Fondation « Des terres pour vivre » Donner définitivement accès à un toit et à la nourriture quotidienne
ANTICIPER LES PROBLÈMES À VENIR, ENSEMBLE
Ces images illustrent parfaitement le concept de ce projet DES TERRES POUR VIVRE, constituant une nouvelle facette de Vie dans cette société en perdition et faite pour redynamiser un élan de Vie simple, éthique, convivial, solidaire, de respect… pour la sauvegarde de la vie de chacun, de nos enfants, de nos petits enfants et des générations à venir pour lesquelles des impasses périlleuses se dressent déjà devant nous…
Ouvrons grands nos yeux et notre cœur, réunissons nos vies autour de terres à cultiver de façon artisanales mais totalement naturelles dans le respect de la vie, autour de lieu d’aquaculture éco-Logique, de lieu de productions artisanales rattachées aux nécessités de nos Vies, autour de site d’habitats écologiques de Bois et paille, restaurons la vie de ceux qui sont dans la misère en les impliquant dans l’action productive et participative, restaurons nos vie dans l’action de partages réciproques par lesquels nous, donateurs, pouvons acheter au tarif le plus bas les productions naturelles, sources de notre nourriture quotidienne.
Restaurons une vie basée sur les véritable nécessité, loin des besoins superflus et virtuels, restructurons une vie dans le respect total des terres, des eaux et des Humains dans un esprit de partage convivial et d’échanges….
Un paradis terrestre parfaitement concret et réalisable par le simple engagement solidaire de plusieurs êtres de cœur et de lien… Le premier projet va naître dans le sud du Morbihan, ensuite, vous verrez naître d’autres projets dans plusieurs départements…
2014 est l’année du renouvellement à faire vivre ensemble.
Les véritables valeurs de ce concept novateur sont fondées sur des règles de fonctionnement intégrant l’équité, l’éthique, la non assistance passive, le développement de l’autonomie, la restructuration du sens fondamental de la vie humaniste, la revalorisation de chacun, la reconstitution d’un mode de vie local, convivial, de respect, d’entraides réciproques, de développement de liens d’amitiés, de partage des savoirs et compétences, de la créativité artistique et dans une ambiance de bonheur simple et rassembleur
Il n’est pas prévu de mettre en place un procédé d’assistance passive (comme cela s’applique dans beaucoup de fondation et associations) sans redonner à l’aidé un sens valorisant à sa vie, sans l’impliquer dans la production participative partagée, sans l’impliquer dans les liens de retours vers les aidants :
1 – Les personnes entrant dans ce type de centre peuvent être des personnes démunies et en difficultés accompagnées dans la restructuration de leur vie, comme des personnes voulant changer de vie et revenir à des valeurs simples et saines de vie.
2 – Une fois un secteur de Terres achetées (lire les explications des articles ci-dessous), les personnes entrant dans la structure du concept sont alors impliquées dans la démarche de mise en place de la Production maraîchères, fruitière, pêche, forestière, artisanale, créative, artistique, constructive avec un rôle établi en concertation selon les compétences de chacun et selon l’accompagnement de personnes sans connaissance.
3 – Parallèlement un terrain HLL est équipé d’habitats temporaires pour loger les personnes intégrées et est lancé le projet de constructions solidaires d’habitats de façon la plus écologique et performante qui soit, en logements individuels, familiaux, collectifs et des structures de productions aux normes, d’expositions et de vente.
4 – Les personnes participant au montage d’un projet départemental par leurs dons, sont alors enregistrés comme membres avec différents statuts possibles, mais prévoyant obligatoirement un retour aux aidants par les aidés sur la vente des productions bio et artisanales à des tarifs en dessous du marché avec différents degrés selon l’implication parallèle des aidants :
- a) Le donateur peut ne pas s’engager dans la production participative, il a accès à l’achat des productions à un tarif en dessous du marché 1° degré
- b) Le donateur s’engage dans la production participative 1 jour par semaine, il a accès à l’achat des productions à un tarif en dessous du marché 2 ° degré
- c) Le donateur vivant dans son habitat personnel, s’intègre quotidiennement à la vie productive du groupe, il a accès à l’achat des productions à un tarif en dessous du marché 3° degré
- d) Le donateur cède des terres, il a accès à l’achat des productions à un tarif en dessous du marché 4° degré (4° degré est au niveau minimal du prix de la semence)
L’Objectif est de venir en aide aux familles en difficulté en les impliquant obligatoirement dans la production, mais consiste aussi à ’offrir aux populations locales une nourriture naturelle et artisanale au prix le plus bas en intégrant ces personnes dans des évènements festifs conviviaux.
