Inquiétant : Ce que révèlent les égouts Suisse sur la consommation de drogue

Je m’étais promis de vous concocter un dimanche léger, mais cet article alerte sur un véritable phénomène global de société (1). Il ne faudrait pas croire qu’en Suisse c’est pire que de l’autre côté de ses frontières. On se demande en effet les résultats que donneraient des analyses d’eaux usées à Paris, Berlin, Londres…   Je suis assez d’accord avec la conclusion pour avoir eu l’info jadis d’un élu. Oui, la politique laxiste vis à vis des drogues les plus « dures » est tolérée sinon voulue. La polémique sur le cannabis cache la forêt de toutes ces nouvelles drogues qui arrivent sur le marché.  Ce sont des yeux et des oreilles qui se ferment ou pire, des collusions… Le commerce des stupéfiants représente des budgets d’une telle ampleur que tout peut être acheté puisqu’il n’y a pas de limite de prix et que l’appât du gain est tellement sensible chez l’humain, élus inclus, comme nous en avons des preuves tous les jours. Restez vigilants, informez vos enfants !

Il ne s’agit pas que d’une petite pilule bien chimique a faire descendre avec son mojito ou un peu de poudre à aspirer dans les narines pour faire comme les copains  sur le thème : « Après tout, c’est la fête ! »

Pour la plus part, ça passe, mais pour les plus fragiles, ça casse, et c’est à vie…

Cocaïne, meth, ecstasy : ce que les égouts révèlent de la consommation de drogue des Suisses

drogues

Étude suisse très intéressante concernant la consommation de drogue qu’il serait fort instructif de reprendre en France afin de savoir à combien s’élève la quantité de drogue consommée par jour et par 65 millions d’habitants ! On comprendrait enfin que le trafic est totalement libre de ses actes et que les arrestations et autres saisies de 200 kilos 2 ou 3 fois par an ne représentent pas 5 % de la consommation globale… La mise sous dépendance des masses est un choix politique réalisé par les élites qui sont les premières consommatrices de ces poisons mortels.


Une étude réalisée par l’Université de Lausanne montre des disparités dans la consommation de drogues illicites à l’échelle nationale 

Que révèlent les égouts sur la consommation de drogues illicites en Suisse? L’Ecole des sciences criminelles de l’Université de Lausanne, avec deux autres institutions, s’est penchée sur les eaux usées de treize villes suisses pour y traquer des traces de stupéfiants consommés. Cette méthode s’apparente à un vaste test de dépistage anonyme à l’échelle nationale. Elle donne des indices sur la consommation de drogue dans les centres urbains (2,2 millions de personnes ou près de 27% de la population suisse). Passage en revue des principaux résultats de cette enquête, la première à cette échelle.

22 kilogrammes de cocaïne par jour en Suisse

Substance illicite stimulante la plus couramment utilisée en Europe, d’après le rapport européen sur les drogues, c’est aussi la plus répandue en Suisse, après le cannabis. Les prélèvements dans les eaux usées reflètent cette tendance. Zurich présente les taux les plus élevés du marqueur de la cocaïne pure (benzoylecgonine) par habitant. La capitale économique de la Suisse est suivie par Bâle et Genève.

Infographies et suite de l’article ici :

http://www.lelibrepenseur.org/cocaine-meth-ecstasy-ce-que-les-egouts-revelent-de-la-consommation-de-drogue-des-suisses/

(1) Un quart des Européens, soit plus de 80 millions, a déjà consommé une drogue illicite au moins une fois dans sa vie. 73,6 millions d’adultes (15 – 64 ans) ont consommé du cannabis, 14,1 millions de la cocaïne 10,6 millions de l’ecstasy (MDMA).

http://www.touteleurope.eu/actualite/la-consommation-de-drogues-dans-l-ue.html