Cholestérol : Ce que vous devez absolument savoir

LA PREUVE QUE BIG PHARMA VOUS REND MALADES

SOUS PRÉTEXTE DE VOUS SOIGNER  ET TOUCHE LE

GROS LOT ! 

 

Si comme 1 français sur 4  vous avez du cholestérol, attention ! Les statines  produites par SANOFI, puis d’autres labos concurrents, et apparues sur le marché en septembre 2014 sont dangereuses. Elle font baisser le cholestérol mais provoquent du diabète chez 46% des patients selon une très récente étude parue en Finlande.

« Kuopio, Finlande – L’étude de population finlandaise METSIM (Metabolic Syndrome in Men), menée au sein d’une cohorte de 8749 hommes indemnes de diabète à l’inclusion, s’est intéressée aux mécanismes en cause dans la majoration du diabète sous statine. Ses résultats, publiés dans Diabetologia, prouvent que le traitement par statine s’accompagne d’une baisse de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité à l’insuline [1]. L’autre surprise de l’étude est qu’il est possible qu’on ait sous-estimé le sur-risque de diabète sous statine. Dans METSIM, en effet, le risque relatif de diabète à l’issue d’un suivi de près de 6 ans est de 46% au lieu des 10-15% décrits jusqu’à présent.

Risque de diabète sous statine : les données actuelles

Le risque diabétogène des statines n’est pas une découverte. Après une série de résultats contradictoires, notamment ceux de JUPITER (Justification for the Use of Statins in Prevention: an Intervention Trial Evaluating Rosuvastatin), qui montraient un risque de 27% sous rosuvastatine par rapport au placebo, et ceux de WOSCOPS (West of Scotland Coronary Prevention Study) qui montraient, eux, une diminution du risque de l’ordre de 30% avec la pravastatine, un certain nombre d’études ont été menées, qui convergent vers un risque bien réel, quoique pas nécessairement équivalent d’une statine à l’autre.

En 2010, une méta-analyse portant sur 13 essais et plus de 90 000 patients est venue confirmer la notion d’un risque, chiffré à 9% sur une période de 4 ans [2]. En septembre 2014, cette méta-analyse sera d’ailleurs réactualisée (20 études, 130 000 patients), avec un risque de néo-diabète atteignant 12% sur 4,2 ans.

A partir de ces résultats, le risque de diabète a été inclut dans les mentions légales, des deux côtés de l’Atlantique. En décembre dernier, l’ANSM publiait d’ailleurs un point d’information rappelant qu’à ses yeux, malgré le risque de diabète induit, le rapport bénéfice/risque des statines restait favorable.

Etude menée dans une population avec un IMC de 27 (NDLR : IMC = Indice de Masse Corporelle. Entre 20 et 30, cet indice est considéré comme normal)

METSIM est une étude menée entre 2005 et 2010, en population générale, auprès de 8749 hommes, âgés de 45 à 73 ans. Pour être inclus, les hommes devaient être indemnes de diabète de type 1 ou 2 et disposer d’un bilan glycémique complet. Leur âge médian était de 57 +/- 7 ans et leur IMC de 26,8 +/-3,8 kg/m2.

Parmi ces sujets, 2142 (24,5%) étaient initialement sous statine (65,9% sous simvastatine, 18,1% sous atorvastatine, 8,6% sous rosuvastatine, 3,8% sous fluvastatine, 2,3% sous lovastatine et 1,3% sous pravastatine).

A l’issue d’un suivi de 5,9 ans, un néo-diabète a été reconnu chez 625 hommes, sur la base d’une glycémie à jeun, d’un test de tolérance au glucose et d’une HbA1c > 6,5%.

Sans grande surprise, les sujets devenus diabétiques étaient à l’entrée dans l’étude plus âgés, plus obèses, moins physiquement actifs, avec un HDL plus bas, des TG plus élevés et des paramètres glycémiques plus élevés.

Cependant, les patients sous statines (n=2142) sont deux fois plus nombreux à avoir développé un diabète : 11,2% vs. 5,8% (p<0,001). En effet, après ajustements pour l’âge, l’IMC, le tour de taille, l’activité physique, le tabac, l’alcool, les antécédents familiaux de diabète, la prise d’un bêtabloquant et la prise d’un diurétique, le risque relatif d’apparition d’un diabète parmi ces sujets est de 1,46 (IC95% [1,22-1,74]).

