Sibérie : Mystère et boules de feu
Pour les esprits curieux et ouverts… Ceci est un extrait d’un article du blog de Merlin dont le thème est le basculement des pôles magnétiques terrestres. Le pôle magnétique terrestre n’est pas stable. Il se dirige à présent vers la Sibérie et parallèlement des phénomènes curieux y ont lieu..
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La Sibérie est la partie située en Asie de la Fédération de Russie, c’est une immense région d’une surface de 13,1 millions de km² très peu peuplée en moyenne environ 3 habitants au km².
la Sibérie représente 77 % de la surface de la Russie, et se caractérise par un climat froid et continental, et un paysage au relief modéré sillonné par d’énormes fleuves. Le régime soviétique a démarré au XXe siècle l’extraction minière, gazière et pétrolière dans cette région.
C’est dans cette région que se trouve le lac Baïkal, haut lieu d’apparitions ovnis aquatiques et aériens. Le lac Baïkal est situé dans le sud de la Sibérie, et il représente la plus grande réserve d’eau douce liquide de la surface au monde (environ 23 500 km3). Sa transparence est unique et la visibilité parfaite jusqu’à 40 mètres de profondeur.
Il mérite d’être connu car orienté du SSO au NNE, il s’étend sur une longueur de 636 km avec une largeur variant de 24 km à 79 km et une superficie de 31 500 km2, ce qui en fait le 6e lac au monde. C’est également le lac le plus profond du monde jusqu’à 1 637 m d’épaisseur d’eau, reposant sur 7 000 mètres de sédiments.
Son volume d’eau (environ 23 500 km3) représente environ 260 fois celui du lac Léman, soit autant que la mer Baltique ou que les cinq grands lacs nord-américains (lac Supérieur, lac Michigan, lac Huron, lac Erié, lac Ontario) réunis. Il représente 14 % du volume mondial d’eau douce contenue dans les lacs et les rivières.
Mais il renferme bien d’autres mystères et secrets, à voir en fin de sujet…
Mais que se passe t’-il en Sibérie depuis peu ?
En avril dernier, des centaines de feux de prairies et de forêts ont été recensés dans plusieurs régions de l’est de la Russie en quelques jours. Plus de 2 000 maisons brûlées, des milliers de têtes de bétail tuées, 20 000 personnes affectées : les incendies ont ravagé des milliers de kilomètres carrés en Sibérie.
Officiellement, à l’origine de ces incendies, selon le ministre : les agriculteurs locaux ayant fait brûler de l’herbe sèche malgré des températures élevées et des vents forts !
Qui peut croire cela ? pas moi en tous les cas !
Moins dramatique, mais presque plus inquiétant par contre, des cratères géants continuent d’apparaître en Sibérie !
On s’en souvient, deux étonnants cratères ont été découverts en juillet 2014 dans la péninsule de Yamal (Sibérie). Depuis cette découverte, plusieurs autres cratères, de toutes tailles, y ont été repérés par des scientifiques russes. Une information révélée par le Siberian Times.
Au total, sept cratères de ce type ont été pour l’instant détectés dans cette région : cinq sont situés sur la péninsule de Yamal, un dans le district autonome de Yamal, et le dernier dans le nord de la région de Krasnoyarsk, près de la péninsule de Taimyr.
Selon le scientifique russe Vasily Bogoyavlensky (directeur de l’institut russe Oil and Gas Research, membre de l’Académie des Sciences de Russie) qui s’est penché sur le phénomène, des dizaines d’autres cratères de ce type sont probablement présents dans cette région : « Je comparerai cela à des champignons : lorsque vous trouvez un champignon, vous êtes certains d’en trouver plusieurs autres dans les environs. Je pense qu’il pourrait y avoir 20 à 30 cratères de ce type », a-t-il indiqué au Siberian Times.
L’un de ces cratères, baptisé B2, a particulièrement retenu l’attention des scientifiques. Situé à 10 kilomètres du site de Bovanenkovo, un puits de gaz opéré par Gazprom, ce cratère désormais empli d’eau est entouré de vingt petits cratère : « En étudiant les images satellites, nous avons découvert qu’il n’y avait initialement aucun cratère, ni lac. Puis des cratères sont apparus, de plus en plus. Il est probable que ces cratères, empli d’eau, fusionneront pour former un lac de 50 à 100 mètres de diamètre », précise Vasily Bogoyavlensk.
