Archéologie interdite 10 : Les fossiles et restes humains impossibles

Ce numéro est le dernier de notre série sur l’archéologie interdite.

 

D’autres sujets concernant notre univers et son organisation vue par des regards non conventionnels seront traités. Le sujet est inépuisable, mais demande un tri sérieux.

Si vous avez une suggestion à nous faire, contactez-nous. Ce que nous vous demandons c’est que l’article affiche ses références afin que nous puissions les vérifier.

Pour aujourd’hui, voilà encore de quoi réfléchir très sérieusement à l’histoire humaine telle qu’elle nous est enseignée par l’histoire officielle !

Actuellement, on recherche des fossiles d’hominidés dans des lieux géologiques dont les sédiments correspondent aux dates en accord avec la théorie officielle.

Si d’autres hominidés ont existé auparavant, on les trouvera dans des couches plus anciennes, dans un état fossile plus avancé.

Mais si on trouve effectivement des fossiles encore plus anciens, cela veut dire, soit qu’il faut ajouter une partie plus ancienne à l’histoire de l’homme et donc également revoir son évolution, soit, si l’on continue à proclamer que les premiers hominidés n’ont que 4 millions d’années au mieux, qu’il faut revoir toute la géologie.

C’est sur ces ambiguïtés que, dans certains états américains, les créationnistes ont obtenu le droit d’enseigner à l’école leur théorie, en la présentant comme plus fiable que celle née du Darwinisme.

Nous devons ce retour à l’obscurantisme moyen-âgeux au fait que les scientifiques refusent même d’étudier ces fossiles impossibles sous prétexte qu’ils servent les vues créationnistes.

Une fois de plus, comme pour la parapsychologie, ou bien le phénomène OVNI, le serpent se mord la queue et la place est laissée vacante aux charlatans de tout poil.

Les scientifiques se défendent en nous expliquant qu’une bonne théorie repose sur un vaste éventail de preuves contre quelques exceptions de-ci de-là.
C’est une attitude dogmatique, anti-scientifique car c’est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories.

Voici donc quelques-unes de ces exceptions, ces fossiles impossibles, qui mériteraient une étude sérieuse, même si c’était pour les invalider !


  • Crâne de lignite de Freiberg En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite ( 1 ) vieux de 15 à 50 millions d’années.
    Cet objet fait partie de la collection de l’Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
  • A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d’une mine d’or de Table Mountain près de Needles en Californie.
    En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu’un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell.
    En 1866, M. Mattison, propriétaire d’une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
    Ce crâne âgé de 12 millions d’années est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats.
  • Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d’argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman ( Colorado ).
    La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d’années.
  • En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
    Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
    La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.
  • Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d’un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d’une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin ( Missouri ), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
    Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d’autres restes ( un fémur, des vertèbres et d’autres morceaux de bois carbonisés ), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
    L’âge estimé de ce minerai est de 425 millions d’années.
  • En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l’archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l’émail s’était transformé en carbone et les racines en fer.
    Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d’années.
    Cette découverte ne suscita l’intérêt d’aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l’oubli.
  • En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d’Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d’un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
    De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d’années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
  • En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d’os et des dents.
    Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d’anthropologie à l’Université de l’Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
    Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d’apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d’années.
    Les fossiles furent ramenés à l’université pour une datation, non révélée jusqu’à présent, et le professeur Marwitt fut muté…
  • Oreopithécus En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d’un hominidé âgé de 12 millions d’années, baptisé Oreopithécus.
  • Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
    Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous.

    Ed Conrad n°1

    Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d’un grand anthropoïde

    Ed Conrad n°2

    Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d’un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu’un crâne d’hominidé.

    Ed Conrad n°3

    D’autres fossiles pétrifiés d’os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
    Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au « Smithsonian Institute » qui refusa de faire une étude poussée. Des os d’hominidés pétrifiés de 280 millions d’années, c’est impossible donc… sarcasmes, moqueries… Attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.
    C’est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.
    Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c’est à dire que, selon la science officielle, « Dame Nature » aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d’hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l’emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens ( visibles seulement au microscope ).
    Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !

