Grèce : Info ou intox ? Le point de vue d’un « spécialiste » allemand

D’accord ! Je vous le concède, le fait d’être à la fois spécialiste et allemand en ce qui touche le problème Grec n’est pas un label d’objectivité. Néanmoins, lisez bien ce qui suit.

Serait-ce ce que le pouvoir allemand et l’UE attendent  et préparent en sous-main ? C’est en tout cas très proche de ce qu’a déclaré Martin Schultz, président du Parlement Européen la semaine dernière : « Il faudrait un gouvernement de technocrates ».  Ce qu’ils espèrent, c’est ni plus ni moins l’écroulement de Syriza. Les Grecs sont prévenus, les banksters aux manettes n’hésiteront pas à serrer la vis pour étrangler ce gouvernement et le faire tomber.

LES AUTRES PEUPLES D’EUROPE LAISSERONT-ILS FAIRE ?

C’EST AUSSI NOTRE AVENIR QUI SE JOUE

Courage amis Grecs, ça va valser !

EXTRAITS REMARQUABLES DE L’ARTICLE :

 

« Le gouvernement grec ne peut pas agir sans l’accord de la « Troïka ». S’ils (les créanciers, ndlr) ne veulent pas voir (Yanis, ndlr) Varoufakis à la table des négociations, il devra partir », a fait remarquer le journaliste dans une interview accordée à la chaîne de télévision RT.

 

M.Wolff considère que ces derniers temps, la pression exercée sur le gouvernement grec ne cessait de croître. Yanis Varoufakis était l’allié principal d’Alexis Tsipras. Selon l’expert, il n’est pas exclu que prochainement, ce dernier quitte lui-aussi son poste de premier ministre.

« Je doute qu’il puisse se maintenir au pouvoir pendant longtemps, car cette semaine les créanciers européens introduiront des mesures assez strictes (envers la Grèce). Je suppose qu’ils pensent à une restructuration la dette grecque. La Troïka va bientôt ponctionner de l’argent des comptes d’épargne des Grecs, ce qui provoquera des turbulences dans la société »,

a conclu Ernst Wolff.

http://fr.sputniknews.com/international/20150707/1016875525.html

 

1ER chef d’état appelé après la victoire du Non, Vladimir Poutine. Un geste d’un symbolisme fort de Tsipras. Voilà qui n’a pas dû plaire du tout aux Otaniens

http://fr.sputniknews.com/international/20150706/1016874705.html