SANTÉ EN DANGER : IL EST TEMPS DE REPRENDRE LE CONTRÔLE

La médecine officielle cause souvent plus de tort que de bien.

Il est clair que les défaillances de notre système de santé constituent la première cause de décès et de maladie en France.

Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), entre 350 000 et 460 000 événements indésirables graves se produisent chaque année à l’hôpital.

Ils sont essentiellement produits par des actes invasifs : médicaments, chirurgie, implants…

On pourrait en éviter jusqu’à 190 000.

On estime à 750 000 le nombre d’infections nosocomiales par an. (nosocomiales = causées par l’environnement hospitalier)

30% pourraient être évitées.

1 patient sur 10, rentrant à l’hôpital, subit un événement indésirable lié aux soins.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, 30 000 patients décèdent tous les ans d’accidents médicaux dans nos hôpitaux.

La Fédération Hospitalière de France estime qu’il y aurait entre 200 000 et 400 000 opérations chirurgicales inutiles en France, tous les ans.

144 000 patients sont hospitalisés inutilement chaque année en raison des médicaments prescrits, selon l’AFSSAPS.

Les médicaments prescrits sur ordonnance tuent plus que les accidents de la route, la pneumonie ou le diabète.

La plupart des effets secondaires sont pris pour de nouvelles maladies ou de nouveaux symptômes aboutissant à l’administration de soins et de médicaments supplémentaires ce qui augmente encore le risque de décès.

Le coût des effets secondaires représente 79 milliards d’euros au sein de l’Union européenne. Ils tuent près de 200 000 Européens tous les ans.

S’il y a autant de réactions négatives aux médicaments en France et en Europe, c’est en raison du nombre de médicaments consommés et prescrits.

De nombreux patients se voient prescrire une foule de médicaments aux dosages variés et aux effets contradictoires, qui peuvent interagir et provoquer des réactions bien plus graves lorsqu’ils sont combinés.

Nous avons atteint le point de saturation pour la prescription des médicaments.

Nous sommes arrivés au stade où toutes les eaux testées contiennent des restes mesurables de médicaments.

Les tonnes d’antibiotiques utilisés dans l’élevage de ferme, qui se répandent dans toutes nos rivières, donnent aux bactéries présentes dans les systèmes de traitements des eaux, une résistance accrue aux antibiotiques. On retrouve ces bactéries dans nos réserves d’eau.

La France détient le record de la consommation de médicaments en Europe.

Les pharmacies distribuent tous les ans plus 1500 unités de médicaments, par patient contre 1000 en Allemagne et 750 en Italie.

En 2010, 50 boîtes de médicaments ont été prescrites par personne en France, ce qui fait plus de 3 milliards de boîtes de médicaments vendues dans l’année.

50 % des Français âgés de plus de 65 ans prennent entre 1 et 4 médicaments chaque jour

38 % de ces Français prennent de 5 à 10 médicaments par jour

1 % de ces Français prennent plus de 10 médicaments différents par jour.

“Les médecins français prescrivent quatre fois plus que les médecins Britanniques, Irlandais, Italiens ou Grecs, et six fois plus que le danois, belge et allemand» selon le chercheur Berthod Wurmser, un expert européen sur les questions de santé.

À âge égal, beaucoup de Français ont des problèmes de santé qu’ils n’avaient pas il y a 20 ans.

Les maladies dégénératives sont de plus en plus répandues. L’incidence de plusieurs cancers a doublé. 12% des personnes âgées de 80 ans sont atteintes de démences séniles que l’on pourrait éviter.

Nos personnes âgées sont assommées de médicaments et ne s’en portent pas mieux.

Le système de santé en France privilégie le traitement de la maladie et non la prévention.

Si l’on en juge par les seules dépenses de santé, la France devrait être le pays où l’on vit le plus longtemps en bonne santé. Mais ce n’est pas le cas.

Le pire c’est que nous savons pourquoi :

  • Le système de santé ne traite que les maladies. Cette politique est liée aux stratégies de marketing ultrasophistiquées des grands laboratoires pharmaceutiques.
  • La fraude : autant par les patients que par les prescripteurs et par l’industrie pharmaceutique elle-même
  • Les prescriptions systématiques et erronées ;
  • Les procédures médicales et les hospitalisations inutiles ;
  • Les erreurs médicales, les infections développées à l’hôpital et les erreurs chirurgicales ou liées aux machines.

La médecine moderne ne s’occupe plus de la santé.

C’est une industrie mercantile de la maladie qui ne peut survivre que si des millions de personnes deviennent malades et le restent.

C’est une industrie qui refuse de prendre en compte des aspects vitaux de la santé comme : le fait que le stress affaiblit le système immunitaire.

Ou que la nourriture industrielle, le tabac, l’excès de calories et le manque d’exercice sont des causes directes de la maladie.

Ou encore que le contact avec des milliers de toxines présentes dans notre environnement et dans notre alimentation, ont un lien direct avec nos maladies.

On nous dit de faire attention au soleil, mais de plus en plus de personnes meurent chaque année de cancer en raison du manque d’exposition au soleil.

Le marketing mensonger a changé nos habitudes alimentaires. Les consommateurs se sont massivement tournés vers des produits alimentaires industriels ou mauvais pour la santé.

Tant que nous ne changerons pas l’orientation de notre système de santé, rien ne changera.

Nous devons mener une vie plus saine, faire plus d’exercice et adopter des régimes alimentaires adaptés à nos systèmes immunitaires.

Nous devrions combattre la maladie, prévenir la maladie et éviter au maximum tous les dommages collatéraux pour les patients.

Mais une analyse attentive et objective des faits montre que ce n’est pas le cas.

Il est temps d’arrêter de bombarder notre organisme de médicaments et d’aller chercher une bonne santé en vivant de manière saine et équilibrée.

Le temps est venu de reprendre le contrôle sur notre santé!

SOURCE : Institut pour la Protection de la Santé Naturelle : Le droit de se soigner autrement

http://ipsn.eu/