La Cause la plus crédible de la Mort Subite du Nourrisson : les Vaccins

Dans l’étude qui a mis en lumière que les taux les plus élevés de mortalité infantile se produisaient chez les enfants qui avaient reçu le plus grand nombre de vaccins [1], leurs auteurs ont aussi étudié le Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson.(MSN).

Il s’agit d’une nouvelle classification qui concerne les décès de nourrissons qui ont été retrouvés morts sans qu’il y ait de raison connue. Cette nouvelle classification date de 1973.

Il semble y avoir peu d’études sur le phénomène MSN en dépit du fait qu’il constitue la principale cause de décès dans la tranche d’âge de 1 à 12 mois.

 Les auteurs de l’étude, Neil Z. Miller et Gary S. Goldman écrivent : «Avant que ne débutent les programmes contemporains de vaccinations, la « Mort Subite du Nourrisson » n’était même pas mentionnée dans les statistiques.

 Pour la première fois dans l’histoire, la plupart des nourrissons américains ont dû recevoir plusieurs doses des vaccins DTC, polio, rougeole, oreillons, rubéole. Peu de temps après, en 1969, les autorités médicales ont lancé une nouvelle appellation – « Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson ». En 1973, le Centre National des Statistiques de Santé a ajouté une nouvelle cause de décès (MSN) dans sa classification des maladies. La Mort Subite du Nourrisson est définie comme une mort soudaine et inattendue d’un nourrisson qui reste inexpliquée après une enquête approfondie.»

En d’autres termes, les bébés meurent et personne ne sait pourquoi, du moins officiellement. L’étude de Miller et Goldman fournit cependant des informations solides qui montrent que la MSN est le résultat des vaccinations.

Les tentatives de masquer la MSN

 Les auteurs analysent la manière dont les gouvernements ont réagi. Initialement, la Mort Subite du Nourrisson a été attribuée au fait que les bébés dormaient sur le ventre – on n’a cependant jamais expliqué pourquoi les bébés auraient soudainement arrêté de respirer quand ils dormaient sur le ventre, alors que ceci n’avait jamais fait problème dans le passé et que la chose n’avait non plus jamais fait l’objet de recherches. Il semble que les mesures prises aient permis de réduire les cas de MSN de 8,6%, mais elles furent accompagnées d’une augmentation de 11,2 % du Syndrome de la Mort Subite Inexpliquée du Nourrisson (MSIN).

 Les auteurs citent plusieurs études démontrant que quand une baisse des MSN était enregistrée, on constatait une augmentation des décès inexpliqués ce qui, au total n’entraînait aucune différence significative du nombre des décès.

Les auteurs écrivent : « Un examen plus attentif de la période de 1999 à 2001, révèle qu’aux Etats-Unis les  taux de MSN ont continué de baisser, bien qu’aucun changement significatif dans le taux de mortalité post-natale pris globalement n’ait été observé. Au cours de cette période, le nombre de décès attribuables à « l’étouffement dans le lit » ou à des « causes inconnues » avait augmenté de manière significative. »

En d’autres termes, toute diminution apparente des MSN a, en fait, été le résultat d’une imposture.

Les principales causes de la Mort Subite du Nourrisson

Aux Etats-Unis, la MSN est officiellement la troisième cause de décès des nourrissons. Toutefois, si on élimine les décès associés à des malformations congénitales et à un poids trop faible à la naissance, elle devient la toute première cause de mortalité infantile !

Les plus récentes informations des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) concernant les taux de décès pour 2008 [2] font état d’un total de 28.075 décès de nourrissons dont 2.350 sont attribués à la Mort Subite du Nourrisson ; ce qui représente 8,4% du nombre total de décès de nourrissons.

Selon les informations rapportées par l’étude de Miller et Goldman, le taux de mortalité pour 2001 enregistré comme MSN était de 50,9/100.000. Mais en ajustant ces chiffres en fonction des différentes causes qui avaient été précédemment identifiées comme MSN, ce taux s’élève à 75,4/100.000. De ce fait, le taux réel de décès dus à la Mort Subite du Nourrisson est de 48% plus élevé. Ceci semble indiquer que le nombre réel de Morts Subites du Nourrisson s’élèverait à 3.478, soit  12,4%  du nombre total de décès de nourrissons. La réalité est probablement pire encore.

Les auteurs de l’étude font remarquer qu’il existe plusieurs autres catégories qui pourraient inclure les morts subites comme des maladies virales non spécifiques, des maladies du sang, des septicémies, des maladies du système nerveux, des maladies de l’appareil respiratoire, des grippes.

La MSN liée aux vaccins

Le problème de la Mort Subite des Nourrissons n’est généralement pas étudié de manière très rigoureuse. Le fait de suggérer que les problèmes seraient liés au fait que les bébés dorment sur leurs visages parait ridicule. Quand les parents mettent dormir leur bébé sur le ventre, leurs visages sont évidemment tournés sur le côté. Par conséquent  pour être en mesure d’étouffer, ils devraient être capables de tourner la tête pour que le visage s’enfonce dans le coussin ou le matelas. Il serait tout à fait absurde de penser qu’un nourrisson qui serait ainsi capable de retourner la tête, soit incapable de réagir si sa respiration était gênée. Si un bébé étouffe en position couchée sur le ventre, c’est évidemment que quelque chose s’est passé qui l’empêche de réagir. De toute évidence, il est ridicule de penser que les problèmes seraient dus à la position des bébés sur le ventre.

Alors que pouvons-nous retenir qui ait vraiment du sens en tant que cause de la MSN ? Miller et Goldman citent des études qui ont porté sur le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche comme sur d’autres vaccins combinés qui établissent une forte probabilité que les vaccins soient en cause.

