Archéologie interdite (5) : L’étrange pouvoir des menhirs
Les menhirs ou pierres debout, sont répartis principalement en Europe, mais également en Asie (Inde, Arménie, Iran) et en Amérique du Sud (Colombie, Argentine). Ils font partie pour les archéologues des mystères qui donnent lieu à des spéculations, les moins imaginatives possibles.. (En archéologie, quand on ne sait pas, c’est « rituel ». C’est comme en médecine, quand un toubib ne comprend pas l’origine d’une fièvre, c’est un virus. Tout est dit !)
Voici ce qu’en dit wikipédia :
« En Europe, les menhirs constituent l’une des formes caractéristiques du mégalithisme au Néolithique jusqu’à la fin du Chalcolithique. Jusqu’à récemment, les menhirs sont associés à la culture campaniforme qui occupait l’Europe à la fin du Néolithique et au début de l’âge du bronze, entre 4500 et 2500 ans avant notre ère. Certains travaux récents sur les mégalithes de Bretagne suggèrent une origine plus ancienne, jusqu’à 6000 ou 7000 ans avant notre ère1.
Quasiment rien n’est connu de l’organisation sociale et des croyances des populations ayant érigé les menhirs. Aucune trace de leur langue n’est parvenue jusqu’à notre époque ; cependant, nous savons qu’ils enterraient leurs morts et pouvaient cultiver des céréales, produire des poteries, des outils de pierre et des bijoux. Identifier l’utilisation des menhirs reste entière spéculation. Toutefois, il est probable que certains usages impliquent des rites de fertilité et des cycles saisonniers.
La culture populaire a souvent associé les menhirs aux Celtes, ce qui est inexact puisque les menhirs existaient plusieurs milliers d’années avant l’arrivée des Celtes en Europe. Certaines pierres plantées à la protohistoire sont plus des stèles que des menhirs mégalithiques. En France, c’est le cas notamment du menhir d’Ensérune dans l’Hérault.
La fonction des menhirs n’est pas non plus connue. Au cours des siècles, il a été suggéré qu’ils avaient pu être utilisés par les druides pour des sacrifices humains, avoir servi de bornes territoriales ou comme éléments d’un système idéologique complexe, ou encore comme calendriers primitifs2. Jusqu’au XIXe siècle, les archéologues ne possèdent pas une connaissance suffisante de la préhistoire et leurs seules références sont fournies par la littérature classique. Le développement de la datation par le carbone 14 et de la dendrochronologie ont fortement avancé les connaissances dans ce sujet.
Au Moyen Âge, les menhirs sont supposés avoir été bâtis par les Géants ayant habité sur terre avant le Déluge. De nombreux mégalithes sont détruits ou défigurés par les premiers chrétiens, mais on estime que sur les 50 000 mégalithes ayant été érigés en Europe de l’Ouest et du Nord, environ 10 000 subsistent à notre époque3. »
Un chercheur amateur ne s’est pas contenté de l’explication courante. Il s’est dit que ces mégalithes devaient bien avoir une fonction précise… Passionnant !
RÉCITS D’EXPÉRIENCES
Mon prénom est Michel, j’ai 59 ans et je suis retraité mais aussi inventeur et chercheur autodidacte. J’habite en France sur le Bassin d’Arcachon près de Bordeaux et je m’intéresse depuis de longues années aux ondes de forme émises par les différentes structures géométriques.
Grâce à ces recherches, j’ai mis au point deux inventions qui sont des générateurs d’ondes de forme qui permettent de bonifier et d’améliorer les vins jeunes rapidement.
La pyramide est la plus célèbre structure géométrique à rayonner des ondes de forme, mais il en existe d’autres moins connues.
Il faut noter que les scientifiques ne reconnaissent pas l’existence des ondes de forme et pour cela ils rejettent dans le monde des occultes et des radiesthésistes ceux qui ont le courage ou l’inconscience d’affirmer leur existence. Les ondes de forme restent mystérieuses par leur type d’émission ; de plus, elles échappent aux mesures des instruments de physique les plus sensibles, ce qui fait leur faiblesse mais aussi leur force ! Elles ont un caractère manifestement vibratoire et nous constatons bien leurs effets sur les vins jeunes qui se modifient et se bonifient en quatre à cinq semaines à l’intérieur d’une pyramide de type Kheops.
