Santé : Écouter son corps pour entendre son âme.
Si j’ai choisi cet article, c’est que je peux témoigner qu’il dit vrai. Je n’aime pas parler de mes affaires personnelles, me mettre en avant et m’exhiber. Vous me pardonnerez cette impudeur, mais il faut que je témoigne pour aider ceux d’entre vous qui se battent contre une maladie.
Je suis atteinte d’une maladie orpheline qui s’est déclarée il y a un an au mois de Mai. Je suis envahie de kystes arachnoïdiens par dizaines dans le bas de la colonne vertébrale et certains sont énormes. Ces kystes se remplissent de liquide céphalo-rachidiens qui gonflent sous la pression du moindre effort. Ils sont emmêlés dans ce que l’on appelle la queue de cheval, c’est à dire le faisceaux de nerf que nous avons en bas de la colonne et qui gèrent le bassin, les membres inférieurs et l’entre-jambe. Lorsqu’ils se gonflent de liquide, ils touchent les nerfs et c’est atroce. Rappelez vous ce que vous ressentez lorsqu’un dentiste touche le nerf d’une dent malade. Il n’y a aucun traitement, la chirurgie est trop risquée. Seul palliatif : empêcher de souffrir avec des antalgiques puissants à base d’opiacés associés soit à un anti-dépresseur agissant au niveau des terminaisons nerveuses soit à un anti-épileptique détourné de sa fonction qui a une action semblable. Voilà le tableau général.
Les premiers mois ont été un enfer. Imaginez une double sciatique descendant jusqu’aux talons, résistante même aux antalgiques les plus puissants. Pliée en position du foetus dans mon lit, il arrivait parfois que je ne puisse même plus tenir debout et que le fait de seulement me retourner me fasse atrocement souffrir. Je vivais dans un état larvaire, ne sachant ni ce qui déclenchait les poussées, ni quand. Les quelques moments de pose j’en profitais pour continuer mon travail sur le blog, seule fenêtre sur l’extérieur qui me donnait l’impression d’exister encore.
Si je vous raconte ça, ce n’est pas pour attirer votre compassion. Je ne me plains pas. C’est mon chemin de vie et je l’accepte. Je l’accepte mais je ne m’avoue pas vaincue. Ce n’est pas dans mon caractère. Je suis passée par la révolte, des moments de découragement mais pas par le deuil. Pour moi, rien n’est jamais fini.
Devant l’impuissance de la médecine, je me suis référée à ce que je croyais de la puissance de l’esprit. J’ai donc commencé à me renseigner, à écouter des heures de conférences sur le sujet, puis, j’ai découvert grâce à M…., mon amie que je n’ai jamais vue, mais qui me soutient via le net, les musiques de guérison que je trouvais sur you tube en boucle. J’ai modifié mon alimentation. Puis, je me suis remise à la méditation, que j’avais abandonnée, abrutie que j’étais par mon traitement. Je pratique l’auto-hypnose en complément. Je suis aussi soutenue par des amis qui prient pour moi. Je crois au pouvoir de la prière. Qu’ils soient publiquement remerciés ici . Parallèlement, j’ai commencé à me poser la question : que me dit mon corps ? Quel est le message ? Alors, j’ai entrepris de déblayer, de creuser mon enfance, puis ma vie d’adulte. J’ai laissé remonter ce que je tenais verrouillé sous une chape de plomb. Je portais le masque de la fille sûre d’elle et bien dans sa peau, je pensais avoir le contrôle. Et ça marchait. Mais ce n’était qu’une illusion. Ça a marché, longtemps, trop longtemps, jusqu’à ce que je sois obligée de me regarder en face. La vie ne vous lâche pas, jusqu’à ce que vous ayez compris. Ce que je refusais s’est enkysté dans mon corps.
J’ai donc dû regarder ces moments de ma vie que je voulais oublier, et c’est douloureux. J’ai pleuré, beaucoup, et ça m’a fait du bien. Puis j’ai cherché à comprendre qui j’étais, qui étaient ceux qui m’avaient fait souffrir et pourquoi. Enfin, j’ai pardonné, vraiment. Le travail n’est pas fini mais il est bien avancé. Je n’ai plus eu de grosses crise depuis bientôt 4 mois, et lorsque je vais sur les forums qui traitent de ma maladie, je réalise que cela tient du miracle. J’ai repris doucement des activités dont je n’aurais seulement pas rêvé il y a deux mois.
