Honteux ! F. Hollande ment pour maquiller la dette…. comme le fit la Grèce
Extrait de la chronique journalière de C. Sannat, et elle « n’est pas piquée des vers » comme l’a souligné en commentaire de son mail notre contributeur.
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SCANDALE ! Le mensonge d’Hollande pour maquiller la dette ! La France fait comme la Grèce !
C’est l’histoire d’un mensonge totalement fou du président Hollande et de son administration prêts à tout pour une réélection. Alors on s’arrange avec la réalité, on compose avec les chiffres et on aggrave la situation afin de servir ses intérêts propres, car cette fraude à la dette publique est digne de la Grèce de la plus belle époque !!
Ce scandale à lui seul devrait faire tomber ce président donc le mandat n’est plus qu’une vaste farce.
Voici ce que nous rapporte cet article du Point qui vous explique la réalité malgré les simagrées du « ÇA-VA-MIEUX ».
« Selon le rapport sur l’exécution budgétaire que la Cour des comptes a publié le 25 mai, l’exécutif a recours depuis quatre ans à un artifice comptable qui lui permet de sauver les apparences sur l’évolution de la dette. »
« Pour contenir la dette publique avant la présidentielle, l’exécutif a recours à un stratagème fructueux à court terme, mais très coûteux à long terme. »
Voici le début de l’article du Point ainsi que le lien pour vérification… tellement tout cela est hallucinant.
Charles SANNAT
« Reporter l’addition à demain pour embellir la photo dès aujourd’hui. Voilà en résumé le stratagème utilisé par l’exécutif pour contenir l’augmentation de la dette publique. Selon le rapport sur l’exécution budgétaire que la Cour des comptes a publié le 25 mai, Bercy a recours depuis quatre ans à un artifice comptable qui lui permet de sauver les apparences sur l’évolution de la dette.
Le stratagème est décrit dans Le Canard enchaîné du 15 juin. Pour combler le trou laissé par le déficit du budget, Bercy émet chaque année des obligations du Trésor (OAT) comportant des taux de rémunération de 5 ou 6 %, sur lesquels se ruent les investisseurs. Appâtés par la bonne occasion, ceux-ci n’hésitent pas à acheter ces obligations au-dessus de la valeur officielle d’émission, par exemple le double.
Tour de magie
« Résultat : quand l’État vend pour 1 milliard (valeur officielle) d’OAT dopées, il encaisse 2 milliards – un pour la valeur faciale, un autre pour la prime », constate Le Canard enchaîné. L’opération a permis, rien qu’en 2015, de raboter la dette de 22,5 milliards. « Un nouveau record », estime la Cour des comptes.
Et surtout un tour de magie qui a permis de contenir la dette à 95,7 % du PIB. Sinon, elle aurait atteint 98 % du PIB en 2015 et devrait dépasser les 100 % en 2017. Mais l’opération a un coût : ce que l’État gagne au moment de la vente, il le perd en servant des intérêts plus élevés. Pour une émission de février 2015, citée par la Cour, chaque milliard emprunté à 6 % coûtera, pendant dix ans, 60 millions d’intérêt par an, contre 5 millions pour l’emprunt au taux normal émis le même jour. Mais sauver les apparences à un an de l’élections présidentielle, cela n’a sans doute pas de prix. »
Merci Jean-Michel