit la France au passage), c’est parce que avant 6 mois la barrière encéphalique n’est pas formée, faisant pénétrer dans le cerveau des enfants de grandes quantités de ce produit, ce qui, étant donné que l’aluminium reste dans les tissus, va causer des maladies neurologiques graves à l’âge adulte, une fois la dose limite* dépassée ainsi plus rapidement.
(*Il existe néanmoins une norme européenne conseillée* de l’EFSA : 1 mg/kg et par semaine : ce qui est déjà en fait beaucoup…)
(*Ce qui veut dire que les industriels en font strictement ce qu’ils en veulent, ce qu’ils ne se privent pas de faire).
Car il a été démontré que, dans le muscle, en particulier à l’endroit de la vaccination, puis ailleurs aussi, l’aluminium des vaccins persistait dans les tissus très longtemps (des années) chez les personnes qui déclarent une MFM, leur donnant des douleurs musculaires et des fatigues chroniques. Il a été mise en évidence en particulier une relation avec l’adjuvant aluminium et non pas uniquement une relation avec un vaccin donné.
Une étude du docteur Romain Gherardi met en cause chez la souris les vaccins à l’aluminium, avec une neurotoxicité dans le cerveau évidente.
De nombreux autres articles sont parus à ce jour sur le sujet dans le monde…
Après le vaccin, les anti-transpirants chargent considérablement le corps avec l’aluminium. Les sels d’aluminiums seraient aussi été impliqués dans le cancer du sein avec des cosmétiques appliqués localement.
Les vaccins peuvent être fabriqués en utilisant le phosphate de calcium avec le même bénéfice que l’hydroxyle d’aluminium, mais avec une garantie d’innocuité car le calcium est, lui, métabolisé normalement par l’organisme.. dans les os !
L’aluminium est utilisé comme additif en agent levant, de blanchiment, le sulfate d’alumine est utilisé comme agent de transformation de réaction pour des substances comme les amidons modifiés, c’est aussi un conservateur générique (charcuterie, plats préparés), un antiagglomérant (présent même dans le sel de table), un colorant alimentaire, un pénétrant pour les crèmes, un durcissant pour le vernis à ongle, un agent anti-transpirant dans les déodorants…
Parfois les publicitaires mentent carrément, enlevant l’aluminium sous forme chlorhydrate et s’en ventant avec grand renfort de pub… pour le remettre discrètement sous une autre forme chimique mais ça reste de l’aluminium.
Il est présent pour une dizaine d’additifs alimentaires, dont le E541 (boulangerie), le E173 (colorant), le E520 (épaississant), le E1452 (émulsifiant), le E559…
Bien que l’approche en dose limite utilisée par la réglementation est soit de fait une arnaque (déjà personne n’est sensible à la même dose pour commencer…), il est impossible en définitive de calculer le cumul absorbé par une même personne dans une même journée. Sauf à dire que, nous explosons forcément ce maximum quotidiennement à cause des produits multiples utilisés.
Car dans la pratique, les fabricants en usent énormément. Il n’y a bien que le bio pour ne pas utiliser l’aluminium.
Pour la vaccination, pratiquement tous les vaccins sont à l’aluminium, et en particulier les vaccins conçus sur le sol Français. En cause principalement en effet « secondaire« , la MFM. C’est une maladie auto-immune grave neuromusculaire !!!.
Ce composé alternatif a été supprimé des vaccins sans autre justificatif que le profit industriel. Lorsque Pasteur a fusionné avec Mérieux, il a abandonné la fabrication des anciens vaccins à base de calcium, pour privilégier une unique chaine de fabrication préconisée par l’Institut, chaîne répandue à l’époque, et donc conservée depuis.
En témoignait ainsi Marc Girard, directeur scientifique pasteur de 84 à 88, dans le reportage de France 3.
Sanofis-pasteur a même été jusqu’à affirmer que son laboratoire n’a jamais fait de vaccin à base d’adjuvant au calcium, pour ensuite revenir sur cette déclaration (il en existait bien un en 2008, supprimé depuis).
En règle générale, il semble que les laboratoires Sanofis-pasteur-merieux (ce consortium en fait) ne fabrique à ce jour plus aucun vaccin autre qu’avec de l’aluminium.
On savait pourtant alors que l’aluminium favorisait la production d’IGE (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/707792) , impliquée dans les réactions allergiques, et plus généralement dans les problèmes immunitaires comme pour la MFM.
À ce sujet, on ne parle que de cette maladie liée à l’immunité, alors que d’autres maladies immunitaires sont en cause.
Pour terminer, j’en parle de source sûre, et j’enlève le conditionnel, puisque votre serviteur est personnellement concerné. Je donne ici relativement courageusement mon propre témoignage, en preuve et à charge (et c’est là que l’anonymat tant contesté par le pouvoir sert !).
Depuis une dizaine années, à chaque fois que je fais la vaccination pour la grippe, environ exactement 7 à 15 jours plus tard, après que les réactions immunitaires du vaccin sont effectives, je contracte une éruption allergique cutanée systématique et de plus en plus forte d’année en année. Cette éruption met plusieurs mois à se dissiper incomplètement.
D’abord discrète et quasi invisible, elle est devenue handicapante depuis ces trois dernières années. Bien que reconnu génétiquement comme étant dans la communauté des allergiques, je mets à ce jour en cause le vaccin.
En effet, si le corps médical attribue ma réaction à une Dermatite Atopique érythémateuse, je l’ai bien développée à la suite des injections du vaccin de la grippe. La maladie ne se déclare essentiellement qu’après la vaccination et s’estompe de plus en plus difficilement après.