L’objectif clef est de faire revivre les valeurs participatives et d’échanges solidaires comme dans un village traditionnel, une communauté de commune, un département et subvenir attentivement aux besoins vitaux de tous ces habitants dont le nombre de personnes en difficulté ne cesse de croître chaque jour.
UNE VIE SIMPLE, AUTONOME, DE PARTAGE
& SOLIDAIRE POUR TOUS
DESCRIPTIF DÉTAILLÉ EN IMAGES :
EN QUOI CE PROJET CHANGE PAR RAPPORT AUX AUTRES MISSIONS SOLIDAIRES EN FRANCE ?
l existe d’autres associations humanitaires en France, alors en quoi le projet DES TERRES POUR VIVRE est différent et complémentaire ?
Objectifs :
1 – Abolir la pauvreté existante par un procédé d’intégration des démunis d’une façon permanente et viable sur la base des besoins nécessaires et indispensables de vie en multipliant les opérations par département, puis au sein des départements les plus touchés selon les terres et milieux naturels les plus adaptés à la viabilité des projets locaux. Monter chaque structure comme structure autonome et productive toute l’année.
2 – Anticiper le développement de la précarité à venir par l’instauration d’un système de commerce équitable et solidaire local – Créer un principe de société nouvelle en lien avec la population et des terres productives écologiquement pour tous.
3 – Subvenir aux besoins des associations liées à la fondation en instaurant un principe d’échanges par lequel ces associations rapprochent les démunis de la Fondation Des Terres Pour Vivre afin de les intégrer durablement dans ce système de vie autonome et permanent
4 – Faire évoluer chacun des lieux de projet en lieux d’artisanat, d’accueil partagé, de rencontres conviviales et participatives, d’éducation auprès des jeunes sur les fondements de la philosophie pratique d’un projet de vie solidaire, le partage de savoirs et de techniques de productions autonomes et respectueuses.
5 – Exporter ce type de projet à l’étranger en lien étroit avec les multiples associations œuvrant aujourd’hui principalement à l’étranger (du fait que la pauvreté s’est installée largement à l’étranger avant qu’elle ne se développe en France)
Quelques points de détails sur les raisons de ces choix pour rendre ce projet viable
Tout ce que font les associations solidaires existantes et agissant en France comme le secours catholique, secours populaire, les restos du cœur, fondation Abbé Pierre, croix rouge, etc.… sont très louables et leurs actions sont à défendre.
Les principes de fonctionnement de la fondation DES TERRES POUR VIVRE prévoit l’instauration permanente de liens d’entraides réciproques avec ces autres associations et fondations : le rassemblement donnera beaucoup plus de forces aux actions d’autant plus que la précarité est en haute croissance et que les prévisions dans les années futures réclament une anticipation organisée afin de faire face activement aux sérieux problèmes à venir.
La majorité des actions en France sont des actions d’intervention d’urgence pour préserver les démunis de la souffrance, d’ailleurs plus dramatique et chronique en hiver. Ces interventions sont des bouées de secours d’une grande importance mais dont le principe ponctuel et éphémère implique la reconduction permanente de moyens pour de multiples interventions d’urgence à reconduire toute l’année.
La fondation l’abbé Pierre travaille en 2013 à la réalisation de 2000 habitats sociaux pour 2000 familles en difficulté sur la base de tarifs de loyers plus bas. Cela s’adresse à des familles ayant une certaine capacité de paiement inférieure aux niveaux de tarifs pratiqués en France avec l’inflation, une intervention ciblée sur une tranche de revenus modestes, ce qui est une très bonne chose.
Les interventions des associations solidaires pour donner accès à des repas, des tarifs bas, des aides et accompagnements ponctuels, etc.… sont des services de joie au moment où elles opèrent pour les personnes atteintes par les difficultés, mais des services qui ne résolvent pas les problèmes de façon définitive pour la grande majorité des personnes et familles en situation de lourde précarité.
Ces interventions sont des actions d’assistance de cœur qui sont dépourvues de moyens de faire que les « assistés » aient la possibilité d’assurer une pérennité sûre à leur vie : ils reçoivent l’aide sans que leur confiance ne soit reconstruite, ni leur espoir, ni une dynamique positive d’investissement à la reconstruction d’une nouvelle vie autonome. Des associations accompagnement des personnes dans une finalité de réinsertion à un métier et cela est une clef importante.
