La triste réalité du monde agricole : Réflexion sur les suicides
Suicides des Agriculteurs
Je continue, avec l’écoute des autorités de Santé, celles de quelques journalistes, de professeurs de médecine, à dénoncer les traitements « défectueux », qui favorisent le passage à l’acte suicidaire, ordonnés à des personnes dépressives, suicidaires ou psychotiques,
L’État voudrait se débarrasser de ces groupes de Citoyens qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
Agriculteurs, policiers, médecins, toutes les raisons qui les poussent au passage à l’acte suicidaire et les moyens mis à leur disposition pour y parvenir sont mis en avant pour excuser les soins prodigués (difficultés financières, problèmes affectifs, burn–out, harcèlement au travail, Etc), par contre les anxiolytiques comme facteurs favorisants sont Tabou.
Pour diverses raisons, je connais le monde de l’agriculture, j’ai ainsi pu constater que les médecins généralistes n’avaient d’autres consignes que de délivrer des anxiolytiques « Tranquillisants et Somnifères » ! Ces pilules sont devenues le remède miracle pour combattre la crise agricole ! Dans des fermes que j’ai eu l’occasion de visiter, des boîtes de Valium, de Lexomil, de Rohipnol, de Stilnox, de Xanax sont dans des panières, même pas dans les pharmacies, mais dans les cuisines, comme des bonbons !
L’Observatoire des suicides constate ! Les Associations de lutte contre le suicide consolent les Ayants droits ! La MSA fait de temps à autres de la prévention, tout en continuant de rembourser, comme les CPAM, ces substances vénéneuses très bon marché sans poser de question !
Le Code Pénal en France est très précis, il s’agit bien de la violation de ses articles, assimilables entre autres à des « Crimes contre l’humanité » non prescriptibles.
200 000 tentatives de suicides chaque année en France, avec environ 14 000 autolyses réussies, sans compter la véritable dissimulation : les accidents du travail et de la circulation, les actes de violence contre les humains et les animaux, les cas de démence et la maladie d’Alzheimer, les chutes et les addictions étant aussi compris dans les « effets indésirables » effroyables mentionnés de manière ambiguë dans les notices et le dictionnaire Vidal.
L’AAAVAM demande réparation pour les Victimes handicapées et les Ayants droit de celles qui sont décédées, par mesures de Prévention : le respect des A.M.M., par le non remboursement ; une formation continue des médecins aux médicaments et aux psychotropes.