LES ANTICORPS VACCINAUX NE GARANTISSENT PAS L’IMMUNITÉ

Un poil technique, mais édifiant !

En novembre 2012, dans Gaia Health, Heidi Stevenson avait publié un article fort intéressant sur la fausseté de la théorie vaccinale, jamais prouvée, mais jamais remise en question. Elle citait en exemple un nouveau vaccin, le V710, appelé à devenir un grand succès, car il a été conçu pour prévenir le SARM, (staphylocoque doré résistant à la méthicilline), avant les interventions chirurgicales et chez les gens entrant à l’hôpital, croyant ainsi résoudre un problème créé par le système médical lui-même.
Or le vaccin s’est révélé inefficace contre le SARM.

 

Cette faillite était attendue car l‘augmentation du titre d’anticorps, mesure standard de l’efficacité d’un vaccin, n’est pas la même chose que l’immunité naturelle. « L’idée que l’immunité est assurée par le développement d’anticorps est parfaitement fausse, car si le développement d’anticorps était la clef du “renforcement du système immunitaire”, comme le clament systématiquement les médecins et les organismes de santé, alors le raté du V710 aurait été impossible. 
Aux dires de tous, un vaccin produisant une “solide réponse immunitaire”, indique la formation de nombreux anticorps. Or, administré à des gens avant une chirurgie cardiothoracique, plus d’infections se produisent, et plus de gens meurent de multiples défaillances d’organes. » 




 

L’étude, financée par Merck, a aussi reçu des subventions et un soutien à la recherche de la part de Cerexa, Pfizer, Novartis, Advanced Liquid Logics, MedImmune, Galderman, et Inimex. L’étude incluait 3 958 patients qui ont reçu le vaccin actif V710, et 3 967 personnes qui ont reçu un placebo salin. 201 personnes (5,08 %) ayant reçu le vaccin sont mortes, contre 177 (4,46%) qui ont reçu le placebo. Soit 13,9 % de plus de décès chez les gens qui ont été vaccinés.

Le Dr Fowler, président de la Commission consultative pour le V710, n’a aucune idée de la raison pour laquelle les résultats ont été si lamentables, étant donné les bonnes réactions d’anticorps. Il a déclaré : « Je ne puis penser à une raison biologiquement plausible à cela ».



 

Medscape signale aussi que ceux qui ont reçu le vaccin V710 et développé le staphylocoque doré étaient 5 fois plus susceptibles de mourir que ceux du groupe témoin. 




Cet échec vient de la différence entre l’immunité acquise par la maladie et l’immunité conférée par le vaccin. Grâce à l’immunité acquise par la maladie, aussitôt que les symptômes apparaissent, tout le système immunitaire est mobilisé pour repousser l’envahisseur. Cette réponse crée des anticorps qui confèrent une immunité définitive contre ce virus s’il se représente. À l’opposé, la vaccination mène à la survie du virus ou des antigènes qui sont contenus dans le vaccin à l’intérieur des cellules, ce qui risque de provoquer des réactions auto-immunes lorsque le corps cherche à détruire les cellules infectées.

Il n’est donc pas surprenant de constater l’augmentation actuelle des maladies auto-immunes, comme l’arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux, le diabète insulinodépendant, l’asthme, le psoriasis et bien d’autres, trop souvent occasionnées par la multiplication de « l’immunisation ».

La vaccination est supposée stimuler artificiellement une réaction immunitaire contre une ou plusieurs maladies infectieuses spécifiquespar la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes qui sont des substances, entre autres microbiennes, contenues dans le vaccin. Le duo antigène-anticorps est considéré comme suffisant pour conférer une protection. Trevor Gunn, biochimiste anglais qui a longuement comparé l’immunité naturelle et vaccinale, fait toutefois remarquer que : « L’évidence clinique des vaccins réside dans leur propriété indéfectible de stimuler la production d’anticorps dans un récipient de laboratoire. Néanmoins, ce qui est beaucoup moins évident, c’est de comprendre si cette production d’anticorps confère ou non l’immunité. »

 

Il est ainsi spécieux d’affirmer que la stimulation immunologique provoquée par un vaccin garantit l’immunité parfaite de l’individu, d’autant que l’on ne compare jamais le taux d’anticorps avant et après une vaccination. En outre, seule la maladie naturelle assure une protection à vie alors que les anticorps vaccinaux sont de courte durée. L’immunité artificielle n’arrivera jamais à égaler l’immunité naturelle, phénomène très complexe qui implique la participation de tout l’organisme. Et de toute manière, les taux d’anticorps observés après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont constatés après les maladies.

 

Et si la présence d’anticorps était une garantie de sécurité, on ne serait pas obligé d’imposer des rappels pour « assurer » la restauration de l’immunité. En vérité, personne ne sait réellement ce qui se passe au niveau immunologique avec les vaccins.

 

On nous cache aussi qu’une couverture vaccinale élevée n’empêche pas la survenue d’épidémies récidivantes avec de forts taux de complications.

