M.A.J. Les images d’un satellite espion montreraient le Vol MH17 abattu en vol par un avion

Info ou intox ? Le Daily Mail publie aujourd’hui un article montrant les photos satellites d’un avion de chasse tirant sur l’avion Malaysian Airlines MH17.

MISE A JOUR :

Selon le site Les Crises, (dont je vous recommande l’énorme revue de presse sur l’Ukraine) ce serait une manipulation. Ce n’est pas l’avis du Réseau Voltaire (T. Meyssian) qui généralement source ses infos, ni du Saker. A vous de voir…

http://www.voltairenet.org/article185924.html

http://www.vineyardsaker.fr/2014/11/15/mh17-preuve-les-ukrainiens-lont-abattu/

http://www.les-crises.fr/actuukraine-15-11-2014

Ces photos auraient été produites par la chaîne officielle Russe Canal 1. Ces images seraient celles d’un satellite britannique ou américain.

(Ivan Adrievskiy, vice president of Russian Engineers Union, suggested the image was taken by an American or British satellite)

(It was claimed that the mysterious source who provided the images concluded they showed ‘how a Mig-29 fighter plane (pictured) destroys the Boeing passenger plane’)

La Russie a toujours soutenu qu’un avion non identifié était dans les environs au moment de l’accident, et que l’Ukraine et l’Occident ont étouffé ce fait.

Le membre du Kremlin a déclaré: «Aujourd’hui, nous avons toutes les raisons de supposer que un crime d’Etat a été commis par ceux qui ont délibérément détruit l’avion et par ceux qui ont cyniquement caché l’information alors qu’ils la connaissaient..’

Cette diffusion d’un caractère exceptionnel a eu lieu avant la rencontre entre dirigeants occidentaux, dont David Cameron qui rencontrera Vladimir Poutine lors du sommet du G20 en Australie.

Canal1 a déclaré «Nous avons à notre disposition ces étonnantes photos faites par un satellite espion étranger pendant les dernières secondes de MH17- au-dessus de l’Ukraine.

Article en entier (anglais)

SOURCE : http://www.dailymail.co.uk/news/article-2835088/Is-moment-MH17-shot-flew-Ukraine-Russian-state-broadcaster-produces-satellite-images-showing-fighter-jet-attack.html?ITO=1490&ns_mchannel=rss&ns_campaign=1490

6 Responses to "M.A.J. Les images d’un satellite espion montreraient le Vol MH17 abattu en vol par un avion"

Mystère dit :

15 novembre 2014 à 10 h 47 min

Je vous lis depuis un baille sans vraiment intervenir ( une fois si je me souviens bien ), mais je souhaite partager la découverte de Charles Danten avec vous : http://www.charlesdanten.com/la-democratisation-des-pulsions-une-explication-a-la-popularite-du-chat

Article de fond d’une grande clairvoyance, à vous de juger.
1. galadriel dit :
  
  15 novembre 2014 à 11 h 53 min
  
  C’est effectivement un regard intéressant sur notre rapport social aux animaux. Je le publie. Merci beaucoup.
Klopov dit :

15 novembre 2014 à 13 h 08 min

Comment les parrains gouvernent, de Canberra à Kiev :
Australie, 1975 : le coup d’État oublié.

Edward Gough Whitlam est mort le 21 Octobre 2014 à 98 ans. Il fut le 21ème Premier ministre d’Australie, en poste de 1972 à 1975. Dirigeant du Parti travailliste de 1967 à 1977, il amena son parti au pouvoir pour la première fois depuis 23 ans Il gagna de nouveau les élections en 1974, avant d’être démis de ses fonctions par le Gouverneur général d’Australie en 1975, au plus fort de ce qu’on a appelé la crise constitutionnelle. Whitlam reste le seul Premier ministre australien de l’histoire à avoir été démis de ses fonctions par le représentant de la Reine.
John Pilger raconte ce « coup d’État soft ».