« Des ajustements supplémentaires pour la glycémie à jeun et post-prandiale (2 heures), l’index de sensibilité à l’insuline de Matsuda, le HDL-cholestérol, les triglycérides et les affections cardiovasculaires, ainsi que pour l’évolution du LDL, du HDL, des triglycérides et de l’IMC en cours de suivi, atténuent légèrement mais n’abolissent pas l’association entre traitement par statine et apparition d’un diabète », soulignent les auteurs.

S’agissant des effets des différentes statines, le risque n’apparait significatif que pour les deux statines les plus prescrites parmi les sujets étudiés, c’est-à-dire la simvastatine (RR ajusté =1,49 ; [1,22-1,83]) et l’atorvastatine (RR ajusté =1,21 ; [1,04-1,40]). Ces risques apparaissent doses dépendants.

Par ailleurs, autant qu’il a été possible d’en juger, chez les sujets qui ont initié un traitement par statine en cours de suivi ou qui ont, au contraire, interrompu un traitement existant au départ, le risque semble aussi durée-dépendant.

Enfin, s’agissant des variables biologiques, l’existence d’un traitement par statine augmente significativement la glycémie post-prandiale, et la glycémie à jeun. Elle diminue en revanche la sécrétion d’insuline de 12% et la sensibilité à l’insuline de 24%. Ici encore, il a été possible de montrer des effets dose-dépendants pour la simvastatine et l’atorvastatine.

« L’association entre prise de statine et risque accru de développer un diabète est très vraisemblablement liée à la réduction de la sécrétion et de la sensibilité à l’insuline par les statines », écrivent les auteurs.

Risque sous-estimé jusqu’à présent

Dans sa conclusion, l’équipe finlandaise souligne également que la taille de l’étude donne une certaine fiabilité aux résultats, même si, en toute rigueur, ceux-ci ne concernent que les hommes caucasiens. Ces résultats suggèrent un risque d’induction de diabète par les statines « plus important en population générale que ce qui a été rapporté jusqu’à présent ».

D’où viendrait ce décalage ?

« Les études antérieures ont suggéré un risque accru (dans des proportions variables) de développer un diabète sous statine. Toutefois, Dans les essais cliniques en général, « et en particulier les études de statines », soulignent les auteurs, « les populations ont été sélectionnées pour leur haut risque cardiovasculaire. Par conséquent, il est probable que le risque de diabète dans les essais cliniques diffère de celui de la population générale ». En outre, « très fréquemment, dans les études précédentes, le diagnostic de diabète était basé sur les déclarations des participants, ou une glycémie à jeun, ce qui conduit à une sous-estimation du véritable taux de diabètes incidents ».

Bref, selon les auteurs, l’effet diabétogène des statines aurait surtout été sous-estimé jusqu’à présent car non suffisamment recherché.

http://www.medscape.fr/voirarticle/3601334

MAIS CE N’EST PAS TOUT !

Voici l’article paru sur l’Économiste à propos de SANOFI et de son produit miracle lorsque sa sortie a été annoncée :

Anti-cholestérol: Sanofi décroche le gros lot

Le groupe annonce un nouveau traitement
Le produit bientôt commercialisé en Europe et aux Etats-Unis  (NDLR : il l’a été depuis)

VOICI CE QUI ARRIVE À CEUX QUI DÉFENDENT UNE MÉDECINE HONNÊTE :

LE DOCTEUR PHILIPPE EVEN, AVEC SON COMPLICE BERNARD DEBRÉ QUI SE BATTENT CONTRE CONTRE BIG PHARMA  ET DONT LE PREMIER OUVRAGE AVAIT FAIT GRAND BRUIT :  » LES 4000 MÉDICAMENTS, UTILES, INUTILES ET DANGEREUX » ONT PUBLIÉ UN LIVRE  :  « LA VÉRITÉ SUR LE CHOLESTÉROL »
« À la suite du Dr de Lorgeril, auteur de Cholestérol, mensonges et propagande, le Pr Philippe Even démonte méthodiquement l’arnaque du cholestérol soi-disant « toxique » et des statines, véritables poisons pour l’organisme, deux arnaques savamment organisées par les laboratoires pharmaceutiques dans l’unique but de faire du profit sur le dos des patients naïfs, des médecins désinformés, et de la santé publique.

