Briser le « tabou » de la pédophilie : le prétexte des psychopathes pour continuer à violer des enfants en toute impunité

Récemment, deux scientifiques néerlandais ont proposé la légalisation de la pédopornographie. Il y a quelques mois un symposium était organisé aux Etats-Unis pour débattre des moyens de légaliser la pédophilie. De nos jours, les pédophiles ont leurs propres forums et leurs groupes sur Facebook, leur parti politique, leurs revues, leur mascotte, leurs « sex toys », leur journée internationale (« International Boy Love Day » pour les amateurs de garçons ou « Alice Day » pour les amateurs de filles) et ils se regroupent en associations pour « défendre leurs droits ». Les pédophiles s’assument, s’affichent et revendiquent. On en oublierait presque que leur truc à eux, c’est de violer des enfants.

Si les pédophiles semblent aussi ouverts dans leurs revendications au droit de « vivre leur sexualité », c’est en partie parce qu’ils jouent sur certaines notions et sur certains concepts qui sont parfois flous dans l’esprit du public (et, de manière plus alarmante, chez certains scientifiques – mais nous verrons que ce n’est finalement pas si étonnant). Sous le couvert de la « liberté d’expression », de dépassement « de tabou » et en s’engouffrant dans la brèche laissée béante par les homosexuels ayant (légitimement, eux) défendu leurs droits, les pédophiles osent tout.

Parmi ces notions floues dans l’esprit du public, prenons tout d’abord celle de tabou. Par définition, un tabou est quelque chose « qui serait malséant d’évoquer en vertu des convenances sociales ou morales » (Larousse). Bien souvent, le concept de tabou est un concept lié à la mentalité d’une époque ou d’une culture. Ce qui était tabou à une époque ne l’est plus à une autre. Ce qui est tabou dans une culture ne l’est pas dans une autre. Selon Freud (qui, soit dit en passant, était psychopathe, comme l’a démontré le célèbre expert ès psychophathie, Harvey Cleckley, dans son ouvrage The Caricature of Love), seuls deux tabous sont universels : le patricide et l’inceste. Eh oui, apparemment, il est des contrées, des époques et des cultures pour lesquelles le cannibalisme, le meurtre, la nécrophilie et la pédophilie sont tout à fait acceptables…

La notion de tabou est donc par nature subjective et variable. Lorsque les médias parlent de tabous, bien souvent le mot est synonyme de manque d’ouverture d’esprit, de mentalité rétrograde, de volonté de stagner dans le passé. La définition du Larousse va certainement dans ce sens. Apparemment, c’est donc « la société » au sens le plus large du terme qui détermine un tabou et s’il est temps de le dépasser. Parfois pour un bien (la fin de la discrimination des homosexuels), parfois pour un mal (la normalisation de la pédophilie). Toutefois, le fait que « la société au sens large » semble tirer dans un sens veut-il nécessairement dire qu’elle a raison ? Absolument pas. D’une part, il faut avant tout observer le degré de ponérisation de ladite société et donc sa propension à accepter l’inacceptable. Une société qui est chaque jour un peu plus choquée et traumatisée par des évènements de plus en plus violents n’est en outre plus capable de réagir. C’est ce qu’on appelle l’inhibition transmarginale. D’autre part, il faut voir si c’est bien la volonté de ladite société au sens large et non pas le fait d’un groupe d’individus ayant un intérêt dans l’affaire et exerçant son influence.

Que l’époque dans laquelle nous vivons est ponérisée est une évidence. Pour ceux qui en doutent encore, il n’y aura qu’à consulter la rubrique « Enfant de la société » du présent site. Vous y trouverez de nombreux exemples de toutes sortes d’actes de « fin d’époque », de dégénérescence et de faits tous plus navrants les uns que les autres. Peut-on faire confiance aux décisions d’une telle société ? Probablement pas. Qu’en est-il du groupe d’individus qui a un intérêt dans l’affaire? Serait-il, eux, plus fiables ? Evidemment non. Il nous faut donc garder cela à l’esprit lorsqu’on parlera de « changement de mentalité », « d’évolution des mœurs », « de braver les interdits » et de « notion taboue ». Il nous faut également garder à l’esprit que ce groupe ayant un intérêt dans l’affaire va tenter d’exploiter la ponérisation de ladite société à ses fins.

