La dangereuse tromperie des vaccins patches

On ne reviendra jamais assez sur les tentatives diverses et nombreuses que l’establishment utilisera de plus en plus à l’avenir pour continuer à tout prix à vous fourguer de plus en plus de vaccins en dépit des réticences croissantes. Une des astuces de choix de l’establishment consistera incontestablement à lisser l’image violente (d’effraction) des vaccins pour les banaliser… or quoi de mieux que l’idée de patches autocollants à cet égard?!

Alors que le public comprend en effet de plus en plus que:

– Les vaccins ne sont pas la panacée ou l’outil préventif indispensable qu’on a voulu faire croire;

– Les vaccins court-circuitent et abîment clairement le système immunitaire en le leurrant et en ne respectant pas le mode d’entrée classique des microbes naturels dans l’organisme (l’injection court-circuitant les étapes cutanéo-muqueuses initiales);

– Les vaccins sont bien davantage une affaire de pouvoir et d’argent qu’une affaire de santé;

– Le business des vaccins est énorme avec des pharmas qui ont près de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline et les préparations incessantes aux pandémies vont bien sûr de pair avec ce business car faire peur avec une « grande méchante pandémie » est évidemment une des rares ficelles de choix sur lesquelles l’establishment peut espérer tabler pour redorer substantiellement l’image des vaccins et tenter de les refaire passer pour vitaux aux yeux de l’opinion publique;

– Les pressions vaccinales sont tout à fait disproportionnées au regard des risques statistiques dus aux maladies naturelles;

– Le corps médical est de plus en plus mal à l’aise car il veut piquer et continuer à s’enrichir sans pour autant assumer les risques juridiques associés à son non respect du droit des patients à un consentement libre et éclairé;

Dans ce contexte, il est clair que les patches vaccinaux (qui inclueront bien des nanoaiguilles perçant le derme de façon anti-physiologique!) sont une « merveille » de perversité qui contribuera à banaliser le geste vaccinal aux yeux des plus crédules, c’est-à-dire d’une majorité de sujets (« plus d’aiguille, plus de mal lors de l’administration, donc c’est que c’est anodin« !) mais surtout qu’ils amèneront une dilution totale et dramatique de la responsabilité car ce sera au final les patients qui seront sommés d’apporter les preuves qu’ils se sont bien auto-administrés ces patches dans le triste confort de leurs habitations. Et comme d’habitude, pour ne rien changer, tous les désastres qui découleront de ce type de procédé vaccinal relifté seront étiquetés de malheureuses « coïncidences » car soyons bien certains que la sécurité de ces nouveaux vaccins ne sera absolument pas améliorée par rapport aux vaccins actuels dont les essais cliniques pré-autorisation de mise sur le marché sont déjà biaisés de fond en comble

Un petit exemple pour que vous vous rendiez vraiment mieux compte de la pertinence qu’il y a à refuser fermement ces faux nouveaux progrès que l’on vous présentera sous peu car rien ne vaut les informations concrètes et immédiatement vérifiables…

Voici le type d’article racoleur que vous trouverez sans peine dans les médias et surtout, surtout, à sa suite, le type d’information VITALE sur les dangers concrets que ces patches vous feront bien sûr encourir mais que vous ne trouverez sans doute jamais dans aucun média….

25 mai 2015. Par Alexis Chavetnoir

Un patch qui permet la vaccination sans seringue !

Les vaccins sauvent des vies mais la plupart d’entre eux sont délivrés par piqûre. Si certains ont une peur bleue des seringues pour d’autres, c’est le manque de moyens sanitaires qui posent souvent problème. Kasia Sawicka, une bio-ingénieure américaine, vient d’inventer une alternative indolore. Un patch appelé ImmunoMatrix qui peut vacciner sans percer la peau.

Voici l’ImmunoMatrix, un patch révolutionnaire qui peut fournir des vaccins et d’autres médicaments par voie intradermique (dans la peau), sans aiguille. Non seulement il est indolore et à peu près aussi effrayant qu’un pansement, mais le patch peut être auto-administré. Facilement transportable et ne nécessitant pas de conditions de stockage frigorifiques aussi strictes que les vaccins traditionnels, le patch et sa forme solide de vaccin est stable à température ambiante pendant au moins huit semaines. De plus, il ne produit pas de déchets comme les aiguilles et les seringues, un énorme avantage lorsqu’on fait face à une pandémie infectieuse comme la récente épidémie d’Ebola.

