DOSSIER : LES NANOPARTICULES (1) LE BRONZAGE
BIENTÔT LES VACANCES SACRÉES, LA PLAGE, LE TEST GÉANT DES NANOPARTICULES DE ZINC SUR NOUS, COBAYES !
Micro-photographie électronique d’une nanoparticule d’oxyde de zinc, fabriquée par le CNRS -oui oui le Centre National de la Recherche Scientifique, organisme public ! avec l’argent du contribuable donc- et revendue par conteneurs aux industriels privés qui fabriquent les cosmétiques, nanoparticule testée chaque été en toute quiétude, via la plupart des ambres solaires connues, et dans le dos des vacanciers, pour être finalement déversée dans tous les océans du monde, par millions de tonnes !!!
Bonnes vacances… La Terre nous aiiiimmme !!!
Et les macro-multinationales d’empocher des milliards en badigeonnant donc simplement, de juin à septembre, le corps des humains, qu’elles rendent malades et dépendants !!!
Et, dans le sillage, l’ensemble de la chaîne alimentaire vivante…
SANS AUCUNE REACTION SIGNIFICATIVE DE LA PART DE QUICONQUE !!!
Alors, pour que les nanotechnologies ouvrent la voie aux « Energies Alternatives Propres », il va en falloir de l’éthique !!! Et de l’éthique !!!
Il va en falloir !!!
Et l’éthique, par définition, ça ne se vend pas…
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Nanoparticules de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc dans les produits cosmétiques : Etat des connaissances sur la pénétration cutanée, génotoxicité et cancérogenèse – Point d’information
L’Afssaps a été saisie par la Direction générale de la santé (DGS) sur le thème des nanomatériaux dans les produits cosmétiques, en particulier le dioxyde de titane et l’oxyde de zinc contenus dans les produits cosmétiques.
Le rapport de l’Afssaps a traité de la pénétration cutanée, la génotoxicité et la cancérogenèse du dioxyde de titane et de l’oxyde de zinc sous forme nanoparticulaire
A l’issue de ce rapport des recommandations relatives à l’utilisation des nanoparticules de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc en tant que filtres ultraviolets dans les produits cosmétiques ont été émises.
- Etat des connaissances relatif aux nanoparticules de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc dans les produits cosmétiques en termes de pénétration cutanée, de génotoxicité et de cancérogenèse (14/06/2011) (382 ko) – Rapport
- Utilisation des nanoparticules de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc en tant que filtres ultraviolets dans les produits cosmétiques (14/06/2011) (67 ko)– Recommandations
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Ecrans solaires : Le danger des nanoparticules
Le danger des nanoparticules pour notre santé est une thèse de plus en plus affirmée. Les études démontrant la toxicité de ces nanoparticules sont de plus en plus nombreuses. Dans le domaine des produits cosmétiques, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail (AFSSET) dans un bulletin de veille scientifique appelle à la prudence, quant à l’utilisation de produits cosmétiques sur des peaux lésées, car ces nanoparticules peuvent aisément passer la barrière cutanée.
Si leur pénétration dans notre organisme est acquise, il restait à prouver leur toxicité et leur dangerosité. C’est aujourd’hui chose faite, par une publication de chercheurs américains montrant la toxicité des nanoparticules se trouvant dans les écrans de protection solaire vient s’ajouter à la pile déjà haute de dossiers et études prônant la méfiance quant à leur utilisation cf :http://www.nanowerk.com/news/newsid=15676.php
Mais que sont exactement ce que l’on appelle les nanoparticules et en quoi peuvent-elles être dangereuses ?
« Si l’écran solaire nous protège des rayons ultra-violets, il est en vérité mauvais pour notre santé », voilà ce que dit une étude américaine du département de pharmacologie et de toxicologie de l’université de l’Utah. D’après cette étude, certains écrans solaires contiennent des nanoparticules d’oxyde de zinc. L’oxyde de zinc est utilisé pour empêcher les effets nocifs du soleil sur la peau. Cependant, sous forme de nano particules, il a été démontré que l’oxyde de zinc est deux fois plus toxique et peut endommager les cellules du colon et devenir dangereux si ingérée accidentellement. La concentration de nanoparticules mesurée comme toxique pour les cellules du colon équivaut à une ingérence de 2 grammes de crème solaire. Il faudrait faire particulièrement attention aux enfants lors de l’utilisation de telles crèmes.
Même s’il n’existe pas une seule définition de ce qu’est une nanoparticule, pour faire simple, on peut dire qu’on appelle nanoparticule, tout ce qui est plus petit que 100 nanomètres. Généralement, ce sont des ensembles atomiques ou moléculaires. Rappelons que 1 nanomètre est égal à 10 puissance -9 mètres, c’est-à-dire 1 milliardième de mètre. Cela ne vous dit toujours rien ?? Pour faire plus « visuel », cela équivaut à la moitié du diamètre d’une molécule d’ADN, ou encore entre 10000 et 50000 fois plus petit que le diamètre d’un cheveu.
Il ne faut pas ignorer que l’on trouve des telles particules à l’état naturel dans les poussières émises par les combustions notamment.
Mais la science permet aujourd’hui de manipuler et de maitriser l’assemblage des atomes pour fabriquer des produits et matériaux ayant des propriétés bien précises. Si cette technologie qu’on appelle « la nanotechnologie » est si prisée, c’est notamment parce que les propriétés des particules différent lorsqu’elles sont de taille nanométrique. Ainsi, des propriétés, chimiques, physiques ou électriques d’un produit peuvent t être complètement différentes des celles du même produit à une taille plus grande. Les implications économiques sont inversement proportionnelles à la taille « nano » ! D’où l’importance de l’enjeu de la recherche dans ce domaine. On trouve des nanoparticules dans beaucoup de domaines aujourd’hui, y compris dans l’alimentation (texture des poudres, crème, épaississants, conservateurs, etc….).
Certains considèrent que la nanotechnologie est la prochaine révolution industrielle. Mais il est néanmoins utile d’être extrêmement prudent. La particularité des ces nanoparticules vient justement de leurs petites tailles. De l’ordre du macroscopique, ces particules sont tellement fines, qu’elles peuvent pénétrer les cellules par les voies respiratoires et même à travers la peau. Par exemple, croyez-vous que les nanoparticules dégagées par les gaz d’échappements de voitures « diesels » que nous ingérons sans rien demander et sans rien sentir sont bons pour notre santé ? L’application du principe de précaution est de mise. Avec l’arrivée des beaux jours, on va voir fleurir toutes sortes de produits cosmétiques et surtout les crèmes solaires. Avant de les appliquer sur votre corps, renseignez-vous sur leurs compositions et leur nocivité.
Source : http://www.come4news.com
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Source et liens : SOS Planète