Une autre notion apparemment floue est celle de la liberté d’expression. On a tous le droit d’avoir une opinion et de l’exprimer. Pourtant, la loi elle-même prévoit que certaines opinions (racistes, « antisémites », sexistes, incitant à la haine ou à la violence) perdent de facto ce droit de par leur nature même. Le fait d’aimer violer des enfants n’est-il pas au moins aussi grave, sinon plus, que ces exceptions à la liberté d’expression ?

Vient ensuite la question de l’identité sexuelle. Les pédophiles se défendent en disant « qu’ils sont nés ainsi et qu’ils n’y peuvent rien », et d’évoquer l’homosexualité comme exemple de cette sexualité non choisie. On passera (pour le moment en tout cas, voir plus bas) sur cette comparaison aussi ridicule que dangereuse (les homosexuels ont des relations entre ADULTES CONSENTANTS, eux). Par contre, que les pédophiles aient choisi ou non leur sexualité n’a rien à voir avec leur droit de l’exercer. Après tout, si l’on suit cette logique, les nécrophiles pourraient également invoquer ce droit « puisqu’ils sont nés comme ça » et les dégénérés qui aiment fabriquer des meubles en peau humaine ont aussi le droit d’exprimer leur créativité « parce qu’ils sont nés comme ça ». Doit-on laisser tous ces individus faire tout ce dont ils ont envie parce qu’ils « sont nés comme ça » ? Evidemment non.

Une recrudescence (car ce n’est pas nouveau, voir plus bas) de la tendance à la « tolérance » se profile donc et ces « progressistes » veulent débattre de la pédophilie et de la pédopornographie dans le but de les légaliser. Les défenseurs de la pédophilie sont bien entendu les pédophiles eux-mêmes (qui, comme nous l’avons vu, se regroupent même de nos jours en associations – à quand les associations des fanas du viol ?) mais également des écrivains, des scientifiques, des sexologues, des professeurs d’université, des hommes politiques, etc., ce qui n’est pas sans ajouter à la confusion du public.

En effet, ces éminents scientifiques ne sont-ils pas là pour guider l’homme de la rue qui, par essence, en sait moins qu’eux ? C’est ce qu’il serait logique de penser, mais c’est malheureusement faux. D’une part, ils peuvent être tout aussi ponérisés que la société en général. La corruption de la science est un fait avéré et les universités n’y échappent pas non plus. D’autre part, de par leur statut, ces « éminents spécialistes » peuvent être courtisés (ou payés) par les psychopathes ayant un intérêt à ce que la pédophilie et la pédopornographie soient dédramatisées et légalisées. Ils peuvent aussi se faire abuser par le psychopathe et/ou le pédophile, expert en manipulation et dont la spécialité est de se poser en victime. Enfin, ne mettons pas de côté le fait que ces éminents scientifiques puissent être psychopathes et/ou pédophiles eux-mêmes. On n’est jamais si bien servi que par soi-même après tout. Il ne faut donc pas ipso facto prendre ce que ces personnes disent pour argent comptant. Leur statut professionnel ou social n’est en rien gage de moralité ni de fiabilité.

Plutôt que de se baser sur des notions floues et volontairement détournées et sur le soutien et le témoignage biaisés d’individus indignes de confiance, passons en revue les faits pour nous donner une meilleure idée de ce que signifie réellement la pédophilie.

La pédophilie

La pédophilie est une attirance ou préférence sexuelle d’un adulte envers les enfants pré-pubères ou en début de puberté. Un pédophile est une personne éprouvant ce type d’attirance.