Vers sept mille ans avant Jésus-Christ et avant même la construction des pyramides égyptiennes, une civilisation nouvelle apparaît sur cette terre ; il s’agit du néolithique. De l’Europe du Nord à la Péninsule Ibérique, au Danemark et au Caucase ; de l’Inde au Japon, à la Mandchourie, à l’Amérique du Sud ou à l’Éthiopie, cette civilisation a laissé des dizaines de milliers de vestiges sous la forme de dolmens, de tumulus, de menhirs, etc. La France avec l’Angleterre est un des pays où le néolithique a été très présent et les milliers de menhirs que l’on trouve encore en Bretagne et plus modestement dans le reste du pays en sont le témoignage vivant.
Le néolithique nous a laissé des constructions cyclopéennes dont nous ne connaissons presque rien quant à leur signification. Si nous savons que les dolmens et les tumulus étaient des sépultures, par contre nous ne savons rien de la signification des menhirs. Le menhir le plus lourd en France pèse trois cents tonnes et mesure vingt mètres de longueur, il se situe en Bretagne du Sud sur la commune de Locmariaquer et il repose au sol cassé en trois parties.
Il faut constater les efforts colossaux réalisés par les hommes du néolithique pour tailler, transporter et mettre en place ces blocs de pierre ou de granit dont la signification reste toujours inconnue. Les hommes du néolithique travaillaient avec des instruments rudimentaires, on a retrouvé simplement, à ce jour, des haches de pierre, quelques flèches en pierre, des poteries, quelques bijoux, etc.
Les menhirs représentaient manifestement quelque chose de très important pour les hommes du néolithique. Souvent, en effet, les carrières d’extraction de ces menhirs et autres dolmens se situaient à des kilomètres de distance de leurs lieux d’implantation avec des dénivelés de terrain de plusieurs dizaines de mètres et des rivières à franchir aussi parfois. La distance d’extraction était même liée à la nature de la pierre ou du granit choisi pour la construction des menhirs !
Des essais ont été réalisés en France dans les années 70 sur un sol plat et sec avec une pierre de trente tonnes traînée sur une centaine de mètres par quelques dizaines de personnes munies de troncs d’arbres. Il faut savoir que ce procédé ne marche plus par exemple pour un menhir de cent tonnes dont le poids écrase dans la terre les rondins de bois.
Comment ces civilisations que l’on dit primitives et qui ne connaissaient pas la roue, ni le cuivre, ni le bronze, ni le fer pouvaient-elles tailler et transporter des pierres de dizaines, voire de centaines de tonnes sur des dizaines de kilomètres de distance sans problèmes particuliers ?
À titre indicatif, la pierre la plus lourde au monde parfaitement taillée en forme de parallélépipède et d’un poids de mille deux cents tonnes repose à demi enterrée depuis la nuit des temps sur la commune de Baalbek au Liban, à proximité des ruines d’un temple romain.
Notre entendement est défié mais les preuves sont là !
Des légendes attachées au néolithique laissent penser que les menhirs seraient des pierres qui auraient des pouvoirs, ils seraient des capteurs de forces telluriques.
Après avoir consulté une carte des menhirs de ma région ( la Gironde ), j’ai vu que le menhir de Peyrefitte, le plus grand et le plus lourd en Aquitaine, était situé à quelques encablures de la prestigieuse commune viticole de Saint-Émilion connue dans le monde entier.
Si les menhirs sont des pierres qui ont des auras et des pouvoirs, j’ai pensé alors qu’ils rayonnaient certainement des ondes de forme.
Ma décision était prise, j’allais tenter une expérience unique, celle de bonifier une bouteille de vin jeune et une bouteille d’eau du robinet posées contre un menhir qui remontait au néolithique moyen, soit 2 500 ans avant Jésus-Christ !
La particularité de ce menhir est d’être en plein dans les vignes, de mesurer cinq mètres de hauteur et de peser un poids de plus de cinquante tonnes.
En été 2004, un samedi, en après-midi, j’ai fait le voyage sur les lieux où se trouve le menhir de Peyrefitte sur la commune de Saint-Sulpice de Faleyrens à côté de Saint-Émilion.
Il est à noter que l’on attribue au Moine Émilion, le fondateur de la commune de Saint-Émilion, des faits miraculeux. En effet, on peut visiter la grotte où le moine Émilion vivait et le trône en pierre où il se reposait. La tradition veut que les femmes qui ont des difficultés à tomber enceinte puissent venir se mettre un instant sur le trône du moine Émilion et espérer ainsi une prochaine grossesse. Régulièrement, l’Office du tourisme de Saint-Émilion reçoit des lettres attestant l’efficacité du trône du moine Émilion !