L’exploration de ces cratères est rendue difficile du fait des dégagements de gaz qui semblent s’y produire régulièrement : « Ces objets doivent être étudiés, mais c’est dangereux pour les scientifiques. Nous savons que des émissions de gaz peuvent s’y produire sur de longues périodes de temps, mais nous ne savons pas quand elles peuvent survenir », explique Vasily Bogoyavlensky.
Quel est le phénomène à l’origine de ces cratères ? Pour l’instant, le mystère demeure. La principale hypothèse avance qu’ils sont causés par des dégagements de gaz souterrains (du méthane, notamment). Un phénomène qui pourrait être corrélé au réchauffement climatique, ainsi qu’à des phénomènes sismiques.
Tout le monde se souvient encore j’imagine du 15 février 2013 ( lendemain de la Saint Valentin ) du fameux météore de Tcheliabinsk…
Vers 9 h 20 (heure locale), un bolide (météore de grande taille) d’un diamètre compris entre 15 et 17 mètres et d’une masse comprise entre 7 000 et 10 000 tonnes est entré dans l’atmosphère terrestre au-dessus de la Sibérie à une vitesse estimée à 20 km/s.
Son angle d’entrée dans l’atmosphère était proche de l’horizontale (environ 20°) et il a traversé celle-ci d’est en ouest durant 32,5 secondes en parcourant plusieurs milliers de kilomètres. Il s’est fragmenté en plusieurs morceaux à une altitude comprise entre 15 et 25 km. Des stations de mesures d’infrasons situées à plusieurs endroits sur la planète ont permis d’estimer l’énergie totale dégagée du bolide à environ 500 kilotonnes de TNT soit l’équivalent de 30 fois la puissance de la bombe atomique de Hiroshima.
Trois explosions ont été entendues, la première étant la plus importante. Les ondes de choc créées par l’explosion du bolide en altitude, en se propageant, ont provoqué des dégâts dans la ville de Tcheliabinsk, située dans l’Oural, en Russie. Les fragments du bolide n’ont, semble-t-il, occasionné aucun dégât et se sont écrasés à plusieurs dizaines de kilomètres au sud-ouest de cette ville.
Ci-dessous : Traînée laissée par le bolide, vue depuis Tcheliabinsk, regardant vers le sud.
En 2012 cette fois, souvenons-nous du mystère de l’étrange fragment métallique tombé en Sibérie…
Des experts de l’agence spatiale russe Roskosmos ont examiné de près l’objet de 200 kilogrammes et de deux mètres de haut qui est tombé du ciel en Sibérie. Pour l’heure, son origine reste inconnue.
Alors certes, cela semble bien humain, sauf que les experts russes de l’agence spatiale Roskosmos ont essayés de répondre pendant plusieurs semaines sans pour autant y parvenir. D’une hauteur de 2 mètres, le fameux objet ressemble à un cylindre découpé avec un fond en forme de cône.
Les premières conclusions permettent simplement d’affirmer qu’il ne provient ni d’une fusée ni d’un missile. Les théories initiales selon lesquelles il s’agissait d’un morceau de satellite ou de vaisseau lancé depuis le Kazakhstan ont également été invalidées. De même, les mesures de radiations effectuées n’ont donné aucun résultat aussi bien autour qu’à l’intérieur de l’objet, selon Yuri Bornyakov, à la tête du département de service des secours du district de Kuibyshevski cité par le Daily Mail.
De son côté, Roskosmos a indiqué : « l’objet découvert n’est pas lié à une technologie spatiale. Cette conclusion finale peut être faite après une étude détaillée de l’objet par des experts ». On ne sait donc finalement que peu de choses pour l’heure, seulement qu’il est partiellement composé d’un titane extrêmement solide. Les personnes qui l’ont découvert ont simplement constaté que tout était ouvert et qu’il était possible de voir à l’intérieur, suggérant ainsi qu’il ne semblait représenter aucun danger.
Vous remarquez comme moi sans doute, que l’objet ne semble absolument pas abimé après une chute venant du ciel !?
Plus loin dans le temps, mais bien plus mystérieux, rappelons-nous en Janvier 1959. Dix étudiants de l’école polytechnique de Sverdlovsk se lancent dans une expédition à ski dans le nord sibérien.
Destination finale : le mont Otorten, surnommé la montagne morte. Malade à mi-périple, l’un des participants fait demi-tour. Les neuf autres ne rentreront jamais…
Leurs cadavres sont découverts peu après leur disparition, curieusement éparpillés autour de l’ultime campement de fortune dressé à flanc de montagne. Conclusion de l’enquête officielle : décès dus à « une force supérieure inconnue ».