Ci-dessous une longue interview en vidéo du Pr Even réalisée par BioticTV.  Pour ceux qui n’ont pas encore tout compris à la controverse scientifique suscitée en France par le Dr de Lorgeril, le Dr Even raconte magistralement deux histoires :

1. Cholestérol : molécule de vie

Le cholestérol est un cristal rigide, un élément structurant de la vie, indispensable à nos cellules, qui ne présente aucun danger. Comme un professeur face à ses étudiants, Philippe Even donne un cours très accessible sur la biochimie du cholestérol. Cette biochimie a été comprise dans les années 1980 mais reste ignorée de nos médecins. Ce qui persiste c’est le dogme, dogme qui découle d’une erreur de la pensée médicale des années 1950 : les maladies artérielles sont dues aux plaques d’athérosclérose, il y a du cholestérol dans les plaques donc le cholestérol est coupable.

2. Statines : molécules du diable

Philippe Even raconte l’histoire de la supercherie des statines. Il raconte comment, sur la base de cette erreur de la pensée médicale des années 1950, l’industrie a réussi à créer le plus grand marché pharmaceutique du monde. Il décrit les effets secondaires des statines, prédit leur déclin et l’évolution probable du marché des médicaments anti-cholestérol dans les années à venir avec l’arrivée de nouvelles molécules.

Pr Philippe Even : « cette controverse scientifique suscitée en France par le Dr de Lorgeril (que j’essaie d’aider et à laquelle j’essaie de participer) doit amener les médecins à s’interroger. Il ne s’agit pas de croire sur parole. Il s’agit qu’ils se posent au moins la question et qu’ils cherchent par brefs efforts à la résoudre parce que ce bref effort leur ouvrira les yeux, à condition que le bref effort ça ne soit pas d’aller lire les revues générales ou les éditoriaux imposés dans la presse par l’industrie pour répéter la vulgate : le cholestérol est le diable, il encrasse vos artères, il les bouche, vous allez en mourir avec un infarctus

 

http://www.thierrysouccar.com/sante/info/pr-even-cholesterol-et-statines-un-crime-contre-la-vie-1123

LE PR DEBRÉ ET LE DR EVEN ONT ÉTÉ CONDAMNÉ PAR

LE TRÈS DÉMOCRATIQUE ORDRE DES MÉDECINS À UNE

INTERDICTION

D’EXERCER DURANT 1 AN !

 

ÉDIFIANT :  : la réaction des médecins payés par les labos ou tellement formatés qu’ils en perdent tout esprit critique ! (Auparavant lisez ceci à propos du Quotidien du Médecin (16 millions d’exemplaires) :

« En 2011, le directeur de la publication, Gérard Kouchner, auditionné au Sénat par la Mission commune d’information sur le Mediator, en réponse à une question sur l’absence dans Le Quotidien d’un compte-rendu du livre d’Irène Frachon, la pneumologue à l’origine de la révélation du scandale, s’exprime ainsi : « Non, c’était délibéré : nous ne sommes pas une presse à sensation. Pareil sujet mérite que l’on prenne du recul, et nous avons parlé ultérieurement de l’enquête du docteur Frachon. Mais nous ne traitons pas des chiens écrasés4,5. », à quoi le président de la mission, François Autain, répond : « Vous rangez donc ce livre à la rubrique des chiens écrasés ! Nous en prenons note4. »

En mai 2014, le quotidien a décidé de censurer un encart publicitaire pour un livre dénonçant les dérives des laboratoires pharmaceutiques5 car il était préfacé par Philippe Even, interdit d’exercice de la médecine par l’Ordre des Médecins6. (Wikipédia)

http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualite/cholesterol-tolle-contre-la-mise-en-cause-des-statines-par-le-pr-even

CONCLUSION : C’EST AINSI QUE LES LABOS VOUS

« SOIGNENT »AVEC LA COMPLICITÉ DE VOS MÉDECINS

Ce qu’il faut comprendre, c’est que pour faire baisser son cholestérol, il faut en premier respecter une hygiène de vie simple : Pas de tabac, pas d’alcool, adieu charcuteries, plats en sauces, viandes et poissons gras,  et fromages. choisir des huiles bio qui contiennent des oméga 3 et 6 et se remuer un minimum.  Un petit écart de temps en temps n’est pas dramatique non plus… Comme tout, c’est une question d’équilibre.

LES PLANTES ANTI-CHOLESTÉROL

http://cholesterol.comprendrechoisir.com/comprendre/cholesterol-et-phytotherapie