Whitlam exigea de savoir si la CIA dirigeait une base d’espionnage à Pine Gap, près d’Alice Spring, apparemment une « installation » australo-US. et, si oui, à quoi elle servait. Pine Gap est un aspirateur géant, qui, comme le lanceur d’alerte Edward Snowden l’a récemment révélé, permet aux USA d’espionner tout le monde. En 1970, la plupart des Australiens n’avaient aucune idée du fait que cette enclave étrangère secrète plaçait leur pays sur la ligne de front d’une guerre nucléaire potentielle avec l’Union soviétique. Withlam connaissait clairement le risque personnel qu’il prenait, comme le démontrent les procès-verbaux de rencontres avec l’ambassadeur US.
Les messages top secret de Pine Gap étaient décodés en Californie par un sous-traitant de la CIA, la TRW. Une des personnes qui y travaillait, Christopher Boyce, un jeune idéaliste perturbé par les « surprenantes tromperies et trahisons d’un allié », devait devenir un lanceur d’alerte. Boyce révéla que la CIA avait infiltré l’élite politique et syndicale australienne et parlait du Gouverneur général de l’Australie, Sir John Kerr, comme « notre homme Kerr ».
Kerr était l’incarnation de l’Empire. Il était le Vice-roi de la reine d’Angleterre en Australie, un pays qui la reconnaissait encore (et la reconnaît toujours) comme son chef d’État. Sa charge était protocolaire. Pourtant, Whitlam (qui l’avait nommé), n’était pas informé, ou avait choisi d’ignorer ses liens de longue date avec les services de renseignement anglo-US.
En 1975, Whitlam prit connaissance d’une liste secrète de gens de la CIA, liste dans les mains du Chef permanent du Département de la Défense, Sir Arthur Tange, un mandarin profondément conservateur, détenteur d’un pouvoir territorial sans précédent à Canberra. Whitlam demanda à voir la liste. Sur celle-ci, on trouvait le nom de Richard Stallings, qui, sous couverture, avait mis en place Pine Gap, de fait une installation de la CIA. Whitlam avait maintenant la preuve qu’il avait cherchée.
Le 10 novembre 1975, on lui montra un message télex top secret attribué à Theodore Shackley, le chef de la CIA à la Division Asie orientale et l’un des personnages les plus célèbres que l’agence ait engendrés.
Le message de Shackley fut lu à Whitlam. De façon incroyable, il disait que le Premier ministre d’Australie représentait un risque de sécurité pour son propre pays.
Le 11 novembre 1975, le jour où Whitlam allait informer le parlement au sujet de la présence secrète de la CIA en Australie, il fut convoqué par Kerr. Invoquant des « pouvoirs réservés » vice-régaliens d’un autre âge, Kerr démit de ses fonctions le Premier ministre démocratiquement élu. Le problème était résolu.
Lors d’entrevues réalisées durant les années 1980 avec le journaliste d’investigation Joseph Trento, des agents hauts placés de la CIA dévoilèrent que le « problème Whitlam » avait été discuté « dans l’urgence » par le directeur de la CIA, William Colby, et le chef du MI6, Sir Maurice Oldfield, et que des « arrangements » avaient été conclus. Un directeur adjoint de la CIA a déclaré à Trento : « Kerr a fait ce que l’on lui a dit de faire ».

http://blogapares.com/australie-1975-coup-detat-oublie-comment-les-parrains-gouvernent-canberra-kiev/
Eric dit :

15 novembre 2014 à 17 h 59 min

intox, montage grossier d’un 767 à la place d’un 777 sur une photo googleearth

http://www.les-crises.fr/actuukraine-15-11-2014/
superféenix dit :

17 novembre 2014 à 12 h 43 min

Lorsque cette info est tombée, j’étais un peu circonspect…je en doute à aucun moment du petit jeu malsain des extremistes de Kiev qui veulent pousser le monde dans la guerre.

Cette preuve m’a semblé suspecte dès le début car pour avoir vu les différentes photos qui démontrent bien qu’on a bien eu à faire à un mitraillage de la tête de l’avion…pour autant un détail m’a titillé mon réflexe Columbo:

Sur la photo le tir ets dans le sens Sud-ouest vers Nord-Est…ce qui veut dire que l’avion aurait du être impacter sur la droite.

Sur les photos des débris d’avion on a des impacts sur le devant de l’avion mais côté gauche.

Rien ne concorde et tout porte à croire que les clichés sont faux car ne répondant pas à une interprétation logique de l’attaque.

L’avion se trouve en abs dela photo (donc on va Sud)…car si il s’était trouvé en haut (donc au Nord)…cela aurait permsi une autre interpretation: c’est un avion qui à une probabilité importante de venir de Russie.

LM’attaque n’a put être que rapide et donc laisser peu de temps à l’avion pour communiquer ou à des obsservateurs extérieurs d’assister etd e comrpendre la situation.
1. galadriel dit :
  
  17 novembre 2014 à 12 h 55 min
  
  On ne saura que dans quelques dizaines d’années, lorsque les documents seront déclassifiés. Regardons à qui le crime profite : pas à Moscou qui en subit toutes les conséquences, mais bien à Kiev et à l’OTAN et toute sa bande. Cette façon de regarder les choses est souvent une bonne indication.

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