ESPÉREZ ! Les nouveaux combattants pour la Terre

Non ! Tout n’est pas fichu ! Notre monde bouge.. Il oscille, en fait,… Ce que les médias nous montrent n’est qu’une partie de la réalité, la plus noire, celle qui nous paralyse de peur et nous replie tremblants dans nos terriers de lapins affolés, prêts à tout subir pour que surtout rien ne change.

Mais tout changera de toutes façons, et il vaut mieux être acteurs que victimes. C’est ce que se disent sur toute la planète des hommes et des femmes de bonne volonté,  (plus nombreux que ce que l’on nous laisse croire), qui se battent pour que notre avenir soit meilleur, loin des Cassandre de la solution finale d’une humanité en déshérence. Ici, il s’agit d’environnement et d’écologie. Mais il y a les mêmes qui réfléchissent et se penchent aussi sur tous les aspects de notre vie sociale pour stopper la catastrophe annoncée et bâtir des solutions pour reconstruire un avenir plus harmonieux.

Ensemble, refusons la dépression ! Rapprochons-nous les uns des autres, mettons nos idées en commun, créons des réseaux, apprenons à nous connaître et à nous aimer, cultivons l’espoir c’est la meilleure des dynamiques et des anti-dotes ! 

Galadriel

Exemples :

Les nouveaux résilients

 

Du Togo au Congo, en passant par les Philippines et la Papouasie-Nouvelle Guinée, des hommes et des femmes rivalisent de trouvailles et d’énergie pour permettre aux populations de résister au changement climatique qui approche.

Ici, le changement climatique n’est encore qu’une épée de Damoclès. Là-bas, il sévit déjà. Sécheresse, dégradation des sols, insécurité alimentaire… Dans de nombreux pays du Sud, des populations sont, dans leur quotidien, aux prises avec les conséquences du dérèglement. Pour s’en prémunir ou s’y adapter, des porteurs de projets rivalisent d’inventivité. Ils imaginent de nouvelles sources d’énergie, redécouvrent des plantes, réapprennent à cultiver en milieu aride. Le Centre de coopération international en recherche agronomique pour le développement (Cirad) et l’Agence française du développement (AFD) a lancé le concours Challenge Climat pour récompenser ces initiatives. Terra eco est allé à la rencontre de ces nouveaux résilients.

Retrouvez tous ces acteurs ci-dessous :

Les nouveaux résilients (1/7) : le gardien des sols Comment cultiver sur des terres que le changement climatique rend de plus en plus arides ? Au Togo, Bakary Samake tente de lutter contre ce fléau en brisant l’addiction aux engrais.
Les nouveaux résilients (2/7) : la planteuse d’arbres Inondations, typhons, incendies : les Philippines sont l’un des pays les plus vulnérables au changement climatique. Sans attendre l’« Appel de Manille », Norma Llemit a cherché à protéger son île. Sa solution : la reforestation.
Les nouveaux résilients (3/7) : le VRP du hanza mal-aimé Au Niger, on dénigre certaines plantes autochtones. Or, elles sont parfois les plus aptes à résister aux épisodes de sécheresse. Josef Garvi s’est donné pour mission de redorer leur réputation.
Les nouveaux résilients (4/7) : la militante antibrûlis Au Cameroun, l’agriculture sur brûlis fait des ravages et accélère la déforestation. Dans un village du bassin du Congo, des jeunes gens apprennent aux paysans à planter des vergers écologiques et à diversifier leurs revenus.
Les nouveaux résilients (5/7) : le marchand de carbone En République démocratique du Congo, Olivier Mushiete Nkole s’est lancé dans un vaste programme d’agroforesterie. Et pour financer les investissements initiaux nécessaires, il a fait appel au marché carbone.
Les nouveaux résilients (6/7) : le sourcier indien Humidifier les racines grâce à de simples bouteilles d’eau plantées dans le sol. C’est le système inédit et peu coûteux développé pour contrer les sécheresses par Gopal Komandur et l’ONG Centre for Environment Concerns.
Les nouveaux résilients (7/7 ) : l’ingénieur lumineux Inventer une machine qui transforme la coco en huile, utiliser cette huile pour générer de l’électricité, décortiquer du riz à l’énergie solaire… En Papouasie-Nouvelle Guinée, Gregory Denn fourmille d’idées pour donner de l’énergie aux villageois.

 

Et le bonheur, c’est collectif aussi; je suis heureux pour quelqu’un qui a eu une bonne nouvelle; je suis heureux d’avoir ri tant avec un ami; je suis heureux d’avoir pu aider quelqu’un aujourd’hui; je suis heureux d’être en relation avec les autres.

Partagez-le, votre bonheur; il rendra probablement quelqu’un d’heureux. Et partagez-la, votre détresse; vous la trouverez moins lourde, moins insupportable et peut-être trouverez-vous une bonne oreille qui  vous ne fera pas sentir coupable de ne pas bien aller.

-Stéphanie Deslauriers

 

SOURCE DE L’ARTICLE

http://www.terraeco.net/Les-nouveaux-resilients,58962.html

SOURCE DE LA CITATION :

http://ensemblemaintenant.com/2011/11/

 

 

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