Les éléments troublants ne manquent pas : les corps sont retrouvés quasi nus à même la neige et présentent une curieuse couleur brunâtre. Les autopsies révèlent six décès par hypothermie, tandis que trois étudiants ont succombé à des coups violents, l’un d’eux ayant par ailleurs la langue sectionnée.
Dans la foulée, un expert détecte la présence de substance radioactive sur certains vêtements. La tente du campement, que les neuf compagnons n’auraient jamais dû quitter vu la rigueur de l’hiver sibérien, est fendue de l’intérieur. Pour rajouter au mystère, les autorités russes interdisent l’accès au site durant trois ans !
Plus loin encore dans le temps, souvenons-nous de ce moine sibérien décédé en 1928, et pourtant, sa dépouille est aujourd’hui encore intacte, comme si le temps n’avait pas eu d’emprise sur elle.
Plus loin, mais sans doute le phénomène le plus étrange de tous, souvenons-nous de l’événement de la Toungouska, cette fantastique explosion survenue le 30 juin 1908 à 7 h 13 du matin en Sibérie centrale. L’onde de choc, équivalant à plusieurs centaines de fois celle qu’a générée la bombe d’Hiroshima 37 ans plus tard, a détruit la forêt sur un rayon de 20 kilomètres et fait des dégâts jusqu’à une centaine de kilomètres.
Situation et zones d’impact de la Toungouska. Zone 1 (R=20 km) : forêt détruite (rouge) Zone 2 (R=100 km) : dégâts, brûlures, morts d’animaux (orange) Zone 3 (R=1500 km) : bruit de l’explosion (dégradé bleu)
Mais bien plus encore, voir en fin de sujet les articles liés.
J’aimerai conclure ce sujet sur le basculement des pôles magnétique tout de même, avec un évènement des plus étranges, qui s’est passé l’année dernière, tout près de cette région, et qui n’a pas fait grand bruit, mais dont surtout nous n’avons plus aucune nouvelle, et dont on ne nous parle plus du tout ?!
Alors qu’il passait au-dessus du Kamtchatka, en Extrême-Orient russe, un pilote d’avion néerlandais a été surpris par une vague de lumières rouges incandescentes provenant de l’océan Pacifique. Le témoin de la scène, JPC van Heijst, et son copilote effectuaient à ce moment là le vol de Hong Kong à Anchorage, en Alaska, à bord de leur Boeing 747.
Selon le témoignage et les images rapportées, la surface de l’océan se serait illuminée tel un brasier. L’étrange événement est advenu environ vingt minutes après qu’une sorte d’éclair se soit manifesté, semblant sortir verticalement de la surface de l’eau. « Je pense qu’il s’agissait d’une sorte d’aurore polaire mais plus dispersé, je n’avais jamais rien vu de tel avant », écrit JPC van Heijst sur son site.
« Environ 20 minutes après, j’ai observé une lumière rouge orangé intense apparaitre devant nous, et c’était un peu étrange parce qu’il était censé ne rien y avoir excepté de l’océan à perte de vue en dessous de nous », poursuit-il. Les lueurs semblaient se situer proche de l’océan voire venir des profondeurs. Et plus l’avion s’en approchait, plus la lumière était intense.
Pour le moment, la nature de ce phénomène inédit reste encore un mystère, ce qui a sans surprise, suscité de nombreuses théories, y compris certaines évoquant un phénomène d’origine extraterrestre.
Enfin, et j’en termine la, remarquez comme les installations HAARP &Co visant à modifier, et ‘’jouer’’ avec la ionosphère par hautes fréquences et avec modulation du signal sont toutes ou presque, placée près des régions polaires et équatoriales, pourquoi ?
Parce qu’à proximité des régions polaires et équatoriales existent des courants électriques naturels nommés électrojets. La modification de la conductivité électrique de la ionosphère par HAARP &Co permet d’agir sur l’électrojet polaire, permettant de s’en servir pour la génération d’ondes ELF.
Après cela on s’étonne de tous ces étranges phénomènes qui ont court proche du pôle Nord et en Sibérie ?! Preuve en est, que l’homme joue à l’ apprenti sorcier, et qu’il ne maitrise absolument l’après ‘’expérience’’ au risque de dérégler complétement les cycles naturels, les courant naturels, la ionosphère, l’atmosphère etc etc…
Tous les sujets sur : Toungouska
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