Celui qui est dans la précarité est sujet à une transformation psychologique d’enfermement sur lui. Celui qui est aidé, accepte avec bonheur l’aide reçue, mais en recevant plusieurs fois se sent totalement amoindri, dénigré par la non possibilité de reconstruire son amour propre et de ressentir le plaisir et la satisfaction de donner à son tour : il se sent à chaque fois de plus en en plus redevable et donc se sent mal et profondément gêné de ne rien pouvoir « rendre » en retour.
Pourquoi ? Parce que nous sommes tous fondés sur les mêmes principes que l’on croit maîtriser, mais qui sont les commandes de notre personnalité, nos pensées, nos, humeurs, actions et paroles (un peu long à expliquer et que je vais tenter de résumer au mieux) ; principe par lequel notre MOI est le cœur de notre sentiment d’exister. Notre Moi est bâtit sur les fondements intégrés et liés du cerveau reptilien, pour faire très courts : «le disque dur » des principes de survie instinctuels et interprétés en fonction des évènement vécus. Ensuite nous sommes soumis au contrôle inconscient, mais permanent de notre cerveau limbique au cœur duquel se situe « le disque dur » de toutes nos souffrances, traumatismes, ruptures liés à notre vécu depuis notre naissance (voire même intégrés durant les incidents de la grossesse) qui contrôle toutes nos attitudes et réactions face aux situations rencontrées : les amygdales du cerveau limbique (rien à voir avec le gosier).
Face à chaque situation à laquelle on est confronté, le croisement entre le cerveau reptilien et le cerveau limbique prennent totalement le contrôle de nos attitudes et nos réactions en déconnectant les lobes latéraux gauche et droite et frontal en fonction des éléments contextuels restimulant en nous des traumatismes passés. Le but de ce principe est que ce mécanisme inconscient nous préserve des conséquences dramatiques déjà subies dans le passé… Attention, cela ne signifie pas du tout que les résultats nous sauvent, car souvent ils nous conduisent à de nouveaux dangers ou problèmes…. (Mécanisme trop long à expliquer ici…).
Revenons aux personnes qui sombrent dans la précarité :
Une situation de vie plus ou moins confortable réunissant des paramètres correspondant plus ou moins à nos attentes, en tous les cas nous permettant de vivre dans un « bonheur relatif ».
Soudain un évènement vient bousculer l’ordre de notre vie (plusieurs sources possibles…) et instaurer une rupture brutale avec nos habitudes de vie en nous conduisant dans une difficulté financière insurmontable. Notre égo est touché avec des conséquences plus ou moins sans issue positive.
Selon son vécu, sentiment d’échec, de dénigrement, notre Ego s’est bâtit une forteresse défensive pour que nous nous protégions. Ensuite afin de renforcer le dispositif défensif inconscient, il bâtit des créneaux, façon des hauts de murailles de châteaux, et modifie sa forteresse en forteresse offensive… En tous les cas cette forteresse insidieuse enferme notre Moi à l’intérieur de nous même et ferme toute ouverture positive vers l’extérieur, voire déclenche une hostilité violente contre le monde extérieur.
En fonction de l’ampleur de l’Ego de chacun, la violence exprimée contre l’extérieur se déploie, le sentiment de dénigrement de soi nous ronge et nous nous fermons totalement à la vie et à la main tendue pour nous aider…
Principes d’accompagnement et d’intégration pour redonner un sens à sa vie en lien avec les autres
La Fondation DES TERRES POUR VIVRE prévoit une intégration accompagnée, avec ou sans intervention thérapeutique selon les cas, des démunis SDF, sans nourriture, en cours de le devenir, etc.… dans des lieux dans lesquels ils seront positivement mis en revalorisation dans l’action participative collective pour produire une nourriture diversifiée et de façon permanente toute l’année. En dehors de la logique de construction progressive d’habitats durables en ossature bois et paille venant remplacer les habitats temporaires, ces productions multiples serviront à leur vie quotidienne, tandis qu’ils s’occuperont de la redistributions de parts calculées aux associations humanitaires proposant des repas aux pauvres en France et à la vente de production auprès des membres donateurs à des tarifs réduits à leur minimum (en lien avec l’achat de matières premières principalement) dans une logique de commerce de partage solidaire et équitable local (par lieu dans chaque département). Parmi les bénévoles membres accompagnateurs, conseils et les démunis intégrés et insérés, seront désignés des « ambassadeurs » pour la conduite de nouveaux projets planifiés dans les différents départements Français.