L’UE impose la vaccination en cas de pandémie !
Voici une information que nous a communiqué une journaliste d’une grande chaîne avec comme commentaire que ces nouvelles prérogatives européennes rendront encore moins contrôlable l’achat de vaccins lors des futures pandémies (tant attendues)…
Comme nous le verrons plus bas, dans l’encadré, toutes les pièces du « puzzle » sont en train d’être imbriquées les unes dans les autres et tout est hélas fin prêt pour l’émergence d’un nouveau scandale sanitaire. Il est essentiel qu’un maximum de citoyens soient informés de ces « différentes pièces » à mettre bout à bout, pour qu’ils soient en mesure de comprendre les vrais enjeux et le « puzzle » global le moment venu.
Pandémies : l’UE renforce son système d’alerte et de réaction
Session plénière Santé publique − 03-07-2013
La capacité de l’UE à faire face aux menaces transfrontalières pour la santé, telles que le coronavirus, l’épidémie E. coli de 2011 ou la grippe H1N1 de 2009 sera renforcée par une législation adoptée ce mercredi. Le texte instaure un système d’alerte précoce, facilite l’achat commun de vaccins et permettra de décréter l’urgence sanitaire au niveau européen en cas de crise.
La législation tire les leçons des récentes crises, telles que l’épidémie d’infections provoquées par la bactérie Escherichia coli en 2011, le nuage de cendres volcaniques en 2010 ou la pandémie de la grippe H1N1 en 2009. Le dispositif européen existant sera renforcé afin de permettre une coordination et une réaction plus rapides à l’échelle de l’UE.
Achat commun de médicaments et vaccins
Les députés instaurent également une procédure qui va permettre aux États membres d’acheter conjointement des médicaments, plutôt que de lancer des appels d’offres séparés. « C’est sans aucun doute le plus grand succès de cette décision« , a déclaré le rapporteur Gilles Pargneaux (S&D, FR). « L’accès aux vaccins sera plus équitable car ils seront à des prix plus justes, une avancée qui est la bienvenue, particulièrement chez les plus petits États membres qui ne pouvaient tout simplement pas se permettre de payer les prix exorbitants appliqués pendant les récentes pandémies« , a-t-il ajouté.
Lors de la pandémie de grippe A (H1N1) de 2009, les États membres se faisaient mutuellement concurrence pour se procurer des vaccins qui n’étaient disponibles qu’en quantité limitée.
Situation d’urgence sanitaire à l’échelle européenne
Le texte introduirait également la possibilité de reconnaître une « situation d’urgence sanitaire » européenne dans le but d’accélérer la mise à disposition de médicaments nécessaires à la lutte contre la crise. Conformément à la législation en vigueur, l’UEdoit attendre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour déclarer une urgence internationale sur tous les continents.
Certaines épidémies récentes étant liées à des souches virales d’origine aviaire ou porcine, l’interopérabilité entre le secteur vétérinaire et celui de la santé est renforcée.
Indépendance des experts
Le texte insiste sur l’indépendance et la transparence dont doivent faire preuve les experts impliqués dans le système. Lorsque des experts sont consultés, ils devraient déclarer la présence ou l’absence de tout intérêt, direct ou indirect, qui pourrait être considéré comme préjudiciable à leur indépendance.
Prochaines étapes
La décision entrera en vigueur le jour de sa publication au Journal officiel.
Procédure: codécision (procédure législative ordinaire), accord de première lecture
Ces informations sont extrêmement inquiétantes. POURQUOI :
– Parce que l’achat groupé de vaccins n’est profitable qu’aux seuls fabricants qui éviteront ainsi les invendus mais avec une pression renforcée sur les citoyens pour qu’ils « consomment » les vaccins que les Etats auront achetés en leur nom.
– Parce que l’achat groupé éliminera la possibilité de COMPARER la situation entre les pays qui auront acheté des vaccins et ceux qui n’en auront pas achetés. A chaque fois, c’est pareil, on empêche de comparer pour prétendre que la vaccination est absolument indispensable (la Pologne a bien montré que cela n’était pas le cas avec le H1N1) et que tous les effets secondaires sont des coïncidences. On procède aussi ainsi en ne comparant jamais officiellement des vaccinés à des non vaccinés dans les essais cliniques lorsqu’il s’agit d’évaluer la « sécurité » des vaccins.
– Le texte issu d’un site européen est rédigé comme si l’Europe n’avait aucune honte des décisions vaccinales qui ont été prises lors du H1N1, avec les narcolepsies qui s’en sont suivi, on continue donc à dire que les leçons ont été tirées mais elles l’ont uniquement été sous l’angle de « Comment vacciner toujours plus de gens lors des prochaines pandémies tant attendues ? » Il ne s’agit donc aucunement d’une vraie remise en cause structurelle de ce qui s’est passé. L’idéologie reste inchangée.
– Le fait que l’UE. acquière une autonomie pour décréter elle aussi un état d’alerte sanitaire, indépendamment de l’OMS qui avait déjà assoupli fameusement ses propres critères, multiplie aussi les possibilités de contraintes et de pressions vaccinales. D’ailleurs le but est clairement affiché : pouvoir utiliser plus vite des médicaments, ce qui inclut évidemment aussi des vaccins dont le développement sera aussi bâclé que pour les vaccins H1N1 générateurs de narcolepsies…
Et cela est d’ailleurs d’autant plus dangereux que cette faculté de l’UE de décréter un état d’urgence sanitaire s’ajoute à la volonté de l’Union de pouvoirEXPERIMENTER SANS CONSENTEMENT des médicaments (donc y compris des vaccins) AU MOTIF DE L’URGENCE. On voit donc comment les pièces du puzzle s’imbriquent les unes dans les autres : on décrète une urgence pour pouvoir dire que les vaccins sont absolument incontournables et que cela vaut la peine alors d’expérimenter sans le consentement des gens sur le public,… et puis comme de toute façon cela risque d’être le lot de tous les européens avec 100% des pays européens qui devront marcher au pas et utiliser les vaccins achetés… comme ça au moins, dans ce véritable nivellement par le bas, tous les citoyens seront « égaux » face aux risques vaccinaux inacceptables. Mme Testori de la DG Sanco avait même dit son souhait que les humains soient vaccinés à la manière des animaux, à l’occasion des prochaines pandémies, sur base de décisions arbitraires et illégitimes de la Commission Européenne constituée de gens non élus comme elle…
En approuvant ces mesures, les eurodéputés ont une fois encore trahi le public qu’ils sont censés représenter et déforcé les générations futures, leur intégrité et la qualité de leur ADN, car selon plusieurs spécialistes, les vaccins ne sont hélas pas sans risque sur la stabilité et l’intégrité de l’ADN, leur potentiel mutagène n’étant jamais évalué. Nous sommes dans un contexte où les maladies dites « orphelines » explosent, des maladies dans lesquelles une ou plusieurs mutations de l’ADN qui sont loin de ne pouvoir s’expliquer que par le seul « hasard », jouent un rôle crucial. Les vaccinations incessantes en 200 années de temps ont déjà plus qu’affaibli les générations futures et la robustesse de leur santé. Et ce ne sera évidemment pas la vaccination des femmes enceintes, comme préconisé de façon criminelle des dernières années qui va arranger les choses !!!!!
Source: IC via Wikistrike