Plus grave encore, je fais d’autres poussées éruptives inexplicables alors qu’avant j’en faisait pas. Mais elles sont sans commune mesure avec celle qui suit la vaccination.
Devant la fulgurance de la dernière réaction de 2011 (j’aurais pu croire avoir eu de nouveau contracté la variole, or c’est impossible  !), J’ai donc décidé d’arrêter le vaccin… (malgré les risques de grippe) et ce, malgré également le discours médical, que bien entendu je ne crois plus, d’autant plus que la D.A. est une maladie héréditaire qui ne se déclare normalement* que pendant l’enfance… Ce qui n’est mystérieusement (d’après le corps médical) pas mon cas : cherchez l’erreur !.
(*en fait,  je connais avec certitude au moins une cause pour laquelle l’adulte la déclare !).
Pour moi, il n’y a donc plus de mystère à ma maladie. J’en tire enfin les conséquences (il était temps). Bien entendu, je fais partie des pauvres malheureux qui ont une prédisposition génétique aux allergies. Mais mon cas est répertorié nulle part. Il est juste concerné par le lien entre aluminium et maladies immunologiques.
Par ailleurs, La médecine n’étant pas capable de me soulager, surtout au niveau des douleurs, ayant des érythèmes extrêmement et anormalement douloureux, j’ai pu avec succès avoir de bons résultats avec la phytothérapie, que j’ai dû m’auto prescrire après des recherches poussées sur Internet (au passage : parfois la phyto ça se prescrit aussi), les médecins étant « infoutus » de bien me conseiller, bien au contraire…
Non seulement j’ai été victime de l’aluminium, mais également j’ai dû subir l’incapacité de la médecine (voir le mépris du sachant) vis-à-vis des malades de la D.A., avec en cause aussi le manque de moyens de recherche. Abandonné, je n’ai eu mon salut qu’a la présence d’esprit de rechercher seul et vite une alternative. (et je ne suis même pas guéri, juste quej’essaye de garder les choses sous contrôle, étant comme vous quotidiennement toujours exposé. depuis je cours derrière le train de la santé, mais peut-être il aurait mieux valu ne pas le laisser filer...)
Depuis, je relativise fortement sur la capacité qu’a la médecine à faire son travail : il vaut mieux agir en cas de doutes et ne pas tout croire, je puis vous l’affirmer.
Combien d’autres cas en France vont à l’insu des Français causer des maladies auto-immunes diverses, des dégénérescences cérébrales, des cancers du sein et peut-être d’autres maladies, parce que l’usage de l’aluminium (et d’autres produits) n’est (ne sont) pas règlementé(s), voire interdit(s), comme il le devrait(aient) ?.
De plus en plus de Français sont ou deviennent des allergiques à divers degrés, et certains ne le savent même pas, et surtout ne savent pas qu’ils vont devenir malade. Si moi suis concerné, je fais le pari que la sensibilisation à l’aluminium est bien plus rependue et plus potentielle qu’on voudrait bien nous le faire croire… Mais à des degrés divers.
Il faut comprendre que la maladie se déclare n’importe quand. Il n’y a pas de règles : pourquoi telle année alors qu’avant tout se passait bien ? mystère… Des enfants verront la réaction dès les premiers vaccins, mais cela n’est pas obligatoire, voici ce que je peux vous en dire…
Car si l’Aluminium est mise en cause directement par les personnes ayants des prédispositions immunologiques héréditaires, la population entière reste concernée, au même titre que pour l’amiante, le mercure, le plomb… pour ne citer que dans les métaux déjà connus et reconnus.
Pire encore que le « quand, » le « n’importe qui » est aussi probable…
Pour faire comprendre l’étendue du problème, il faut savoir que les déficiences de type génétiques ne sont pas uniquement du ressort de la génétique seule mais aussi de l’épigénétique, ce qui fait qu‘un individu peut déclarer de son vivant une maladie que normalement il ne devrait pas contracter d’après les seules lois génétiques. Et qui plus est, à n’importe quel moment. J’ai le droit de le dire, je l’ai vécu, ayant combiné en fait les deux problèmes. Ayant fait des recherches sur le sujet, j’affirme aussi que l’épigénétique suffit à elle seule à expliquer certains cas.
Ce point de vue est largement mis entre parenthèse par la communauté scientifique (sans le nier), mais qui néanmoins mène activement des recherches dans ce sens depuis bien des années…
Il en ressort que la définition des malades de demain sera différente de celle supposée hier… Oui la médecine a beaucoup à apprendre…. de ses patients, quand elle veut bien les écouter, chose qui n’est visiblement pas si évidente que cela…
L’AFFSAPS, à ce jour, refuse de mettre en cause l’utilisation de l’aluminium dans les vaccins. Les parents qui refusent l’administration d’un vaccin à leur enfant se retrouvent dans l’illégalité, même si le lien est démontré par affiliation génétique (parent malade et reconnu comme tel avec relation avec les vaccins) démontrant ainsi que les enfants courent notoirement un risque.
L’EFSA, à ce jour, n’impose pas aux industriels de limite à l’utilisation de l’aluminium. Songez simplement aux containers que vous manipulez tous les jours contenant des denrées alimentaires ou en contact avec, mais aussi des médicaments divers… Et puis il y a les additifs criminels, bien entendu.
À ce jour, le plein permis de nous empoisonner la vie est délivré. Y compris sur ordonnance. Et s’il n’y avait que l’aluminium encore, mais ce n’est qu’un petit exemple des méfaits de l’industrie capitaliste

 

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