Le coup de gueule du jour : Cuba le paradis des abeilles et autres réflexions
Pas besoin de tergiversations à n’en plus finir alors que la preuve la plus évidente est sous le nez de tous les technocrates du monde. L’ile de Cuba qui n’utilise quasiment plus de pesticides depuis le début des années 90 a des rendements de miel qui font rêver nos apiculteurs : 45 kg de miel par ruche et des abeilles qui pètent la forme.
ÇA c’est une preuve, une vraie preuve par la vie elle-même, pas des dossiers scientifiques de démonstrations contradictoires qui s’accumulent sur les bureaux et font traîner les choses pour plaire à M. Bayer-Monsanto et lui permettre jusqu’au bout de se mettre un maximum de pognon dans la poche tout en continuant à empoisonner le monde, c’est à dire nous. Parce que, là-haut, dans les étages élevés de la pyramide, pas de soucis, ce n’est pas chez Lidl ou chez Carrefour qu’ils font leurs courses. Ce n’est pas eux non plus qui manipulent les pesticides et qui en tombent malade, ce sont leurs serfs ou ceux des copains.
Ma génération est la dernière à s’être construite sur la base d’une agriculture saine. Les progrès médicaux, l’amélioration des conditions de travail (qui n’est pas tombée du ciel de par la grâce des magnats de l’industrie, je vous le rappelle) et celle du confort de vie ont repoussé l’espérance de vie.
Ne vous faites aucune illusions, jeunes générations. Tout ce poison que vous absorbez depuis votre présence dans le ventre de vos mères jusqu’à aujourd’hui et hélas encore un certain nombre d’années si rien de change, n’est pas et ne peut pas être sans conséquence.
Déjà, l’espérance de vie en bonne santé diminue, mais quand viendra votre tour, où en serez-vous, vous les enfants bombardés de pesticides, d’OGM, de micro-ondes, d’ondes magnétiques, de chemtrails de perturbateurs endocriniens de médicaments inutiles autant que dangereux, et j’en passe, oui, OU ?
Ce monde crépusculaire est dangereux. Il s’agit de votre peau, pas de chiffres abstraits, de statistiques dont on pense qu’ils concernent le voisin parce que le déni est plus confortable. La situation environnementale globale est urgente et demande des changements de cap profonds, drastiques, pas les rustines et les pas de deux de politicards vérolés par des lobbies sans scrupules.
L’humanité a les moyens de ces changements. Des milliers de scientifiques éveillés, conscients des problèmes et intègres travaillent depuis des décennies pour apporter des solutions qui n’attendent que notre exigence pour les mettre en œuvre.
Ce système non seulement détruit le biotope mais nous tue. Ouvrez les yeux :
C’est maintenant 1 tiers de la population qui est touchée par le cancer : 1 personne sur 3. Sans compter les maladies chroniques graves comme le diabète tandis que l’on continue à nous bourrer de sucre pour faire tourner à fond l’industrie sucrière alors que nous savons tous ici que c’est un poison pour l’organisme, addictif de surcroît.
Vous trouvez ça compatible avec la notion de progrès d’une civilisation qui est sensée évoluer ? Vous trouvez ça logique ?
Restera la solution de palier à nos déficiences en se faisant bourrer d’électronique… Avez-vous compris que l’on essaye de vous faire rêver avec cette perspective perverse et très fructueuse pour les biotechniques, alors qu’il serait tellement plus sain et logique de vous orienter vers un idéal d’intégrité et de santé parfaite ?
Voilà dans quoi nous vivons : Dans une quête éperdue pour du papier cul et des chiffres sur un écran, pour se gaver le plus possible, là, tout de suite, jusqu’à s’éclater la panse… et en mourir.
Cet esprit « après moi le déluge » suffit. C’est d’un égoïsme, d’une étroitesse, d’un égo-centrisme, et d’une bêtise insondable. Même les animaux savent d’instinct qu’il faut respecter leur biotope et être solidaires sous peine de disparition. Mieux, même les arbres le savent ! Certains qui nous gouvernent avec de beaux diplômes n’ont même pas le niveau de conscience d’un végétal.
Nous, les guetteur, les réveillés, ne laissons pas faire, ça devient urgent si ce n’est déjà trop tard…
Laissons de côté nos égos sur-gonflés, nos formatages, nos dogmatismes, nos à-prioris, toutes ces petites boites qui nous cloisonnent et nous coupent les uns des autres. Droite, gauche on s’en fout. C’est tous ensemble qu’il faut abandonner nos comportements de cours de récré.
L’heure est grave, nous devons grandir.
Galadriel
Dans un pays sans pesticides, les abeilles cubaines sont en pleine forme !