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    En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet ( Maroc ), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d’un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d’années !
    Pour la suite… Cliquez ici pour le site officiel du CERBI ou ici pour le site miroir du CERBI.

       Confirmation de l’authenticité du petit crâne du Tafilalet   

http://www.ldi5.com/paleo/prints.php

TOUJOURS DANS LA SÉRIE DES FOSSILES HUMAINS IMPOSSIBLES :

Les Géants

 

Les géants dans la Bible

 

La Bible mentionne l’existence de géants à différentes reprises. Dans la Genèse, il est dit « Et il y avait des géants sur la Terre en ces temps-là (…) »1.

Les hommes de ce temps-là étaient des géants, des hommes de renom, de puissants hommes qui remplissaient la terre d’extorsion (Gen. VI, 4, 11, 13), c’est-à-dire d’oppression et de violence.
Ces hommes semblaient défier la terre et le ciel; mais ils furent contraints à trembler devant Dieu, quand Il se leva pour les juger, et ils durent périr misérablement avec tous les autres : « Le terrible prendra fin, et le moqueur sera consumé ; le branchage des terribles sera abattu, et tous ceux qui veillent pour commettre l’iniquité seront retranchés » (Esaïe XXV, 5 ; et XXIX, 20).

Le roi David combat également le géant Goliath. La taille présumée du Goliath biblique est d’environ 2,80 m, tandis que Robert Wadlow qui détient le record de l’homme le plus grand ayant existé dans l’histoire moderne mesurait 2,72 m à l’âge de 22 ans.

Dans le Livre des Nombres, il est fait référence aux géants : « nous vîmes des géants, les fils d’Anak… et à nos yeux nous étions devant eux comme des sauterelles »2.

Dans le Deutéronome, il est fait référence à l’Og géant, le roi de Basan : « (…) et nous prîmes toutes leurs villes, car Og seul restait, des fils des géants, et voyez, son lit était un lit de fer, et n’est-il pas à Rabbath, chez les enfants d’Ammon, et il était de neuf coudées de long et de quatre de large, des coudées d’homme (…) »3. Une coudée était d’environ 45 ou 50 cm. Par conséquent, le lit du roi Og était de 4,5 mètres de long et environ 2 mètres de large.

Dans le Livre de Josué, il est fait référence à la « terres des géants »4.

Empreintes et ossements fossiles

XIXe siècle

  • En 1877, on aurait découvert, à Spring Valley (Nevada) près de la localité d’Eureka, en partie scellés dans du quartzite, les ossements d’une jambe humaine mesurant un mètre du genou à l’extrémité des orteils5.
  • En 1879, un squelette de 2,95 mètres de haut aurait été extrait d’un tertre funéraire, à Brewersville (Indiana). Il avait un collier de mica autour du cou et, à ses pieds, une figurine humaine incrustée de silex6.
  • En 1890, L’anthropologue Georges Vacher de Lapouge a déterré le bras et un os de la jambe d’un homme de 3,5 mètres de hauteur à Castelnau-le-Lez, France et pour cette raison nommé « Géant de Castelnau ». Les os ont été étudiés à l’Université de Montpellier et cela a confirmé que l’être humain mesurait le double de la taille d’un être humain normal. Ces conclusions ont été présentées dans la revue de vulgarisation La Nature7.
  • En 1893, un squelette géant est découvert près du phare de Caraquet, au Canada, par le gardien. La découverte est annoncée dans Le Courrier des provinces maritimes8.
  • En 1894, un compte-rendu de presse américain parle de la découverte de gigantesques ossements humains trouvés à Montpellier, France, par des ouvriers travaillant sur un réservoir d’eau. Des crânes humains de 71, 79 et 81 centimètres de circonférence ont été signalés parmi des ossements humains qui ont indiqué une race d’hommes de trois à quatre mètres de haut. Les os auraient été envoyés à l’Académie de Paris9,10.
  • En 1895, un géant fossilisé de plus de 3,70 m aurait été découvert par un orpailleur dans le Comté d’Antrim (Irlande). Il est exposé et photographié dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Railway Company’s Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester11. Une photo a été prise lors de l’événement.

