La France traite l’eau potable « fluorisée » avec un résidu toxique

Tandis que l’accident de Fukushima est entrain de polluer les océans et l’atmosphère, que nous relayons ici régulièrement les méfaits des pesticides, herbicides, colorants, et autres poisons légaux, que les chaimtrails sont enfin reconnus, que des milliers d’espèces sont en voie de disparition à un rythme jamais vu, que l’on ne peut plus se fier ni à ce que nous respirons, ni à ce que nous mangeons, ni à ce que nous buvons (voir l’article et les liens ci-dessous), ni à ce qui est sensé nous soigner, l’on peut se poser cette questions inquiétante : Mais vers quoi  court l’humanité ? La Terre finira toujours par s’en sortir… Elle a quelques milliards d’années devant elle… Mais nous ?

ARTICLE :

Au prétexte de prévenir les caries, les producteurs d’eau « fluorisent » l’eau du robinet depuis des décennies dans le monde entier, une pratique qui ne suscite aucun débat en France, alors qu’elle est interdite en Allemagne et en Suède, et très majoritairement rejetée dans les pays de l’Union Européenne. Si les USA, le Canada ou l’Australie l’appliquent également, la « fluorisation » y soulève des questions éthiques et y inspire des luttes, totalement méconnues en France, où la question, totalement occultée pourrait déclencher de nouvelles polémiques, à raison même de cette occultation…

Tout dentiste sait fort bien que le fluor peut causer des dommages aux dents, sous forme de fluorose dentaire, qui n’est que la partie visible des dommages du fluor sur tout le système osseux. S’il peut présenter certains bénéfices, en application locale, il est fortement déconseillé aux parents de donner des suppléments de fluor par ingestion, et donc par voie digestive à leurs enfants.

On sait moins, car ce n’est que très rarement indiqué sur les tubes de dentifrice, il faut contacter un centre anti-poison en cas d’ingestion de dentifrice…

La plupart des dentifrices contiennent en effet, en plus du fluorure de sodium, du Triclosan, un perturbateur endocrinien bio-accumulatif.

Les dangers du fluor

Le fluor qui est lui aussi bio-accumulatif et s’associe aux ions d’aluminium et de plomb est, d’une part, l’élément essentiel pour la production de l’aluminium, et d’autre part le principal résidu issu de cette industrie. Le fluor et l’aluminium adorent en effet se combiner en fluorure d’aluminium, qui traverse la barrière sang-cerveau et cause des dommages semblables à ceux de la maladie d’Alzheimer, en altérant l’intégrité neuronale et cérébro-vasculaire, causant des déficiences immunes provoquant une forme de « démence micro-vasculaire immune ».

Une étude (en anglais) publiée en 1998 par Brain Research a ainsi établi que O,5ppm (parts par million) de fluorure d’aluminium ajoutés à l’eau de boisson d’un groupe de rats peut causer plus de mortalité et d’infections que dans d’autres groupes qui ont reçu 5ppm ou même 50ppm de fluorure de sodium.

L’eau potable fluorisée avec un résidu toxique?

Quel rapport avec la production de l’eau potable en France?

À priori, l’ajout de « médicaments » dans l’eau est illégal, mais l’Association française de normalisation (AFNOR) a homologué, comme l’établit « l’Avis relatif à l’homologation et à l’annulation de normes publié au Journal Officiel du 24 octobre 2006″, au chapitre « Eau: milieux et usages », parmi les produits chimiques autorisés « pour le traitement de l’eau destinée à la consommation humaine (NF EN 12175) l’acide hexafluorosilicique (indice de classement: T94-213). »

En France, pour produire de l’eau potable, on injecte donc dans les usines de potabilisation, non pas du fluorure de sodium de qualité pharmaceutique, mais de l’acide hexafluorosilicique qui, comme l’établit sans conteste la fiche de sécurité des Laboratoires Solvay, est un résidu toxique concentré, issu des déchets polluants des industries de l’aluminium et des engrais phosphatés…

