VOUS CHERCHEZ UN ENDROIT DE RÊVE POUR ÉMIGRER LOIN DE LA POLLUTION ?

Ça va être très très dur : d’après la carte de pollution atmosphérique produite par la Nasa, vous avez le choix entre L’Arctique, l’Antartique, l’Alaska, le Khasakstan, l’extrême nord de la Russie, vers Mourmansk, la Mongolie ou les déserts  Sahariens,  quelques îles océaniques, l’Amazonie et quelques régions de l’Amérique du Sud  ou l’Australie…

Sauf qu’en Alaska,en Sibérie (polluée par les mines) et en Montgolie, bref, très très au nord, on se les gèle, que le Sahara est quasiment inhabitable et pas trop sécure, que les îles océaniques sont menacées par la montée des eaux et que l’Australie possède le record mondial des cancers de la peau du fait du trou dans la couche d’ozone… Même les moutons n’y sont pas protégé par leur laine ! Les pays d’Amérique du Sud sont politiquement instables et très pauvres en général,  reste  peut-être l’Himalaya et l’Amazonie et toutes ses bébêtes… En gros partout où la vie est si dure que personne ou presque n’y vit…

Et justement ! Cette carte présentée comme étant celle de la pollution est en réalité celle des décès dus à cette cause !  Ce qui me fait penser logiquement, que dans les pays très peu habités, cette mesure ne peut pas donner un résultat juste, puisque celui-ci  n’est pas exprimé en pourcentage mais en nombre∕km2

Si il y a 10 habitants par 1000 m2, s’il en meut 10, ça fait 50% et c’est énorme… Mais par rapport à une densité de population chinoise c’est totalement négligeable. Peut-on en déduire pour autant que l’atmosphère n’est pas polluée ?

Bon ! ne pinaillons pas… Il doit tout de même il y avoir moins de particules au dessus du désert de Gobi, qu’au dessus de New York…

Explication :

Voici les zones les plus polluées de notre planète

Nasa Earth Observatory © Capture d’écran.

 

La pollution atmosphérique est responsable chaque année de 2,1 millions de décès prématurés dans le monde, selon une nouvelle étude, mais les taux de mortalité peuvent varier considérablement d’un pays à l’autre. Pour mettre en évidence ces risques, l’Earth Observatory de la NASA a créé une carte de la pollution de l’air qui dévoile comment les niveaux de particules fines diffèrent à travers le globe.

© reuters. © epa.

 

Sur base de données compilées entre le 1er janvier 1850 et le 1er janvier 2000 indiquant le nombre moyen de décès pour 1.000 kilomètres carrés par an, le chercheur Jason West, professeur adjoint des sciences environnementales à l’Université de Caroline du Nord, dont l’étude a été publiée dans les Environmental Research letters, estime que près de 2,1 millions de décès par an sont liés aux niveaux de particules fines.

Les particules fines sont constituées de microparticules de moins de 0,25 micromètre de diamètre, telles que la poussière et la suie. Elles causent de graves problèmes de santé car elles sont assez petites pour pénétrer jusque dans les poumons. Elles proviennent du trafic routier (et plus particulièrement des moteurs diesel), mais aussi de l’industrie, de l’agriculture et de la combustion (cheminées, chauffage, etc.).

D’après le graphique de la Nasa, les zones en brun foncé connaissent le plus de décès prématurés. Les zones bleues, quant à elles, ont vu une amélioration de leur qualité de l’air depuis 1850. « Les particules fines sont particulièrement désastreuses dans l’est de la Chine, dans l’Inde du Nord et en Europe (des zones où l’urbanisation a apporté son lot de pollution) ».

L’Earth Observatory de la NASA ajoute que les particules fines peuvent s’attarder dans l’air pendant des « jours, voire des semaines » et qu’elles fragilisent petit à petit la santé des populations.

Caroline Albert

Source : Un Nouveau Paradigme

ET SI VOUS VOULEZ EN SAVOIR un minimum sur la pollution, Voici un bref résumé (Apparemment, un exposé scolaire… Vous voyez bien qu’y en a qui bossent 🙂 )

http://devoirsvt3e.e-monsite.com/pages/4-l-influence-sur-la-sante/

Et ça, ce n’est qu’un type de pollution !