J‘ai donc posé pendant une heure seulement une bouteille de vin de Bordeaux jeune et une bouteille d’eau du robinet contre le menhir de Peyrefitte. J’avais pris la précaution de prendre une bouteille de vin témoin d’un même lot à l’unité prés et d’une bouteille d’eau du robinet témoin. À la dégustation, ma stupéfaction est totale. L’eau a perdu son goût de javel, elle est tout simplement devenue agréable au palais. Même si les termes ne conviennent pas pour de l’eau bien qu’il existe des goûteurs d’eau, j’ai trouvé à la dégustation de l’ampleur, de la rondeur ainsi qu’une bonne longueur en bouche. Pour moi, la différence est évidente.
Concernant le vin, la modification est également significative. En effet, le vin témoin est rugueux et il n’a pas de consistance en bouche. Le même vin traité sur le menhir par contre est très agréable à boire. Il est arrondi, souple et il sature bien le palais avec une excellente longueur en bouche. Le vin jeune a été bonifié, cette deuxième expérience est aussi une réussite.
Ce qui paraît surprenant également c’est la puissance des ondes de forme engendrées par le menhir. En effet, la pyramide de type Kheops bonifie un vin jeune en quatre à cinq semaines. Avec ce menhir, une heure est suffisante pour bonifier un vin jeune, soit une différence de temps de 1 à 600 par rapport au vieillissement d’un vin sous une pyramide !
La tradition attribue également à ce menhir de soulager les personnes atteintes de rhumatismes.
Un journaliste du quotidien Sud-Ouest m’a fait le plaisir de réaliser un article sur cette expérience.
Eté 2005, je décide de récidiver mon expérience de vieillissement des vins jeunes sur les menhirs.
Pour cela je suis parti en Bretagne à Plouharnel-Carnac, Centre Mondial de la civilisation du néolithique.
Menhirs du moulin de Plouharnel-Carnac |
L‘homme des temps modernes ne peut qu’être admiratif devant ces milliers de menhirs plantés en terre bretonne plusieurs milliers d’années avant notre ère et dont la signification nous échappe encore et certainement pour toujours .
Accompagné de mon épouse et d’une journaliste de la presse locale, j’ai donc pris un petit alignement de menhirs dit du vieux moulin situé à Plouharnel pour réaliser cette nouvelle expérience.
A nouveau, j’ai posé contre la face d’un menhir une bouteille de vin de Bordeaux jeune et une petite bouteille d’eau.
Une heure après, j’ai enlevé la bouteille de vin et la bouteille d’eau.
Avec la journaliste nous avons dégusté dans la foulée le vin et l’eau.
Une fois de plus, le résultat est là !
Le vin a été bonifié et le goût de l’eau amélioré par rapport au vin et à l’eau témoin.
La journaliste subjuguée devant le résultat obtenu, me dit qu’elle allait faire dans la foulée un article pour son journal qui en définitive le refusera.
Les menhirs bretons peuvent ainsi continuer à garder leur mystère aux yeux du public .
Malgré cela, on peut conclure de cette nouvelle expérience réalisée sur les menhirs bretons, qu’il y a une continuité des effets trouvés sur le menhir de Peyrefitte en Gironde pourtant implanté à plusieurs centaines de kilomètres de la Bretagne.
Les menhirs seraient ainsi de puissants générateurs d’ondes de forme répartis un peu partout sur notre planète. Nous ne savons pas malheureusement à quelles utilisations étaient destinées ces pierres levées et plantées en terre par les hommes du néolithique, mais les expériences que j’ai réalisées montrent à l’évidence que les menhirs plusieurs milliers d’années après leur mise en place ont des pouvoirs puissants sur la matière !
Les lecteurs de ce site pourront s’ils le désirent renouveler très facilement ces expériences sur des menhirs qui se situent dans les régions où ils demeurent.
Michel MANCIET
tecnam7 yahoo.fr
ARTICLE TROUVÉ ICI :
http://www.ldi5.com/archeo/experiences%20avec%20les%20menhirs.php
IMAGE A LA UNE : Menhirs de Kergadiou – Menhir (Néolithique) Granit (H. : 8,75 m) (Bretagne)