Selon le critère de l’OMS, les adolescents de 16 ou 17 ans sont aussi classés comme pédophiles, s’ils ont une préférence sexuelle persistante ou prédominante vers les enfants pré-pubères au moins cinq ans plus jeunes qu’eux.
Dans la plupart des sociétés modernes, ce type de préférence est considéré comme une perversion sexuelle (paraphilie) et les activités s’y rapportant sont condamnées par la loi. Les passages à l’acte de pédophiles, soit les relations sexuelles entre un adulte et un enfant au-dessous de la majorité sexuelle constituent, juridiquement, des abus sexuels sur mineur, qualification qui peut prendre différentes formes selon la législation et le type d’acte sexuel incriminé.

La pédophilie est classée comme trouble de la préférence sexuelle (trouble mental) par la classification internationale des maladies (CIM) et comme paraphilie par le manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (DSM).

Les milieux médicaux considèrent que la pédophilie relève de la maladie, de la déviance, de la perversité, en un mot de la psychiatrie, et peut-être du soin. Il s’agit de la thèse la plus reprise dans le discours psychiatrique sur le sujet. (Source: Wikipédia)

Voilà donc ce qu’est la pédophilie : maladie, déviance, perversité. La pédophilie est une perversion sexuelle. Qu’elle soit taboue ou pas à une époque ou dans un lieu donné n’y change rien. Les tabous passent, la perversion reste. Toute sexualité impliquant un autre être vivant non consentant OU assimilé (comprenez : un être qui ne saurait être considéré comme consentant en vertu de son immaturité et dont le consentement ne signifie par conséquent rien) est condamnable. La pédophilie ne peut donc EN RIEN être comparée à l’homosexualité. L’amalgame est fréquent (par ignorance ou par intolérance) mais également parce que les pédophiles et psychopathes ont trouvé cette tactique afin de gagner en respect dans l’opinion publique. Ils tentent de récupérer la lutte que les homosexuels ont menée pour la reconnaissance de leurs droits pour assouvir leur perversion.

Selon Anna Salter, dans son livre Predators, il existe essentiellement deux types de pédophiles (une majorité d’hommes mais il existe bel et bien des femmes pédophiles) : les psychopathes et le reste. Le reste, ce sont des gens ayant une attirance pour les enfants. Certains passent à l’acte, d’autres pas. Lorsqu’ils passent à l’acte, ils parviennent à se convaincre que l’enfant était l’initiateur du contact (le moindre geste peut être érotisé par le pédophile), que l’enfant « est un adulte dans un corps d’enfant », que l’enfant le désirait tout autant, que le rapport est agréable et bénéfique pour l’enfant. Ils sont tout à fait incapables de se mettre à la place de l’enfant, de comprendre sa souffrance et l’abus qu’il subit et refusent de voir leur manipulation. Seules leurs pulsions comptent et doivent être satisfaite. Illustration :