Ce n’est pas fini. Je sais que la route sera longue, mais l’amélioration est spectaculaire. Si moi j’ai pu le faire, vous le pouvez aussi. Je n’ai rien de spécial, je suis une femme ordinaire, à l’automne de sa vie, et je n’ai pas l’intention qu’elle se termine dans le drame. La souffrance n’est que le signe d’un dysfonctionnement de l’âme. C’est ce que j’ai compris et c’est ce que vous explique cet article. Ne renoncez jamais. Nous ne sommes pas sur terre pour souffrir mais au contraire pour nous guérir apprendre à nous aimer et atteindre la joie d’exister. Derrière les nuages, le soleil brille pour vous aussi. Nous ne sommes pas des machines qui doivent être réparées par des médecins garagistes. Nous sommes un tout, esprit et corps sont inséparables.
Puisse mon histoire vous aider.
Galadriel
Écouter son corps pour entendre son âme.
Par Virginie Ollivier
Que se passerait-il si les gens commençaient à croire en eux-mêmes, plutôt qu’en quelque chose d’extérieur?
Est -il possible de guérir par le seul pouvoir de la pensée, sans faire appel aux médicaments ou à la chirurgie?
Aujourd’hui, nombre de recherches et expérimentations mettent en exergue le fait que chacun dispose du potentiel nécessaire pour accéder à la grandeur de son intelligence supérieure et exprimer des capacités extraordinaires de transformation et de guérison. Il ne s’agit aucunement d’une proposition métaphysique mais scientifique: le pouvoir de régénération est inscrit dans le tissu de nos corps, et la dégénérescence et la maladie constituent l’exception et non la règle.
Le corps expérimente ce que l’esprit croit. Il est réellement possible de guérir soi-même. La clé est de savoir comment atteindre son plein potentiel.
Des études ont démontré que notre conscience seule peut exercer un effet physique important sur notre corps et notre santé. Dans des recherches plus récentes encore, il apparait que les croyances et les perceptions peuvent affecter notre état corporel.
Le corps a donc un langage propre, qu’il tient à nous de comprendre. Par un décodage minutieux, il nous permet de remonter à la source du blocage psychique qui a provoqué nos maux.
En effet la cause est souvent ancré dans le psychisme, ce déséquilibre lié à une conception de l’égo fasse au monde extérieur, se traduit ensuite par diverses réactions neuroendocriniennes jusqu’à l’apparition du symptôme. ( Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle)).
Ainsi Le Mal a dit; il vient comme un signal d’alarme exprimer un dysfonctionnement, une incohérence, un problème soulevé par notre subconscient.
Jacques Martel dans son ouvrage » Le grand dictionnaire des malaises et des maladie », nous guide afin de comprendre ce qui en sous-marin au plus profond de nous agit afin de mettre en évidence toutes choses refoulées que le mental ne souhaite pas faire remonter à la surface.
Quand vous changez réellement votre état d’être, votre corps peut répondre à un nouvel esprit. Mais, pour changer votre état d’être, il faut changer vos pensées. En raison de la taille du cerveau antérieur, le privilège en tant qu’être humain est de pouvoir rendre la pensée plus réelle que n’importe quoi d’autre ( c’est d’ailleurs ainsi que le placebo fonctionne).
L’être humain est pétri d’habitudes. Il a entre 60 000 et 70 000 pensées par jour et 90% d’entre elles sont parfaitement semblables à celles qu’il a eu la veille. Si vous voulez créer une nouvelle réalité personnelle, vous devez d’abord examiner et réfléchir aux pensées que sont les vôtres, puis les changer. Lorsque vous acquérez de nouvelles connaissances et commencez à penser différemment, vous incitez votre cerveau à activer de nouveau schémas et de nouvelles combinaisons. En effet, vous activez différents réseaux de neurones d’une manière différente. Et quand vous incitez votre cerveau à fonctionner autrement, vous changez radicalement votre état d’esprit. Lorsque vous vous décidez à pensez » hors de la boîte », ces nouvelles pensées entraîneront de nouveaux choix, de nouveau comportements, de nouvelles émotions. Votre identité entrera alors dans une phase de transformation.
L’épigénétique enseigne que les êtres humains ne sont certainement pas condamnés par leurs gènes et qu’un changement de conscience peut produire des modifications physiques significatives, structurelles et fonctionnelles dans le corps humains. Il est possible de modifier la destinée génétique de chacun en activant les gènes désirables et en désactivant les gènes indésirables.
Aussi longtemps que vous percevrez votre vie à travers le prisme étroit du passé et que vous réagirez aux conditions extérieures avec la même architecture neuronale et la même conscience, votre destinée génétique reste très spécifique et prédéterminée. C’est seulement lorsque la cellule est activée d’une nouvelle manière, c’est-à-dire par de nouvelle informations, qu’elles peut créer des milliers de variations du même gène pour recomposer une nouvelle expression des protéines, ce qui modifie votre corps.
