LA SANTÉ À LA DÉRIVE… FAITES CIRCULER!

Le chiffre des victimes de notre système de santé est ahurissant, et le coût pour la sécurité sociale gigantesque

 

Le SES a informé nos députés, à vous d’en faire autant :
 
Le Syndicat Environnement Santé (SES) est déjà intervenu par courrier auprès des députés le 10 mars 2009, à la suite de l’arrêté du 3 février 2009 du ministère de la santé, portant la création d’un groupe d’appui technique sur les pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique. À l’époque, nous avions proposé notre candidature pour être intégrés dans le groupe au titre de représentativité des usagers des différentes thérapies naturelles. La ministre du moment Madame Roselyne Bachelot avait refusée notre proposition.
 
Alors qu’une nouvelle assemblée vient d’être élue et un gouvernement constitué, qu’est ce qui a changé ? Rien ! Au contraire, on constate une aggravation de la situation. La santé part à la dérive, des médicaments jugés dangereux ne sont toujours pas retirés du marché, leurs effets secondaires sont responsables de 150 000 hospitalisations, et les victimes se comptent par milliers. Si on y ajoute les maladies nosocomiales, les accidents vaccinaux et autres, le chiffre des victimes de notre système de santé est ahurissant, et le coût pour la sécurité sociale gigantesque. Dans ce contexte on se demande où est l’autorité du ministère de la santé !
Faut-il alors s’étonner que nos concitoyens s’orientent vers les médecines naturelles, dont les dernières statistiques montrent que 70 % d’entre eux les utilisent occasionnellement et au moins 50 % régulièrement ? Les médecines naturelles portent tort aux lobbies pharmaceutiques, soutenus par l’ordre des médecins et des pharmaciens qui qualifient les médecines douces de poudre de « perlimpinpin » et ses praticiens de « dérapeutes ».
Faut-il rappeler à ces messieurs de « l’ordre » que leur organisme a été fondé en 1941 sous le régime nazi et que leur sale besogne était la chasse aux médecins juifs. Aujourd’hui rien de changé dans la méthode, puisque ce sont les thérapeutes des médecines douces qu’ils pourchassent, arrivant même à force de persécution à pousser certains d’entre eux au suicide ! Ce sont des crimes légalisés, sans auteur mais signés.
L’ordre des médecins agit aujourd’hui comme un tribunal d’exception de triste réputation. L’ancien Président socialiste François Mitterand qualifiait l’ordre « d’outrage à la démocratie ».

Quant à la Miviludes, sous le prétexte fallacieux de mener la lutte anti secte, elle est avant tout un organisme de manipulation et d’intimidation collective, exerçant des pressions pour interdire, ici et là, universités et conférences sur les médecines douces, s’en prenant même à des associations loi 1901 qui n’ont rien à voir avec des sectes. Les dirigeants de la Miviludes seraient bien inspirés de se procurer le rapport sur l’impact des sectes en France, diligenté par l’ancien Président Nicolas Sarkozy. Ce rapport jamais divulgué au public (pour cause de politique politicienne) indiquait que les sectes ne posaient aucun problème en France. La complicité est évidente entre l’ordre des médecins et la Miviludes et le pouvoir en place utilise les médias pour diaboliser les médecines naturelles.

La France, pays des droits de l’homme, mène une politique discriminatoire envers toute une série d’approches nouvelles. C’est un sabotage invisible qui est organisé à l’encontre de l’opinion publique, tout cela pour protéger les intérêts des labos pharmaceutiques.
Le dernier scandale prouve la corruption dans les instances de certaines élites par l’industrie pharmaceutique. Les conflits d’intérêt continuent de plus belle.
Le SES demande la reconnaissance officielle des médecines non conventionnelles et la liberté du choix thérapeutique.L’exemple de la Suisse qui s’est prononcée pour l’inscription des médecines complémentaires dans la constitution helvétique, ainsi que l’enseignement de ces médecines aux médecins conventionnels, devraient inciter nos élus à plus de responsabilité, de transparence et de courage politique dans ce domaine, enjeu de plusieurs milliards d’euros d’économie.
Le SES propose la création d’un conseil national supérieur des médecines conventionnelles et non conventionnelles. Rassembler et unir toutes les médecines sans discrimination pour le bien être des patients reste pour le SES l’objectif prioritaire. Nous sommes disponibles pour collaborer avec le CAS (Centre d’Analyse Stratégique) qui manifestement a pris l’ampleur de l’impact des médecines douces sur l’opinion publique, le CAS proposant de les intégrer dans notre système de santé.
Si la situation reste figée, le syndicat SES prendra ses responsabilités et lancera une campagne d’informations auprès des thérapeutes, médecins se situant hors protocole, les fabricants de produits de santé et les particuliers pour leur proposer la création d’une structure indépendante (conseil national des médecines non conventionnelles et des différentes méthodes de santé) à laquelle ils pourront se référer.
Madame, Monsieur le Député veuillez agréer nos plus respectueuses salutations.
 
Le Président du SES
Jack Lionet
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Commentaire de Sylvie Simon:
Je suis d’accord avec le SES, mais ne croyez pas que cette demande d’un conseil national des médecines non conventionnelles et des différentes méthodes de santé impliquerait la création d’un nouvel Ordre des médecines non conventionnelles, qui fonctionnerait comme celui de l’Ordre des médecins, bien au contraire.
 Au sujet de ce scandale qui dure depuis l’époque noire de Vichy, le SES confirme : « Face à cette situation alarmante et inadmissible, le syndicat SES demande aux élus de la République d’intervenir au plus haut niveau pour exiger la dissolution de l’Ordre des médecins et de la Miviludes. Ces instances sont incompatibles avec la démocratie et la constitution Française. »
Source : http://www.sylviesimonrevelations.com
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