http://www.youtube.com/watch?v=0xOl9ok8nHY

L’enfant, lui, veut plaire, être accepté et aimé. Si une personne adulte, référence absolue pour l’enfant, l’incite à avoir un rapport, quel qu’il soit, l’enfant n’a d’autre choix que d’obtempérer. Dire que l’enfant pourrait refuser équivaut à dire que la souris peut refuser d’être mangée par le chat. Il ne fait pas le poids. Il est manipulable mentalement et surtout émotionnellement. Et c’est souvent la tactique du pédophile : il gagne l’enfant par les sentiments. Il gagne sa confiance, son amitié, son amour et procède ensuite à son grooming. Quand l’enfant se sent en sécurité, le pédophile « propose ». L’enfant n’est pas en mesure de refuser. Le pédophile lui parle de secret à partager, d’amour spécial qui serait incompris mais, si l’enfant résiste trop à son goût, il peut très bien menacer l’enfant. Le pédophile préfèrera de manière générale des enfants mal dans leur peau, ayant des relations difficiles ou inexistantes avec leurs parents. Il propose de leur donner ce qu’ils n’ont jamais reçu. Quel enfant pourrait refuser ? Dès que l’enfant est touché par un adulte (ou par un adolescent, d’ailleurs) dans un but sexuel, l’enfant n’est pas respecté dans son intégrité physique et psychologique (et cela vaut d’ailleurs également pour un enfant dont l’image est utilisée dans un but sexuel sans qu’il y ait d’attouchement direct – voir plus bas). L’enfant est manipulé car il n’a pas la maturité pour comprendre que cet acte est non seulement déviant et condamnable mais qu’il aura des conséquences graves sur son développement. Même des caresses qui pourraient paraître agréables à l’enfant (et aussi perturbant que cela puisse paraître, les enfants peuvent éprouver une forme de « plaisir physique » – un fait souvent brandi par les pédophiles comme la preuve irréfutable que l’enfant ne souffre pas et que le rapport est consenti) sont un non-respect de son intégrité physique. Même si l’enfant peut paraître curieux ou intéressé, il ne peut pas comprendre ce que signifie un rapport sexuel ni les conséquences sur sa personne. En effet, nombre d’enfants ainsi abusés vont hériter d’une vision d’eux-mêmes, d’une sexualité et, de manière générale, d’une vision du bien et du mal complètement perturbées – dans le meilleur des cas. Certains ne pourront jamais établir de relation normale avec un partenaire, d’autres trouveront un réconfort dans l’alcool ou la drogue, d’autres encore deviendront délinquants (aux États-Unis, on estime que 90% des adolescents en prison ont été victimes d’abus sexuels lorsqu’ils étaient enfants) ou travailleront dans l’industrie du sexe (prostitution, pornographie), d’autres encore se suicideront. Aucun n’en sort indemne, quel que soit l’abus. Lorsqu’on a été sali et utilisé, trahi et abusé par une personne censée nous protéger (l’adulte), comment pourrait-il en être autrement ?

L’autre type de pédophile est psychopathe. Il faut savoir qu’il est psychopathe avant d’être pédophile. L’enfant est un prétexte, ce qui compte, c’est la domination (souvent via la violence) de l’autre. Voir l’enfant souffrir et lui dérober son innocence font partie intégrante du plaisir retiré par le psychopathe. Mais la victime pourrait tout aussi bien être un homme ou une femme. On ne peut donc probablement pas réellement parler d’attirance pour l’enfant dans ce cas. Le psychopathe n’essaie même pas de se mentir à lui-même en se disant que l’enfant est consentant : le fait que l’enfant ne le soit pas EST ce dont il tire sa jouissance. L’absence totale de conscience du psychopathe le poussera souvent à filmer ses actes, qu’ils soient de viol, de torture ou de meurtre (snuff movies). Il filme pour plusieurs raisons : pour pouvoir visionner les films lorsqu’il n’a pas de victime à sa disposition, mais également parce qu’il sait qu’il existe une très forte demande pour ce type de film odieux. La pédophilie est en effet indissociable de la pédopornographie. Les pédophiles, qu’ils soient psychopathes ou non, ont tous au moins une fois dans leur vie eu recours à la pédopornographie. Tous ne visionnent pas de snuff movies, mais la plupart soulagent leurs pulsions en regardant de la pédopornographie de manière régulière.

La pédopornographie

Avant de parler de pédopornographie, il faut parler brièvement de « simple » pornographie. A l’époque dans laquelle nous vivons, la pornographie est partout et est devenue presque respectable (un autre signe de ponérisation extrême de la société), voire « hype ». Si la pornographie a toujours existé (elle existait déjà dans l’Antiquité), sa distribution et son contenu ont beaucoup « évolué » : aux 20e et 21e siècles, des photos échangées sous le manteau de dames en combinaison, la pornographie est ensuite passée aux revues toutes en couleurs vendues en magasins spécialisés. Des magazines aux photos de plus en plus suggestives ont ensuite été vendus dans toutes les librairies. De nos jours, elle est dans tous les foyers en quelques clics sur Internet, et « provocateur et osé » n’est plus suffisant pour qualifier le contenu de plus en plus dégradant et violent.

