Darwin et sa théorie mis à mal par une étude génétique !
Stupéfiant ! Une étude très sérieuse des gènes animaux révèle que 9 animaux contemporains (et le détail est important) sur 10 seraient apparus en même temps que celle supposée des hommes…
Voilà qui va renforcer la position créationniste biblique mais pas que… Et si notre planète avait été « visitée » et ensemencée par une race extra-terrestre techniquement très évoluée ? C’est en tout cas ce que défendent certains interprètes des tablettes sumériennes.(1) Certes on y parle guère des animaux, plutôt de la création de l’homme. Mais bon, qui peut le plus peut le moins.. Dans tout les cas, c’est passionnant : Ce darwinisme imposé comme bible incontournable de l’histoire terrestre en prend un sacré coup avec cette découverte et donne du grain à moudre à de nombreuses spéculations.
C’est « fun » la science par moment.. Vous imaginez la pagaille dans le poulailler universitaire ? :))
(1) https://fargin.wordpress.com/tag/tablettes-sumeriennes/
Une étude génétique révèle que 90 % des espèces animales sont apparues en même temps
Pour les tenants de la théorie de l’évolution, c’est un mauvais coup ou, à tout le moins, une énigme. L’étude de l’ADN mitochondrial dans le cadre d’une recherche génétique de grande envergure vient de révéler que 90 % des animaux, ou plus exactement 9 espèces animales sur 10 sont apparues sur Terre à peu près en même temps que l’homme, il y a 100 000 ou 200 000 ans. L’un des principaux auteurs, David Thaler, généticien à l’université de Bâle, reconnaît que la conclusion de sa recherche est « très surprenante ». « Je l’ai combattue autant que je l’ai pu. », avoue-t-il. Pourquoi ? Parce qu’elle ne « colle » pas avec les faux dogmes obligatoires de ce qui demeure une théorie.
Avec son collègue Mark Stoeckle de la Rockefeller Université, il a exprimé son étonnement devant plusieurs faits constatés à travers ses analyses de cinq millions de « codes-barres » d’ADN mitochondrial de 100 000 espèces actuellement présentes dans différentes régions du globe terrestre. D’une part, ils ont constaté que les variations « neutres » – les petites variations d’ADN qui se succèdent au fil des générations – sont beaucoup moins fréquentes que « prévu » par les évolutionnistes. Et ce quel que soit le nombre d’individus que comptent aujourd’hui les dites espèces.