« Votre corps à la capacité de se restaurer lui même, aussi rapidement ». Abraham
Avec chaque pensée que vous nourrissez, chaque émotion que vous ressentez et chaque événement que vous expérimentez, vous agissez comme l’ingénieur de vos propres cellules. Sachez que votre corps est incapable de faire la différence entre une émotion réelle et une émotion créée par le seul pouvoir de la pensée.
En hypnose, l’effet placebo est suscité par la conscience d’une personne qui interagit d’une manière ou d’une autre avec le système nerveux autonome. L’esprit conscient fusionne avec l’esprit subconscient. Une fois que le patient accepte une pensée comme étant la réalité, il croit en cette pensée et a confiance dans le résultat final et donc il se sent automatiquement mieux. La porte séparant l’esprit conscient de l’esprit subconscient ne peut s’ouvrir que si vous acceptez la suggestion, y croyez et vous y abandonnez.
D’un autre point de vue, lorsque vous modifiez votre énergie, vous élevez la matière jusqu’à un nouvel état d’esprit et votre corps vibre à une fréquence plus rapide. Vous devenez alors plus énergie que matière. Votre corps répondra alors à un nouvel élan de vie.
La méditation,
Semblable à l’hypnose, la méditation est une autre manière de contourner l’esprit critique pour entrer dans le système de programmation subconscient. Son but premier est de faire en sorte que votre conscience transcende votre esprit et vous incite à prêter attention au monde intérieur des pensées et des sentiments. Car vous contenter de changer vos croyances et vos perceptions ne suffit pas. Vous devez renforcer en permanence ce changement. Si vous amorcez votre voyage intérieur et commencez à changer votre monde intérieur, des pensées et des sentiments, cela devrait avoir pour conséquence un état de bien-être amélioré. Si vous répétez ce processus au travers de la méditation, avec le temps, des changements altéreront peu à peu votre enveloppe extérieure et vous deviendrez votre propre placebo. Par le seul pouvoir de vos pensées, vous pouvez transformer votre état biologique.
La thérapie psycho-corporelle,
Elle appréhende la personne dans sa dimension psychologique et corporelle. Accée sur une approche globale de la personne, elle prend en considération l’état émotionnel, physique et spirituel.
Elle privilégie une attention sélective, parfois à l’aide d’un état de conscience modifié.
Elle propose toujours un travail avec le corps, par exemple à l’aide de mouvements (des membres, des yeux, du corps tout entier par), une respiration dirigée (souvent au niveau de l’abdomen)…
La re-formulation positive modifie les connections neuronales, le passage par le corps permet d’ancrer la nouvelle expérience dans la psyché.
Comme évoquée dans d’autres articles la thérapie psycho-corporelle permet de travailler sur le corps et sur l’esprit. Au travers de séances d’accompagnement thérapeutique, par le biais d’échanges conversationnels, en utilisant diverses techniques d’approches sensorielles et cognitives, elle permet une libération des poids, une relecture positive des charges émotionnelles, des souvenirs, une analyse et une compréhension plus juste des blocages. Elle libère l’esprit et dénoue le corps.
Tout ce que vous refoulez s’imprime dans votre esprit et dans votre corps. La douleur est là pour vous dire quelque chose, sachez l’écouter. A vous de voir si vous voulez prendre en considération le message ou l’ignorer. Le corps est là pour nous prévenir, c’est un allié de poids auquel il faut donner toute notre attention. Il est ce véhicule doté d’une technologie de pointe capable de nous prévenir que les freins vont lâcher avant même que vous puissiez penser que vous allez devoir freiner.
« Souvent, la douleur physique avertit une personne qu’il y a encore du travail à faire sur le plan émotionnel, et qu’il peut aussi s’agir d’un signe de traumatisme non résolu dans le système nerveux », Susan Babel.
Ce véhicule là, vous ne pouvez pas le donner en reprise pour un autre plus neuf.
C’est le votre. Ecoutez le.
Virginie Ollivier
Source: Le placebo c’est vous! Dr Joe Dispenza, éd Ariane
C’est un accompagnement complet, englobant la totalité de votre être.
Par la thérapie Psycho-Corporelles, qui associe les thérapies du corps et de l’esprit, comme le massage, l’acupressure, la méditation, la thérapie par le dialogue, la thérapie comportementale et cognitive et qui s’appuie sur les aptitudes de votre cerveau et de votre esprit à favoriser l’auto-régénération de l’organisme, nous favoriseront l’émergence de votre Etre profond.
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L’article initial est ici :
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/ecouter-son-corps-entendre-ame.html
Je vous recommande vivement d’explorer ce blog. Vous y trouverez nombre d’articles qui
vous donneront des pistes sur maints problèmes. Merci à eux pour leur travail.
IMAGE A LA UNE :
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