XXe siècle

  • En 1908, près du parc d’État de Dinosaur Valley, des empreintes de pas humains géants furent découverts dans la Glen Rose Formation. Ces traces furent revendiquées par des créationnistes jeune Terre comme des preuves contre la théorie de l’évolution12.
  • En 1912, dans la région du Transvaal de l’est (actuellement Mpumalanga) en Afrique du Sud, une empreinte géante de pied humain pétrifiée aurait été trouvée par le chasseur Stoffel Coetzee, le site est popularisé13 par le musicien sud-africain et essayiste Michael Tellinger (en)14.
  • En 1935, le géologue Clifford Burdick aurait relevé sur les bords de la Paluxy River (Glen Rose, Texas) des empreintes de géants jouxtant celles de dinosaures11.
  • En 1936, l’anthropologue Ludwig Kohl-Larsen aurait découvert, sur la rive du Lac Eyasi (Tanzanie) des ossements humains géants15. Il est connu pour la découverte de la grotte Mumba (Mumba cave). En 1956, il fit paraître un livre sur les mythes Hadzabe, dont certains à propos de géants16.
  • En 1937, deux paléontologues allemands, Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald et Franz Weidenreich, auraient trouvé en Chine plusieurs ossements humains d’une taille étonnante15. Weidenreich est l’auteur d’un livre sur le sujet17 faisant référence au Gigantopithèque, qui est un singe et non un humain. En 1944, Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants à l’American Ethnological Society.
  • D’après Louis Burkhalter, des outils préhistoriques géants auraient été exhumés à Safita en Syrie et dans le sud du Maroc, par le capitaine R. Lafanechere. Les outils syriens pèseraient de 2,5 à 3,5 kg et ceux du Maroc de 4,15 à plus de 8 kg, ce qui validerait selon lui la théorie de l’existence historique de géants humains18,19. La découverte d’autres outils géants a été mentionnée 20.
  • En 1964, dans une grotte d’Alguetca située près de Manglisi (en) (province de Kvemo Kartli, Géorgie), des archéologues auraient mis au jour des squelettes d’hommes mesurant près de 3 mètres15. En 2002, la ville de Dmanisi dans la même province a vu la découverte de vestiges attribués à l’Homo georgicus, qui n’est pas un géant.
  • En 1976, le squelette d’un être humain géant aurait été découvert près du château Trezzo d’adda, province de Milan, en Italie. Le squelette a été identifié comme Rodchis, le fils du roi de Lombardie Poto au VIIIe siècle. Son squelette était trop grand pour le tombeau de 2 mètres de long, ses genoux et la tête ont été pliés pour adapter sa taille énorme qui était d’environ 2,5 mètres de haut21.
  • Rex Gilroy, auteur australien, aurait découvert, à Mount Victoria en Nouvelle-Galles du Sud, des empreintes fossiles de pieds de géants15,22.

XXIe siècle

  • En 2004, l’équipe de prospection Aramco Exploration Team aurait découvert en Arabie saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires qui pourrait se rattacher au peuple Ad cité par le Coran15.
  • En 2008, les os d’un être humain géant auraient été retrouvés dans les gorges de Borjomi, en Géorgie (Caucase). La nouvelle a été rapportée par 1TV, la première chaîne de télévision en Russie. Le géant a été estimé à 2,5 ou 3 mètres de haut. Ses os ont été étudiés par le Dr Abesalom Vekua, du Musée national Géorgien23.[réf. insuffisante]

LES SOURCES SONT SUR LA PAGE WIKIPEDIA :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ories_sur_l%27existence_historique_de_g%C3%A9ants

Également sur les géants :

http://bibleetdecouvertes.free.fr/textes/geants1.htm

http://marie.roca.over-blog.com/article-22759432.html

(Note : Cet article de Marie Roca n’est pas sourcé, je suppose que son livre l’est, mais c’est la raison pour laquelle il n’a pas été utilisé comme article de référence)

IMAGE A LA UNE :

Photo publiée en 1895 d’un géant momifié découvert en Irlande.