Ainsi, en prenant l’exemple du tétanos, dans le journal médical Neurology (T42-1992), les Dr Crone et Rider citaient le cas d’un patient âgé de 29 ans, atteint d’un tétanos sévère alors que son taux d’anticorps était 3 300 fois supérieur au taux considéré comme protecteur car il avait été immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. De même, en 1991, à l’hôpital de Dar-el-Salam en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d’anticorps 400 fois supérieur au taux protecteur, donc, en théorie, largement suffisants pour protéger le bébé.

 

Et en août 1987, au cours de la 8e conférence internationale sur le tétanos à Leningrad, le Dr Masar démontra que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés.

 

Nombre de travaux ont établi que des épidémies se déclaraient chez des enfants parfaitement vaccinés contre toutes sortes de maladies. Le ministère de la Santé du Minnesota signalait 82 % de cas d’oreillons chez des enfants vaccinés, et le New England Journal of Medicine du 7 juillet 1994 rapportait que 80 % des enfants qui avaient eu la coqueluche étaient aussi vaccinés.

 

Au cours d’une épidémie de coqueluche qui sévit dans le Massachusetts en 1993, touchant 218 étudiants, 96 % d’entre eux étaient parfaitement immunisés.

 

Aux États-Unis, en janvier 2009, 12 cas de coqueluche ont été déclarés dans la région de Hunterdon dans le New Jersey. John Beckley, directeur de la santé du comté, a admis qu’il n’était pas courant d’avoir tant de cas réunis dans une période si restreinte chez des enfants vaccinés.

Louise Kuo Habakus, membre de la Vaccination Choice Coalition, a rappelé que les filles du New Jersey recevaient 69 injections avant l’âge de 18 ans et les garçons 66. « Or, à chaque nouvelle injection, on nous répète qu’ils sont protégés. Est-ce qu’ils devraient être revaccinés chaque année ? »

 

Dans un article de l’Australian Journal of Medical Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, bien que démontrant la présence d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80 %.

 

La majorité des sujets touchés par les épidémies présentent une séroconversion post-vaccinale incluant, dans certains cas, une diminution progressive de l’immunité. Cela traduit bien l’échec de la vaccination, et surtout le recul de l’âge moyen de la survenue de la maladie, avec des effets secondaires beaucoup plus graves dans les tranches de population plus âgées, et une mortalité multipliée par dix..

 

Ainsi, le dogme vaccinal ne tient pas compte de la réalité, et ne s’appuie que sur des hypothèses en supposant que le déclenchement artificiel du système immunitaire pour le forcer à produire des anticorps est équivalent au développement d’anticorps du processus naturel de la maladie, ce qui n’est pas le cas. En réalité, aucune étude n’a été faite sur l’état du système immunitaire après la vaccination. Comme le disait le Dr Jacques M. Kalmar : « On pourrait comparer le système immunitaire à un clavier de piano. La partie antigènes anticorps représenterait une seule touche. »

Pour en revenir à Heidi Stevenson, elle pense que « Peut-être qu’une bonne chose peut venir du V710, le vaccin raté contre le SARM. Peut-être que des têtes sensées surgiront et diront : Arrêtez ! 
Cessez cette folie. 
Regardons ce que nous faisons. 
Demandons-nous pourquoi plus de la moitié de nos enfants sont systématiquement malade et ne serons jamais en bonne santé. » 
  

À présent, une étude polonaise a mis le doigt sur les dommages irréparables provoqués par les vaccins (Neurologic adverse events following vaccination; Progress in Health Sciences, 2012, Vol.2, n°1, Sienkiewicz D., Kulak W., Okurowska-Zawada B., Paszko-Patej G.).

 

D’après ces auteurs : « Il n’est pas raisonnable de penser que la manipulation du système immunitaire par une nombre croissant de vaccinations durant les périodes critiques du développement cérébral ne va pas entraîner des effets neurologiques indésirables. »

 

Heidi Stevenson nous livre à nouveau ce qu’ils ont découvert :

 

« Une nouvelle étude scientifique polonaise aborde la question des dommages irréparables causés par les vaccins. Elle présente la question en termes d’effets indésirables, d’effets sur le système immunitaire et de symptômes neurologiques après vaccination. En évoquant l’histoire des vaccins, l’étude montre que ceux-ci ont présenté peu d’avantages. L’étude qui fournit une nouvelle information de vaste portée, se base en grande partie sur des recherches qui ne sont pas souvent référencées dans le monde occidental. Une lecture honnête de cette étude laisse peu de doute par rapport aux dommages qui peuvent être considérables et souvent définitifs.

« Il existe différents systèmes permettant de définir les types d’effets secondaires indésirables des vaccinations. On fait la différence entre les réactions qui dépendent directement ou non du système immunitaire. On classe les réactions selon qu’elles sont locales, générales, proches ou plus éloignées dans le temps. »

 

L’étude laisse peu de place au doute que les vaccins soient susceptibles de produire des risques graves qui soient totalement disproportionnés par rapport à quelque bénéfice que ce soit.

 Pour en savoir davantage, vous pouvez lire la suite de l’article de Heidi Stevenson sur le blog d’Initiative Citoyenne très documenté sur la question,

 

SOURCE : Sylviesimonrévélations.com