Cet acide est extrait à partir des filtres épurateurs anti-pollution installés dans les usines, et il est contaminé par des métaux lourds, de l’arsenic, du plomb, du mercure, du cadmium, du phosphore, des sulfates et des isotopes radioactifs…

J’exagère? Voir ci-dessous un extrait du lien http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/pet_221_f_30308.html:

(Ndlr : Je n’ai pas pu accéder à ce lien)

Préoccupations en matière de santé et d’environnement relativement à la fluoration de l’eau potable

[Traduction]

En ce qui concerne l’utilisation d’acide hexafluorosilicique comme source de fluorure pour la fluoration de l’eau, l’Agence (EPA, Environmental Protection Agency, agence de protection de l’environnement US, ndt) estime qu’il s’agit d’une solution environnementale idéale à un problème de longue date. En récupérant l’acide hexafluorosilicique, un sous-produit de l’industrie des engrais, on réduit la pollution de l’air et de l’eau, et les services d’approvisionnement en eau disposent d’une source de fluorure à faible coût.

   – Rebecca Hanmer, administratrice adjointe du Bureau de surveillance de la pollution de l’eau, EPA, 30 mars 1983.

Essentiellement, nous retirons des agents polluants de l’air (où ils contaminent les régions aux alentours des cheminées) pour les déverser dans notre eau (où ils sont dilués de manière plus efficace). Il n’en demeure pas moins que nous ajoutons des produits chimiques toxiques à notre eau. Est-ce bénéfique? Légal? Éthique?

[Traduction]

Si ces substances sont rejetées dans l’atmosphère, ce sont des polluants; si on les déverse dans les rivières, ce sont des polluants; si on les déverse dans les lacs, ce sont des polluants; mais si on les verse directement dans notre réseau d’eau potable, ce ne sont plus des polluants. C’est incroyable!

   – Dr. Hirzy, 2000, premier vice-président, Syndicat des professionnels de l’EPA.

(…)

Force est donc de constater qu’un cocktail de poisons peut être ajouté à l’eau du robinet en toute impunité depuis décembre 2001, lors même que le nouveau décret du 20 décembre 2001 relatif aux eaux destinées à la consommation humaine insistait à l’envi qu’en matière d’information sur l’eau primait désormais le souci de la transparence…

Normes et santé publique

La décision de l’AFNOR témoigne à contrario que la France a préféré ne pas s’embarrasser d’un débat public (perdu d’avance), sur les prétendus bienfaits du fluor (et de la médication forcée), sur la santé dentaire, face aux dangers bien réels de l’utilisation de l’acide hexafluorosilicique dans la production de l’eau potable…

On nous objectera qu’il n’existe aucune étude prouvant la nocivité de l’acide fluorosilicique ajouté à « l’eau du robinet »…

Les faits sont têtus. de très nombreuses études scientifiques existent, prouvant la neurotoxicité aigüe de ce cocktail de poisons bio-accumulatifs (arsenic, plomb, mercure, chrome, cadmium, fluorure d’hydrogène et baryum…). Ces études démontrent par ailleurs que l’assertion consistant à prétendre que des doses infimes sont inoffensives est fausse en raison du caractère bio-accumulatif de ces déchets industriels toxiques.

In fine l’affaire repose aussi la question de la validité des normes définies par les organismes privés que sont l’AFNOR et l’ISO, normes élaborées par des industriels et qui sont ensuite, on le voit, intégrées aux réglementations et législations publiques, comme ici, par le biais d’un simple « Avis » publié au Journal Officiel…

ARTICLE COMPLET SUR :
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/07/20/27668092.html

A LIRE AUSSI : http://cdurable.info/Du-poison-dans-l-eau-du-robinet-France-3-Quelle-eau-buvons-nous-M6.html

http://naturealerte.blogspot.fr/2012/03/05032012france-5-fois-plus-de.html

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