Il faut savoir que l’addiction à la pornographie existe bel et bien. Lors d’une forte excitation, de la dopamine, un neurotransmetteur, est libérée. La répétition de ces deux actions (l’excitation suivie de la libération de dopamine) va rendre les récepteurs de la dopamine moins sensibles à celle-ci, par un phénomène d’accoutumance typique de l’addiction. Pour un stimulus donné, la réaction devient moins forte. Pour produire le même effet qu’au début, le stimulus doit être plus fort. Un phénomène d’accoutumance se manifeste donc chez quiconque regarde régulièrement de la pornographie. Loin de calmer les pulsions sexuelles, la pornographie les exacerbe. La maîtrise des pulsions devient donc de plus en plus difficile. Et surtout, du fait du phénomène d’accoutumance à la dopamine, l’accro va rechercher une pornographie de plus en plus « riche en sensations », ce qui en pornographie se traduit par un contenu toujours plus dégradant et violent. C’est ce qui a permis à des « genres » comme le gonzo (et dans certains cas extrêmes, le snuff movie) de se développer, un phénomène impensable il y a quelques décennies encore.

La pédopornographie n’échappe pas à cette règle. De leur propre aveu, les pédophiles sont, avec le temps, attirés par une pédopornographie de plus en plus violente et par des enfants de plus en plus jeunes. Ainsi, un pédophile interrogé par Anna Salter dans Predators, avoue qu’il était tout d’abord attiré par des enfants de 8 ans mais que petit à petit, cet âge a diminué jusqu’à son attirance pour des enfants de 2 ans. C’est tout à fait courant selon les nombreux témoignages obtenus par l’auteure. Voilà qui répond à ceux qui se demandaient comment il peut exister des gens qui violent des bébés. Les deux sexologues néerlandais du début d’article qui espéraient donc que les pédophiles seraient satisfaits par une pédopornographie composée de quelques « montages et cartoons réglementés par le gouvernement » pour régler leurs pulsions ont probablement eu leur diplôme de sexologie à la même faculté que le Dr Nick Riviera, ou ils ont un intérêt quelconque à mentir…

D’un point de vue strictement commercial, la pédopornographie (et le trafic d’enfants, car les deux sont indissociables) rapporte gros. La pédopornographie à elle seule représentait dans les années 1990 environ 3 milliards de dollars par an rien qu’aux États-Unis (le double dans le monde entier). 22 millions de copies de vidéos pédopornographiques ont été vendues ou louées aux États-Unis en 1991. Un snuff movie peut se vendre jusqu’à 5000 $, plus s’il est fait « sur mesure ». Dutroux proposait à ses acolytes entre 2000 et 4000 € pour un enlèvement de fillettes (la revente internationale, selon les dires de certains trafiquants, peut monter jusqu’à 30 000 $). Si ces chiffres (cités par David Mc Gowan dans son livre extrêmement détaillé Programmed to Kill) sont corrects, les pédophiles sont très nombreux ET très friands de ce genre de « récréation ». Apparemment, certains ont également de gros moyens à leur disposition pour pouvoir débourser de telles sommes, ce qui semble étayer la thèse que nombre de ces amateurs de pédopornographie (et d’abus d’enfants) sont des gens aisés – comme des médecins, des avocats, des politiciens et des notables.

