L’exposition aux polluants des mères augmente le risque d’autisme, mais à part ça, la vaccination polluante pendant la grossesse serait sans risque!

Une millième incohérence de plus vient émailler le long chemin dogmatique des vaccinations à tout crin.

 

Il s’agit d’une étude publiée dans la revue Environemental Health Perspectives qui atteste que l’exposition des femmes enceintes à divers polluants augmente de façon conséquente le risque qu’elles aient un enfant autiste.

 

Entamée en 1989 et portant sur 116 430 femmes (infirmières de profession), l’étude a analysé le risque d’avoir un enfant autiste selon le degré d’exposition des mères à divers polluants comme les particules de diesel, le plomb, le manganèse, le chlorure de méthylène ou encore le mercure.

 

Sans grande surprise, lorsque les chercheurs ont comparé dans ces effectifs 325 femmes ayant eu un enfant autiste à 22 000 autres femmes n’ayant pas eu d’enfant autiste, ils ont pu observer que les femmes les plus exposées aux polluants pouvaient voir leur risque doubler par rapport aux femmes moins exposées.

 

Selon ces chercheurs, 20 à 60% des femmes américaines pourraient se trouver dans des zones plus à risque de pollution.

 

Il faut dire que dénoncer la pollution en général est assez politiquement correct, mais entrer dans les détails des différentes facettes de cette même pollution devient généralement plus périlleux.

 

C’est dans ce contexte que ce genre d’études ne soulèvera aucune levée de boucliers, alors que sa suite logique qui serait de ne SURTOUT PAS vacciner les femmes enceintes avec des vaccins contenant divers polluants (comme le mercure ou le formaldéhyde) susciterait des palabres sans fin, de la part de mandarins juges et parties, le plus souvent.

 

Si l’exposition des femmes enceintes aux polluants comme ceux évoqués ci-dessus pose problème, c’est parce que ceux-ci ne sont pas neutres sur le fragile développement du système nerveux de l’enfant à naître. Cependant, grâce à un fabuleux tour de baguette magique, les officiels essaient de faire croire que la vaccination des femmes enceintes à n’importe quel trimestre de la grossesse qui plus est, serait sûre et globalement protectrice pour la santé du bébé!

 

Il y a une bonne trentaines d’années, Fernand Delarue, de la Ligue Nationale française pour la Liberté des Vaccinations plaçait déjà en premier lieu des dangers à éviter LA POLLUTION DU SANG. Or il est bien évident que les vaccinations, qu’on le veuille ou non, sont une forme de pollution directe du flux sanguin, encore plus directe et sournoise que ne le sont des toxiques inhalés ou ingérés. La vaccination, elle, amène diverses substances toxiques, par une voie absolument non prévue par la Nature et non équipée de barrières spécifiques comme le sont les voies digestives ou respiratoires. La vaccination ne respecte pas la voie d’entrée cutanée et/ou muqueuse pour la pénétration des microbes dans l’organisme et elle prend ainsi le corps par surprise, au dépourvu, ce qui faisait notamment reconnaître au Pr Bastin que « toute vaccination est toujours biologiquement et immunologiquement une offense pour l’organisme. »

 

Comment s’étonner alors qu’une inflammation pendant la grossesse puisse augmenter la survenue d’autisme chez les enfants de la femme ainsi concernée, comme en atteste une autre étude? Paradoxalement, cette étude-là a été prise en fait comme prétexte pour vacciner les femmes enceintes contre la grippe, tout en prétendant que cela protégerait leurs enfants de l’autisme car le fait de faire une grippe s’accompagne d’un phénomène inflammatoire, propre à la réaction immunitaire. Ce qu’on a toutefois omis d’expliquer aux gens est que toute vaccination va elle aussi entraîner un phénomène inflammatoire et donc un risque concret et réel pour l’enfant à naître. Echanger ainsi le risque incertain d’une réaction inflammatoire due à une grippe naturelle contre un risque absolument certain d’inflammation en cas de vaccination, c’est là le fort mauvais deal proposé par les autorités à toutes les femmes enceintes, au détriment des foetus.

 

Chose intéressante également, c’est que cette étude sur l’exposition des femmes enceintes aux polluants, a porté sur des infirmières, soit des femmes particulièrement exposées aux vaccins, puisqu’aux USA, un nombre élevé d’infirmières sont obligées de se faire vacciner contre l’hépatite B, la grippe etc., souvent sous peine de licenciement. Or ces vaccinations contiennent divers polluants comme le mercure, le formaldéhyde, l’aluminium etc., des polluants qui vont donc s’accumuler, un peu à la façon d’un grand « vase toxique » qui se remplit petit à petit. Comment s’étonner alors que les femmes proportionnellement les plus exposées aux polluants et donc celles chez qui ce grand « vase toxique » sera le plus rempli (entre autres via les vaccins) aient le plus de risques d’avoir un enfant autiste?

 

Bien entendu, nous parions que ces chercheurs n’ont pas osé franchir cette grande barrière quasi infranchissable dans ces milieux-là du politiquement correct, et qu’ils n’ont pas inclus dans les paramètres d’exposition aux toxiques, la vaccination d’éventuelles femmes enceintes, une mode instaurée relativement récemment, mais aussi tous les autres antécédents vaccinaux avec l’accumulation des différentes vaccinations et rappels.

 

La vaccination des femmes enceintes vous semble-t-elle encore à ce stade une vraie bonne idée?

Source : Initiative Citoyenne.be