La peau ne pouvant pas absorber de grosses molécules facilement, l’ingénieure s’est penchée sur un polymère appelé polyvinylpyrrolidone qui absorbe l’eau de manière très efficace. Elle a constaté que la polyvinylpyrrolidone pouvait également agir sur la peau. De ce fait, lorsque le patch est posé sur la peau, la couche externe permet à des molécules plus grandes de s’insérer dans l’organisme.

Depuis près de 10 ans, Kasia Sawicka met au point un processus qui consiste à combiner le polymère avec une solution de vaccin. Les premiers tests effectués sur des rats et des peaux humaines synthétiques montrent que le patch permet à la peau d’absorber 250 fois plus de molécules qu’à l’accoutumée.

Cette technologie peut radicalement changer la façon dont les vaccins sont délivrés, en particulier durant les pandémies et permettrait aux pays les plus pauvres faisant face au manque d’infrastructures (transport, réfrigérateur, clinique) d’avoir un accès rapide à la vaccination.

Source : Sciencepost.fr

La polyvinylpyrrolidone (PVP) : Risque pour la santé

Si le monomère est cancérigène et très toxique pour la vie aquatique, l’additif E1201, de forme polymère, serait inoffensif, mais il contient des traces de forme monomère préoccupantes. Ces résidus sont aujourd’hui théoriquement limités à 10 mg/kg d’additif. Au Centre International de Recherches sur le Cancer, la polyvinylpyrrolidone est « inclassable quant à sa cancérogénicité pour l’homme », tandis que l’Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC, France) la classe parmi les additifs certainement cancérigènes.

Utilisations

E1201 est listé comme raffermissant, stabilisant et agent de dispersion, le codex Alimentarius l’attribue à certains spiritueux (bières comprises), vinaigres, concentrés pour boissons aromatisées, édulcorants de table (jusque 3 000 mg/kg), chewing-gums (jusque 10 000 mg/kg), compléments alimentaires (sans limite (BPF)) et fruits frais

L’industrie répertorie également la polyvinylpyrrolidone dans les cosmétiques (fixateur capillaire, liant, antistatique, émulsifiant, etc.), et certains produits pharmaceutiques. Comme telle, elle est utilisée dans les plasmas sanguins ou comme adjuvant en raison de sa solubilité dans l’eau et les solvants polaires[5]. Son aptitude à former des films est remarquable. Les domaines d’application sont vastes et vont des produits d’hygiène (shampoing, dentifrice…) au papier pour imprimantes photo et peintures[6],[7],[8].

Source : Wikipedia

Commentaire d’Initiative Citoyenne : Cette « brillante » chercheuse ne voit sans doute pas où est le problème puisque les vaccins sont de toute façon dispensés de test de leur potentiel cancérogène ; elle ne voit sans doute pas non plus où est le problème de rajouter dans la peau de l’humanité toute entière (qui croule déjà sous les produits toxiques divers, cosmétiques, « sanitaires », « alimentaires » si on peut appeler encore ça de l’alimentation,.. etc.) un surplus de produits chimiques cancérigènes car en cas de cancer, on dira que c’est juste « la faute à pas de chance » ou à force, que c’est juste « normal » ou « dû à l’âge/au vieillissement » et que c’est « multifactoriel » donc on ne sait pas pointer vraiment LE responsable. Face à pareille absurdité, voyons ENFIN clair et rendons-nous compte que ces chercheurs ont le cerveau lessivé et qu’ils ont perdu tout bon sens et tout souvenir du principe hippocratique de base « D’abord ne pas nuire »… Fuyons donc ces mauvais génies qui ne feront juste que semer un peu plus de malheur sur terre…

Voir aussi:

Vaccins par nanopatches: l’arme ultime pour combattre la défiance envers les vaccins?

Le système d’administration sans aiguille de vaccins par nanopatch: miracle ou menace?

http://www.initiativecitoyenne.be/2015/09/la-dangereuse-tromperie-des-vaccins-sans-aiguilles.html