Ils citent l’étude de Torch qui montre que :

  • 6,5 %  des cas de Morts Subites du Nourrisson apparaissent endéans les 12 heures qui suivent la vaccination DTC.
  • 6,5 % décèdent entre 12  et 24 heures, soit un total 13% endéans les 24 heures.
  • 13 % décèdent entre 24 heures et 3 jours, soit un total 26% en l’espace de 3 jours.
  • 15 % décèdent entre 3 jours et une semaine, soit un total de 37% en l’espace d’une semaine.
  • 24 % décèdent entre 1 et 2 semaines, soit un total de 61% en l’espace de 2 semaines.
  • 9 % décèdent entre 2 et 3 semaines, soit un total de 70% en l’espace de 3 semaines.

L’étude de Torch [3] précise :

De toute évidence, les avantages que peuvent procurer les vaccins doivent être mis en balance avec les dommages évidents qu’ils occasionnent.

 « Le vaccin DTC pourrait être une cause majeure non reconnue de la Mort Subite du Nourrisson, comme des décès d’enfants en bas âge. Les risques de la vaccination pourraient l’emporter sur de possibles bénéfices. Cette étude met en valeur la nécessité d’une réévaluation comme d’une modification des procédures actuelles de vaccinations. »

 L’étude de Walker et al [4] a montré que :

«Le taux de mortalité au cours de la période de 0 à 3 jours était, à la suite de la vaccination DTC,  7,3 fois plus élevé qu’au cours de la période commençant 30 jours après la vaccination.»

 L’étude de Fine et Chen [5] a montré que le taux de mortalité des bébés était pratiquement 8 fois supérieur au cours des 3 premiers jours qui suivaient la vaccination.

Ottaviani et al [6] ont enquêté sur le décès d’un bébé de 3 mois qui est mort subitement après une vaccination combinée (6 en1). Ces auteurs ont clairement attribué le décès de l’enfant au vaccin hexavalent.

«L’examen du tronc cérébral sur des coupes sériées a révélé une hypoplasie bilatérale du noyau arqué… Ce cas présente une perspective unique du rôle possible du vaccin hexavalent dans le déclenchement d’une issue fatale chez des bébés vulnérables.»

 Décès après vaccinations

Le seul élément qui semble présenter un lien crédible avec la Mort Subite du Nourrisson est bien la vaccination. A ce stade, nous avons les preuves claires du lien causal qui existe entre le vaccin DTC et d’autres vaccins combinés.

En dépit de l’engouement massif qui prétend que les vaccins sauvent des vies, il est bien évident que pas mal d’affirmations sont basées sur de fausses preuves. La plupart des maladies infantiles avaient déjà bien diminué au point d’être devenues rares ou moins graves avant que la vaccination soit généralisée. Il est bien plus crédible d’attribuer la diminution de la mortalité infantile à une bonne nutrition, à l’approvisionnement en eau, ainsi qu’à une bonne hygiène. Ainsi, même si les vaccins sauvent des vies, la chose est de loin beaucoup moins spectaculaire que le prétend la propagande vaccinale.

Les cas de Morts Subites du Nourrisson représentent 12,4% de tous les décès de nourrissons. Nous possédons des preuves solides que des Morts Subites de Nourrissons sont bel et bien provoquées par les vaccins. 12,4 % des décès sont causés par les vaccins. Ces chiffres ne comprennent évidemment pas les dégâts provoqués par les vaccins comme, par exemple, l’autisme qui continue de détruire les vies de millions d’enfants dans le monde et entraînent d’énormes dépenses pour la société.

Les médias sont aujourd’hui remplis de cas de malversations de Big Pharma. La fraude et la corruption sont stupéfiantes.et la puanteur de leur corruption dans les organismes de santé publique est accablante… La pseudo science, parodie d’une recherche scientifique authentique, a fortement marqué tout ce qui se passe en science avec Big Pharma.

Il nous reste à espérer une recherche honnête par rapport à la sécurité des vaccins. Il est évident que tous les parents qui acceptent de faire vacciner leurs enfants prennent des risques. Si le système médical n’était pas aussi corrompu, le fait de mettre en danger la santé des enfants entraînerait bien évidemment des peines de prison.

(1)Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity?

(2)Infant Mortality Statistics from the 2008 Period Linked Birth/Infant Death Data Set

(3)Torch WC. Diphtheria-pertussis-tetanus (DPT) immu-nization: a potential cause of the sudden infant death syndrome (SIDS). American Academy of Neurology, 34th Annual Meeting, Apr 25-May 1, 1982. Neurology 32(4): pt. 2

(4)Walker AM, Jick H, Perera DR, Thompson RS, and Knauss TA. Diphtheria-tetanus-pertussis immuniza-tion and sudden infant death syndrome. Am J Public Health 1987; 77: 945–951.

(5)Fine PE and Chen RT. Confounding in studies of adverse reactions to vaccines. Am J Epidemiol 1992; 136: 121–135

(6)Ottaviani G, Lavezze AM, and Matturri L. Sudden infant death syndrome (SIDS) shortly after hexavalent vaccination: another pathology in suspected SIDS? Virchows Archiv 2006; 448: 100–104.

(7)Thimerosal and the Occurrence of Autism: Negative Ecological Evidence From Danish Population-Based Data

(8)First Fraud: Dr. Poul Thorsen and the original “Danish Study”

Sources : http://gaia-health.com/gaia-blog/2012-07-15/the-only-credible-cause-of-sudden-infant-death-syndrome-is-vaccines/

http://expovaccins.over-blog.com/article-la-cause-la-plus-credible-de-la-mort-subite-du-nourrisson-les-vaccins-112232933.html

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