La vraie vie ou… comment j’ai construit un poulailler

En écho au billet du 6 avril de Jean Paul, sur les dangers d’internet dans la propagation de fausses informations et de la dépendance chronique sinon maladive aux smartphones, je souhaite, modestement par ce billet, raccrocher les lecteurs à la vraie vie.

 

Depuis plus d’un mois, suite à la demande pressante de ma chère et tendre, je construis un poulailler pour prendre trois poules en pension complète.

 

L’automne dernier j’ai fais scier une bille de mélèze de la commune au cours d’une fête de village. Les planches ont séché tout l’hiver sous le balcon et voilà le résultat.

 

Ce poulailler est conçu pour la montagne: Un mètre de neige ne devrait pas le submerger et la porte s’ouvre vers l’intérieur pour un accès sans prendre la pelle à neige. Le pondoir doit servir de dortoir, j’espère que nos futures pensionnaires s’y plairont. Nous devons en faire l’acquisition, sur internet une poule anglaise de la race « Sussex »âgée de trois mois vaut 24 euros. (ce sont les meilleures pondeuses)

 

J’ai calculé l’amortissement d’un tel ouvrage, le bâti revient à peu près à 150 euros + 3 poules à 60 euros (j’espère en trouver à ce prix là) , nos chères pondeuses deviendront rentables après avoir pondu 53 douzaines d’oeufs ( Pour une douzaine de bons oeufs bio compter 4 euros). NB: je ne compte pas le temps passé.

 

Je profite de ce billet pour lancer une consultation: Qui a des poules à vendre ou qui connait un vendeur de poules parmi les abonnés de Médiapart ? Merci de me tenir informé.

 

 

poulailler de montagne
poulailler de montagne © GJ

 

 

poulailler de montagne
poulailler de montagne © GJ

 

 

la bille de mélèze
la bille de mélèze © Gj
Nota : Si vous voulez lui donner des tuyaux pour les poules ou lui demander son plan de poulailler, vous pouvez joindre gérard jacquemin par le biais de son blog ici :