Il fallait y penser ! Continuer à bosser après 60 ans est bon pour notre santé !!

Celle-là, elle est bonne ! Si on repousse l’âge de fin de l’esclavage, ce sera par pure humanité… Ce n’est pas pour vous faire cotiser plus longtemps, non ! Pas du tout : c’est parce que ÇA NOUS FAIT DU BIEN !

Parce que, organiser la vie d’une population vieillissante en versant des retraites décentes, en encourageant les personnes qui arrêtent de travailler à garder une vie sociale, à lire, à aller au cinéma, faire des activités physiques, à surveiller leur alimentation, ça ne suffit pas ? Et bien non ! Si on veut bien vieillir, il faut aller au taf !

Constatons que les études de santé publique négligent ou étouffent certaines données (ogm, chemtrails, ondes wi-fi, alimentation etc etc) pour en promouvoir d’autres qui vont dans le sens de l’ultra-libéralisme en place…. Vous avez dit bizarre ?

LE TRAVAIL C’EST LA SANTÉ ! Depuis le temps qu’on vous bourre le mou, z’aviez pas encore pigé ? Et bien voilà la preuve :

Repousser l’âge de la retraite pour diminuer le risque d’alzheimer ?

Comptant parmi les maladies les plus craintes de notre temps, déclarée « grande cause nationale » en 2007, objet d’un plan du ministère de la santé entre 2008 et 2012, alzheimer est le sujet de nombreuses études pour tenter de la comprendre et, si possible, y échapper. On a ainsi appris ces dernières années que pour réduire les risques, on pouvait, selon les études, boire un à deux verres de vin par jour, consommer du café, manger du poisson ou des fruits et légumes – qui seraient donc bons pour la santé, aussi surprenant que cela puisse paraître. Sans oublier le fait de boire du thé vert.

Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), présentée lundi 15 juillet à Boston, aux Etats-Unis, il faudrait cette fois-ci repousser l’âge de départ à la retraite, de 60 à 65 ans, pour diminuer de 15 % le risque de maladie d’Alzheimer ou d’autres formes de démence.

L’enquête, menée auprès de 429 000 personnes, principalement des commerçants ou des artisans, âgés de 74 ans en moyenne et retraités depuis douze ans en moyenne. Presque 3 % d’entre eux avaient développé une forme de démence mais le risque baissait avec chaque année de travail supplémentaire avant la retraite, ont constaté les scientifiques. « Pour chaque année de travail supplémentaire, nous avons constaté que le risque de démence diminuait de 3,2 % », a expliqué Carole Dufouil, chercheuse à l’Inserm, à l’agence de presse AP. Ainsi, les personnes ayant pris leur retraite à 65 ans avaient 15 % de risques en moins par rapport aux retraités de 60 ans.

OU LIRE ET ÉCRIRE, AUSSI

En réalité, le principal ne serait pas le travail mais le fait de « maintenir une activité intellectuelle, de rester socialement actif, nuance Heather Snyder, directeur des opérations scientifiques et médicales à l’Alzheimer’s Association. Que les futurs retraités se rassurent, le fait de lire et écrire réduirait de moitié les risques de perte des facultés cognitives, selon une étude britannique publiée en mars.

Avec plus de 35 millions de malades dans le monde, dont environ 850 000 en France, alzheimer est la forme de démence la plus répandue. Dans l’Hexagone, elle toucherait environ 5 % des plus de 65 ans, 15 % des plus de 85 ans.

Source : Bigbrowser/Le Monde

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