Les réseaux et l’élite psychopathique

Pour ces gens aisés, la pédophilie et la pédopornographie sont un moyen de se divertir et de soulager leurs pulsions. Bien intégrés dans la société – voire tout en haut de l’échelle sociale – ils ont énormément à perdre s’ils sont découverts. C’est entre autres pour cela que les réseaux existent. Psychopathes et pédophiles œuvrent main dans la main pour trafiquer enfants et matériel pédopornographique et en faire profiter leur cercle d’amis et de clients. Lorsqu’on se penche sur ces réseaux, on s’aperçoit qu’aucun milieu n’est épargné, mais qu’ il y a décidément beaucoup de politiciens, de notables, de célébrités, de juges, de policiers, de médecins, de psychiatres, de juges et d’avocats. Si vous vous demandez pourquoi la proportion de gens dépravés semble être aussi importante dans les hautes sphères, voici une tentative de réponse : d’une part, le psychopathe se contente rarement d’un petit boulot discret qui rapporte peu (bien que certains psychopathes de petite envergure se contentent de vivre aux crochets des autres) et ces professions les attireront, pour commencer. D’autre part, le psychopathe aime profiter du statut et de la quasi-immunité conférés par ces professions. Enfin, du fait même de la « respectabilité » de ces professions, le psychopathe se voit contraint de porter un masque de normalité (le fameux Mask of Sanity que décrit par Hervey Cleckley) et il aura alors besoin, pour compenser, de s’adonner à des actes de dépravation pour retrouver sa véritable nature. L’abus d’enfants et le visionnage de pédopornographie répondent tout à fait à ce besoin.

De ce fait, ces fameux réseaux (dont il a été beaucoup question, notamment dans le dossier Dutroux en Belgique, le dossier Zandvoort aux Pays-Bas et dans le dossier Franklin aux États-Unis ) sont apparemment extrêmement protégés, car quiconque cherche à les démasquer s’expose à des représailles : la censure du parlementaire Laurent Louis, la ridiculisation publique du témoin Régina Louf, la destruction de la carrière u journaliste d’investigation Michel Bouffioulx, la disparition de Stan Maillaud et de sa compagne Janett Seemann, la condamnation de Marcel Vervloesem (faire condamner pour pédophilie les gens qui s’y opposent est une spécialité des réseaux). Ces représailles peuvent même être fatales et le taux de suicide dans ces affaires est tout bonnement hallucinant (pas moins de 12 témoins qui se « suicident » dans l’affaire Dutroux ! Voir aussi le « suicide » de deux balles dans la tête du gendarme Jambert dans l’affaire des disparues de l’Yonne).

La justice semble également être très souvent du côté des pédophiles. Dans Programmed to Kill, David Mc Gowann déclare que le système légal, la justice et la police sont parmi les systèmes les plus corrompus et sont littéralement infestés par les psychopathes et les pédophiles. C’est effectivement leur technique préférée : infiltrer les services qui risqueraient de leur mettre des bâtons dans les roues. Pratique aussi, pour avoir accès à la fameuse pédopornographie « saisie » par la police. En effet, via ces saisies, la police ne devient-elle pas la plus grande détentrice au monde de pédopornographie ? Pratique aussi, de faire partie de ce système judiciaire pour faire capoter ou abandonner les poursuites contre ses copains… ou ses fournisseurs.

