Encore une preuve que le NWO n’est pas un délire complotiste
Une whistleblower (lanceuse d’alerte) donne à voir les « liens » entre la Fed et Goldman Sachs
Préambule : Nous avons traité ce sujet de nombreuses fois. Il suffit de taper « Goldman Sachs » comme mot clef dans notre page d’accueil pour lire les nombreux articles publiés à ce sujet.
Le côté réjouissant de cet article, c’est que, là encore, la preuve de la réalité des informations alternatives se confirme. De plus en plus les choses apparaissent au grand jour, et les accusations de « délire complotiste » tombent. C’est le côté « verre à demi-plein » de l’histoire.
Le côté sombre, est que nous devons nous attendre à une surveillance de plus en plus étroite du net. Celle-ci a déjà commencé, mais ce n’est que le début. Il est bien évident que le puissant NWO, de plus en plus dévoilé ne laissera pas ses scandaleuses manœuvres mises à jour, chaque jour un peu plus. Il travaille sur au moins deux plans : l’abêtissement et la peur des populations dans la matrice, et le contrôle du net.
Non, l’alternatif n’est pas paranoïaque, même si certains blogs douteux décrédibilisent l’ensemble, c’est le but.
Courage, lecteurs, faites circuler pour que s’ouvrent un maximum de consciences ! Contrairement aux apparences, et à aux quolibets des médias à la botte, nous sommes sur la bonne voie ! ♥
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ARTICLE :
Carmen Segarra était appointée par la Réserve fédérale de New York pour superviser les activités de Goldman Sachs, l’une des principales banques américaines. Elle est licenciée sept mois plus tard. Atterrée par ce qu’elle a vu et entendu au sein de la Fed ou de Goldman, elle a entrepris d’enregistrer les réunions. Tout comme les documents d’Edward Snowden apportent la preuve d’une écoute massive qui était lourdement soupçonnée, les enregistrements de Carmen Segarra valident les « rumeurs » selon lesquelles les grands établissements du secteur financier ne vivent pas dans le même monde que vous. Les lois ne sont visiblement pas les mêmes pour eux. Mieux, le gendarme qui devrait les surveiller et les sanctionner est apparemment très… Laxiste ?
Les informations de Carme Segarra ont été révélées par This is American Life (voir la retranscription de l’émission de radio).
Bien entendu, si vous lisez les articles financiers de Reflets, vous n’allez pas être très surpris. Mais tout de même, une confirmation (46 heures d’enregistrements) issue de l’intérieur de ce monde ne fait pas de mal. Florilège :
- Au cours d’une réunion chez Goldman Sachs, un participant indique que « lorsque les clients sont assez riches, certaines lois ne s’appliquent plus à eux« . La Fed a refusé qu’elle enquête sur ces déclarations : « ça ? Tu ne l’as jamais entendu ».
- La Fed lui a demandé de retirer certains passages sur ses compte-rendus de réunion.
- « Bouger la Fed est lent, c’est comme maoeuvrer le Titanic« , lui explique un collègue lorsqu’elle se plaint de ce genre de demandes. Il lui recommande la patience…
- le responsable de Carmen Segarra explique qu’au coeur de la crise financière, personne ne savait quoi faire à la Fed. Ca rassure.
- Lorsqu’un deal est annoncé à la Fed avec Banco Santander en pleins congés de Noël en Espagne, Carmen Segarra remarque que Goldman, tentait de faire apparaître Santander comme étant en meilleure santé que ce qu’elle était. Reprenant dans ses comptes des crédits douteux. Légal, mais dangereux pour la stabilité du système. Son supérieur explique qu’il va mettre la pression sur Goldman. Mais lors de la discussion avec Goldman Sachs, son supérieur ne dit rien qui puisse fâcher ses interlocuteurs.
- Il ressort également que la Fed se persuade elle-même qu’elle ne peut pas forcer Goldman à communiquer des documents que la Fed pourrait utiliser contre la banque. Une sorte de constat d’échec inquiétant après la crise qui a secoué le secteur financier et à la lumière de ce qui est connu aujourd’hui, comme l’aide apportée par des banques d’affaires, dont Goldman Sachs, à la Grèce pour maquiller ses budgets.
- Lorsque ses demandes pour une meilleure supervision de Goldman Sachs deviennent trop pressantes, son supérieur lui explique qu’elle doit changer si elle veut rester à la Fed.
- Goldman Sachs n’avait pas de document explicitant ce qui pouvait constituer un conflit d’intérêts pour la banque ou ses employés. Elle pouvait par exemple, conseiller à la fois le vendeur et l’acheteur dans une fusion de deux sociétés. Tout en ayant un dirigeant de la banque qui détenait une forte participation dans l’une des deux entreprises.
Bien entendu, la Fed de New York dément tout problème. De même que Goldman Sachs. Qui en aurait douté ?