Démocratie : Quand Macron en rajoute une couche !
Au moins, c’est clair et net : Les urnes, c’est d’un « ancien temps » ! Voilà qui nous avons à la tête de l’économie française, nommé par un président – (je ne mets pas de majuscule exprès) – président sorti des urnes auquel les français ont confié leur protection et leur destin… Ma parole, à coté de Macron, MLP fait figure de grande démocrate ! Ils le font exprès ??
Hello ! C’est l’heure de se réveiller et de se lever, bientôt il sera trop tard ! Fini de rêver ! Les alarmes sonnent de toutes parts !
Galadriel
Pour Macron, passer par l’élection est « un cursus d’un ancien temps »
Lors d’un forum organisé par « Le Monde », le ministre de l’Économie a assuré qu’il n’avait pas l’intention d’être candidat aux législatives de 2017.
Par Le Point.fr (avec AFP)
Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, a assuré qu’il ne voulait « pas être député en 2017 », estimant qu’accéder aux plus hautes fonctions par l’élection était « un cursus d’un ancien temps », selon des propos rapportés lundi par Le Monde. « Aujourd’hui, je ne veux pas être député en 2017 », a-t-il déclaré dimanche lors d’un forum organisé par le quotidien à Paris, selon les journalistes du Monde. « Je n’ai jamais voulu être candidat », a-t-il ajouté. Selon le compte rendu du quotidien du soir, le ministre a estimé que parvenir à de hautes fonctions par la voie des urnes était « un cursus d’un ancien temps », répondant ainsi à une critique qui lui est régulièrement adressée de vouloir réformer sans avoir obtenu de légitimité par les urnes.
Emmanuel Macron, qui s’exprimait « on the record » (sans restriction imposée à la presse), savait pertinemment que des journalistes étaient présents dans la salle, assure Le Monde. Parmi de nombreuses remarques susceptibles de faire s’étrangler une partie de la gauche, le ministre a estimé en outre que sur le plan de la politique économique, il peut y avoir « beaucoup de convergences entre la gauche de gouvernement et la droite de gouvernement ».
« Le libéralisme est une valeur de gauche »
Il a également assuré que « l’État a sa place mais il en a trop pris », se revendiquant d’un certain « libéralisme ». « J’assume qu’il y ait un libéralisme, le libéralisme est une valeur de gauche », a-t-il estimé. Affirmant qu’il se situait « dans le camp du progrès », le ministre en a profité pour mettre en question une nouvelle fois le statut des fonctionnaires. « Nous devons penser la réforme des fonctionnaires », a-t-il déclaré, estimant que sans cela, leur statut serait « déchiré ». « Il faut plus d’adaptabilité pour les entreprises, déconflictualiser le travail, je me méfie beaucoup des tabous », a-t-il poursuivi, jugeant qu’« aujourd’hui la loi dit trop, il faut trouver la bonne flexisécurité sur le marché du travail ».
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