Les pédophiles, tout comme les psychopathes, sont experts dans l’art de se retrouver dans des positions ou des métiers qui leur permettront d’avoir facilement accès à leur proie. Il ne s’agit en rien d’un hasard. Du propre aveu des pédophiles, certaines professions sont connues dans leur milieu pour offrir un accès facile et des risques minimes. C’est le cas du métier de prêtre : les parents catholiques n’attaquent que très rarement en justice les prêtres pédophiles ayant violé leur enfant, et l’Église catholique trouve toujours un moyen d’étouffer l’affaire et de régler « le problème en interne ». Les autres religions ne sont pas épargnées, cependant. D’autres métiers et occupations, pour les pédophiles qui supportent peut-être moins bien l’odeur de l’encens, sont également possibles : moniteurs de camps de vacances ou de mouvements de jeunesse, profs ou coaches sportifs. Les plus déviants ouvriront un orphelinat ou une crèche et auront non seulement accès à de très jeunes enfants (ou des handicapés) qui ne savent pas encore témoigner, ils y auront accès pendant des journées entières, ce qui est pratique pour en faire profiter les autres ou pour tourner des films. Il y a ensuite les « ambitieux », ceux qui veulent avoir accès à leurs proies ET être riches et célèbres. Ils travailleront à Hollywood ou plus prosaïquement pour la télévision ou la presse, notamment pour la BBC, qui sait rester discrète sur la vie privée de ses présentateurs ; ils deviendront chanteur, cinéaste, sportif ou guitariste dans un groupe rock. Mais la consécration, c’est probablement être tout cela à la fois : célèbre, puissant, invincible, et disposer d’un accès sans limite et d’une immunité sans égale de par son statut tout en haut de l’échelle sociale, dans cette société gangrenée qui est la nôtre : l’homme politique.

S’il est aujourd’hui à nouveau de bon ton de faire son « progressiste » et de défendre le soi-disant « tabou » de la pédophilie et la pédopornographie, en offrant à ces deux perversions des tribunes comme l’ont fait autrefois certains, notamment Le Monde ou Libération

Enfin, bref, les attaques contre la majorité sexuelle ont justement été l’objet de pétitions dans les années 70, publiées dans Libération et d’autres journaux. Ainsi, en 1977 sort une pétition demandant au Parlement d’abroger différents articles de la loi sur la majorité sexuelle, ainsi que la dépénalisation de toute relation sexuelle entre un adulte et un mineur de moins de 15 ans. Des personnes en vue de ce qu’on appelait l’intelligentsia telles que Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Michel Foucault, Guy Hocquenghem, Jacques Derrida, André Glucksman, Roland Barthe, Alain Robbe Grillet, Françoise Dolto ou Philippe Sollers l’ont signée.

La même année, une lettre ouverte est publiée dans Le Monde, pour demander la clémence envers trois pédophiles[7] qui ont abusé de mineurs et se sont amusés à prendre leurs prouesses en photos. Les auteurs de cette lettre ouverte évoquaient « une simple affaire de ‘mœurs’ où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence », avant de conclure que « trois ans de prison pour des baisers et des caresses, cela suffit ». Parmi les signataires, Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, docteur Michel Bon, Patrice Chéreau, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Jean-Pierre Faye, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Françoise Laborie, Jack Lang, Georges Lapassade, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers. A la suite de cette lettre ouverte, des lecteurs de Libération ont crée le Front de Libération des Pédophiles (FLIP) (Source: Pedopolis)

et, plus récemment, certains notables tels que « Maître Lévy », dans cet éloquent plaidoyer pour la pédophilie délivré sur une chaîne du service public :




, il restera toujours des personnes ayant, eux, une conscience et des facultés intellectuelles et qui savent que manipuler ou forcer un enfant à avoir des relations sexuelles est un acte purement abject qui mérite d’être puni, et que les enfants du monde entier doivent être protégés. Et vu le peu de personnes de conscience n’ayant pas atteint un degré terminal de ponérisation, il est de notre devoir d’attirer, inlassablement, l’attention sur cette perversion. Parlez-en autour de vous, citez les enquêtes, faites lire les articles, appelez un chat un chat, retenez les statistiques. Et puisqu’il est question de statistique, voici quelques chiffres, en guise de conclusion : les cas rapportés d’abus d’enfants (et il est donc tout à fait sûr d’estimer qu’ils ne représentent qu’une partie des chiffres !!) entre 1963 et 1988 sont passés de 150 000 à 2 000 000 PAR AN, ce qui représente une augmentation de 1300 % en 25 ans.

L’abus d’enfants, dont font partie la pédophilie et la pédopornographie, est une épidémie. Se taire, c’est la propager. Se taire, c’est être complice.

Source: Sott.net

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