Big Pharma : Les mots pour le dire…

Le vice-président du Marketing de Pfizer lance l’alerte et dit la vérité sur l’industrie pharmaceutique

 

Vous pouvez trouver ci-dessous un extrait tiré du documentaire « One More Girl », un film sur le vaccin Gardasil qui a été conçu pour prévenir le virus du Papillomavirus. Dans ce documentaire, le Dr Peter Rost, MD, ancien vice-président de l’une des plus grandes compagnies pharmaceutiques du monde (Pfizer), partage la vérité sur les liens entre l’industrie médicale et l’industrie pharmaceutique.
Rost est un ancien vice-président du Marketing de Pfizer et un dénonciateur de l’industrie pharmaceutique dans son ensemble. Il est l’auteur de « The Whistleblower, Confessions of a Healthcare Hitman » (Le lanceur d’alerte, confessions d’un tueur à gage des services de santé). Compte tenu de son expérience dans son domaine, c’est un euphémisme de dire qu’il est expert de l’intérieur du marketing pharmaceutique.
Voici quelques citations émanant d’une part, d’un ancien et d’autre part d’un actuel rédacteur en chef des deux plus grandes revues médicales du monde qui sont considérées comme les plus crédibles. Il est donc tout à fait pertinent de les inclure dans l’article puisque ces citations sont directement liées à ce que le Dr Rost explique dans la vidéo.
« Il n’est simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique qui est publiée, ou de compter sur le jugement de médecins de confiance ou sur des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à en venir à cette conclusion, à laquelle j’ai abouti lentement et à contre-coeur au cours des deux décennies durant lesquelles j’ai exercé la fonction de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine ». Dr Marcia Angell, médecin et rédacteur en chef de longue date du New England Medical Journal (NEMJ) (source)
« Le dossier contre la science est simple: une grande partie de la littérature scientifique, environ la moitié, pourrait tout simplement être fausse. La science souffrant d’études sur des cohortes de petites tailles et de leurs effets minuscules, des analyses exploratoires non valides, ainsi que de flagrants conflits d’intérêts, avec une obsession pour la poursuite de tendances à la mode d’importance douteuse, la science donc a pris un virage vers les ténèbres ». Dr Richard Horton, rédacteur en chef actuel de la revue The Lancet, considérée comme l’une des revues médicales révisées par des pairs les plus respectées dans le monde. (source)

Il est grand temps de repenser la recherche médicale actuelle et de voir la situation dans son ensemble

En 2005, le Dr John P. A. Ioannidis, actuellement professeur en prévention des maladies à l’Université de Stanford, a publié l’article le plus consulté dans l’histoire de la Public Library of Science (PLoS), intitulé Why Most Published Research Findings Are False (Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux). Dans l’article il déclare:
« Il y a une inquiétude croissante que la plupart des résultats des recherches actuelles sont faux ».
Nous avons maintenant une grande quantité de preuves ainsi que les déclarations des experts qui viennent directement du terrain, qui brossent un tableau très inquiétant. La science utilisée pour éduquer les médecins et développer la médecine est biaisée. Nous sommes constamment exposés à des études qui ont été sponsorisées par de grandes compagnies pharmaceutiques, mais ces études ne sont pas conçues pour une vision sur le long terme.
Elles ne sont pas conçues pour détecter des problèmes qui peuvent survenir des années ou même des décennies après un traitement, ou pour examiner les risques de prendre un médicament pendant de longues périodes de temps. Personne ne semble jamais mentionner ou reconnaître les nombreuses études qui montrent clairement les risques significatifs associés à un grand nombre de produits que les industries pharmaceutiques fabriquent pour aider à combattre la maladie.
Ce qui est encore plus inquiétant est le manque de prise de conscience de la population en général sur ces sujets. Cette question ne va certainement pas être débattue dans les médias conventionnels, et en dépit des nombreuses preuves à l’appui, certaines personnes se refusent même à voir ou à reconnaître que le problème est bien réel. C’est un gros problème, notre monde est en train de changer et nous devons garder l’esprit ouvert et être ouverts à de nouvelles possibilités quant à la nature de notre monde.
Vous pourriez croire que les déclarations ci-dessus, émanant de rédacteurs en chef aguerris de revues scientifiques majeures évaluées par des pairs (apparemment, les meilleures du monde) obtiendraient au moins quelque attention des médias conventionnels.
Lorsque le Dr Rost travaillait encore pour Pfizer il est apparu quelques fois dans les médias traditionnels. Voici un exemple où il parlait au Wall Street Journal il y a près de 10 ans, avant d’avoir lancé l’alerte.
C’est la raison pour laquelle les médias alternatifs sont importants, particulièrement à une époque où de plus en plus de gens s’éveillent à ce qui se passe réellement sur notre planète.
Il est temps d’examiner les recherches qui sont menées partout dans le monde, par des experts (des scientifiques) dans diverses institutions, qui ne sont pas parrainées par ces gigantesques multinationales de la « santé » – il s’agit là de publications indépendantes. Un excellent travail est publié au sujet de divers médicaments, remèdes, traitements, vaccins et plus encore.
Merci d’avoir lu cet article et j’espère que la vidéo ci-dessous vous apportera des éléments de réflexion.
Vidéo Dr Peter Rost: Influencer l’institution médicale – extraits du documentaire One more girl
Condensé de la vidéo:
Il indique que tout ceux qu’il a rencontrés avait la main tendue, tout le monde mendie de l’argent. Le gouvernement n’a pas d’argent, les universités non plus, personne. Les seuls qui ont de l’argent sont ces énormes multinationales, elles en ont énormément et elles utilisent cet argent pour acheter l’influence.
Elles procèdent ainsi: Vous donnez de l’argent à ces institutions (universités, etc) pour la recherche. Vous vous faites des amis. Vous vous assurez qu’ils vous sont redevables et vous payez aussi des professeurs, des docteurs individuels ou des chercheurs, directement. Vous pouvez les payer comme conférenciers pour aller dans tout le pays et vous les payez de 1000 à 2000 $ par jour, parfois plus.
Vous donnez de l’argent pour des programmes; programmes éducatifs où ils peuvent faire des profits, puis ils mettent en place les programmes qui sont censés être indépendants de la compagnie. Mais si vous avez un programme promotionnel venant d’une compagnie, vous allez probablement donner cet argent aux universités qui font les programmes qui promeuvent vos médicaments.
Et ceux qui ne le font pas ou qui les critiquent n’obtiendront rien. Et tout le monde sait bien sûr que c’est ainsi que ça fonctionne. Et cela veut dire que même si vous pouvez officiellement protester « nous leur avons donné une subvention, ils peuvent en faire ce qu’ils veulent », en réalité, ils ne continueront pas à recevoir de l’argent. Tout le monde le sait. Il n’y a que le public qui ne le sache pas. Et c’est ainsi que vous influencez l’institution médicale, tout simplement avec de l’argent.

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