CA Y EST ! Valls a dégainé le 49.3 !
La dictature c’est ferme ta gueule, la démocratie c’est cause toujours : En France, c’est les deux !
Vous l’aurez bien compris, la voix du peuple n’a plus aucun poids ! Nos élus n’ont rien à faire de la volonté populaire.
S’il vous fallait une preuve, que nous ne sommes pas en démocratie
maintenant, vous l’avez !
Ils ricanent dans leurs fauteuils de velours de nantis ? Virons-les ! A la présidentielle d’abord et aux législatives qui suivront. Et rappelez vous, les députés républicains contre cette loi ne voteront pas la motion de censure !
Petits arrangements, lâcheté, calculs politiques, leur g….e et rien d’autre. Voilà le vrai visage de ces gens auxquels nous remettons notre destin et l’avenir de nos gosses.
Nous ne sommes pas en sécurité dans un État qui nous ignore.
Loi Travail : Valls dégaine le 49.3 sous les huées d’une partie de l’Assemblée
Le gouvernement est déterminé à avancer parce que c’est l’intérêt général et celui des Français». Comme nous l’annoncions dès lundi soir, Manuel Valls a de nouveau engagé la responsabilité de son gouvernement en ayant recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution.
Si aucune motion de censure n’est déposée dans les 24 heures, le projet de loi Travail de Myriam El Khomri sera définitivement adopté, sans vote.
Lors de son allocution, le Premier ministre a reçu quelques applaudissements au moment de remercier le rapporteur Christophe Sirugue (PS) mais il a surtout été conspué par l’opposition alors qu’il affirmait que le projet de loi est «texte de progrès social, qui a fait l’objet d’une large concertation».
La droite a quitté l’Assemblée sans attendre
Même si le passage en force était attendu, Manuel Valls a également profité de son discours pour piquer la majorité à droite au Sénat ainsi que les frondeurs. Il rappelle que plus de 800 amendements ont été intégrés en première lecture, et que «malgré ces avancées», il constate «une alliance des contraires, des conservatismes, et des immobilismes». Et d’ajouter : «Cette alliance, c’est celle de ceux qui ne veulent rien changer, qui se satisfont du marché du travail tel qu’il est.»
La droite, avant même la fin de l’allocution, a quitté l’Assemblée, huant le Premier ministre. En réponse, ce dernier a invité l’opposition à présenter une motion de censure. Avant l’allocution de Manuel Valls, le groupe Les Républicains avait indiqué qu’il ne le ferait pas.
SUITE ET FIN DE L’ARTICLE