Le mystère des statues de la Vierge qui pleurent.

Info reprise par les grands médias hier : le Point, le Huffington post, Valeurs Actuelles, et mêmes les médias juifs : jssnews et Le Monde Juif. Une statue de la Vierge achetée par une famille orthodoxe du nord d’Israël pleure des larmes de ce qui semble être un substrat huileux. 

« Selon la famille, environ 2 000 personnes, chrétiennes, juives ou musulmanes, sont déjà venues voir le phénomène.Des journalistes ont constaté que certaines parties de la statue sont humides et que, de temps à autre, une larme semble effectivement couler de l’oeil de la statue. » ( Le Point)

C’est pour le moins surprenant, mais ce n’est pas la 1ère fois : Le plus curieux de cette histoire, c’est qu’on ne peut pas faire la preuve des supercheries, malgré l’acharnement qu’y mettent les athés que ça agace… Après tout à Fatima, pas une, pas deux, pas cent : 70 000 personnes ont été témoins d’un soleil dansant dans le ciel…. (1)

Aucune explication vraiment rationnelle n’a pu être donnée à ces phénomène pour le moment. Peut-être comprendrons-nous un jour ce que nous appelons « miracles ». Nous avons bien avancé dans les phénomènes d’auto-guérison, il reste encore de nombreux domaines à explorer. Et peut-être qu’il n’y a pas d’explications « rationnelles », peut-être que nous avons les yeux bouché par un cartésianisme obtus, peut-être que ça appartient à une dimension que nous n’appréhendons pas… Qui sait ?

Exemples

Vierge de Quérétaro, Mexique :(La vierge est enfermée dans une vitrine de verre)

Vierge d’Orlando, Floride

Vierge de Bogota (Colombie)

Et plus étonnant encore la Vierge qui pleure des larmes de sang en Argentine

 

Une statue de la Vierge pleure des larmes de sang à Salto Grande en Argentine (photo: AICA)

Une statue de la Vierge Marie pleurant des larmes de sang depuis le 3 décembre 2012 attire la foule dans la localité de Salto Grande, en Argentine. L’archevêque de Rosario, dont dépend la région, a demandé aux fidèles de garder prudence et circonspection face à ce prétendu fait extraordinaire. Selon le quotidien « La Capital » de Rosario une première analyse permet d’affirmer avec 99,6% de certitude qu’il s’agit bien de sang.

EN ITALIE ET AU JAPON :

La Vierge aux larmes de sang : un phénomène classique

Sang, huile, ou vraies larmes : beaucoup de statues de la Vierge Marie ont déjà pleuré à travers le monde. Miracles ou supercheries non élucidées, les cas ne sont pas rares. En voici deux parmi les plus célèbres.

– Le 2 Février 1995, une petite statue de la Madone commence à verser des larmes de sang dans le jardin d’une famille de la paroisse Saint-Augustin, à Civitavecchia, un quartier de Rome. Du 2 février au 15 mars, la Vierge pleura quatorze fois devant de nombreux témoins. Les dernières larmes furent versées alors que l’évêque du diocèse, Monseigneur Grillo, tenait la statue dans ses mains. La statuette fut examinée : il s’agissait bien de sang humain et aucun trucage ne fut constaté. Le phénomène surnaturel a été reconnu par l’Église et la « Madone de Civitavecchia » est depuis vénérée par des milliers de pèlerins.

En janvier 1975, à Akita, au Japon, une religieuse constate que le sol est mouillé autour d’une statue de la Vierge Marie. Elle s’étonne et s’aperçoit rapidement que des larmes d’eau coulent le long de ses joues. En tout, Notre-Dame d’Akita aurait pleuré plus de 101 fois jusqu’en septembre 1985. Le phénomène a été constaté par de nombreux témoins. Ces effusions ont été reconnues par Monseigneur Shojiro Itô, qui, en 1984, a autorisé la vénération de Notre-Dame d’Akita

;Benjamin Roger (Jeune Afrique)

Image à la Une : Vierge d’Akita

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Témoignage du Pr. Almeida Garrett :

(1)« Il devait être 13 h 30 [heure légale] lorsque s’éleva, à l’endroit précis où se trouvaient les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui monta droit jusqu’à deux mètres peut-être, au-dessus des têtes et s’évanouit à cette hauteur.
Ce phénomène dura quelques secondes, parfaitement visible à l’œil nu… La fumée se dissipa subitement et, au bout d’un certain temps, le phénomène revint se produire une deuxième puis une troisième fois… Je restais convaincu que ces colonnes de fumée étaient produites par quelque encensoir balancé dans lequel brûlait de l’encens.


« … Soudain, j’entendis le brouhaha de milliers de voix, et je vis toute cette multitude, dispersée dans le large espace qui s’étendait à mes pieds, tourner le dos à l’endroit vers lequel, jusque-là, convergeaient toutes les impatiences anxieuses, et regarder le soleil du côté opposé…

« Je me tournai à mon tour, vers ce point d’attraction de tous les regards, et je pus voir le soleil, semblable à un disque bien net, à l’arête vive, qui luisait sans blesser la vue… Il ne pouvait se confondre avec le soleil vu à travers la brume, – il n’y en avait d’ailleurs pas à ce moment –, car il n’était ni voilé, ni brouillé. À Fatima, il conservait lumière et chaleur, et se dessinait nettement dans le ciel, avec son bord en arête vive comme une table à jeu… Le plus étonnant est d’avoir pu fixer aussi longtemps le disque solaire dans tout son éclat de lumière et de chaleur, sans avoir mal aux yeux, et sans éblouissement de la rétine. »

Soudain, l’astre se mit à trembler, à se secouer avec des mouvements brusques, pour finalement tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière.
« Le soleil prenait toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, ajoute un autre témoin. Tout prenait les mêmes couleurs : nos visages, nos vêtements, la terre elle-même. »Le moment terrible arriva enfin : le soleil sembla tomber sur la terre. Écoutons encore le professeur Garrett :
« On entendit soudain une clameur, comme un cri d’angoisse de toute cette foule. Le soleil, en effet, conservant son mouvement rapide de rotation, sembla se détacher du firmament et, rouge sang, s’avancer vers la terre, en menaçant de nous écraser de sa masse ignée. Ce furent quelques secondes terrifiantes. »


Le fils de Maria Carreira, Jean, le jeune estropié, en témoigna lui aussi : « J’ai vu le soleil tourner et il semblait descendre. Il était comme une roue de bicyclette. »

Une dame ajouta encore : « Je l’ai parfaitement vu descendre comme s’il venait s’écraser sur la terre.
On aurait dit qu’il se détachait du ciel et qu’il courait sur nous. Il s’est maintenu à une petite distance au-dessus de nos têtes ; mais cette sorte d’attaque fut de très courte durée… Il semblait très près des gens et il continuait à tourner à l’envers. »

 

 

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