Des empreintes génétiques du Gardasil sont retrouvées dans les cadavres de jeunes filles victimes du vaccin

Merci à Arwen pour l’article.

 


Pour la première fois dans l’histoire de la vaccination, on a découvert un mécanisme biologique qui explique un grave effet secondaire du Gardasil.

Une étude récente, publiée en novembre 2012 dans le journal Pharmaceutical Regulatory Affairs, révèle l’évidence que les composants viraux du vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV) peuvent pénétrer la barrière du cerveau et déclencher une vasculite cérébrale, forme rare et sévère d’inflammation du cerveau qui peut mener à de graves désordres auto-immuns et même à la mort.

D’après l’autopsie de deux jeunes filles, l’une âgée de 19 ans, l’autre de 14 ans, toutes deux vivant à des endroits opposés du globe et décédées tout de suite après avoir reçu le vaccin, une étude a été menée par le Dr Chris Shaw de l’Université de British Columbia (UBC) au Canada et le Dr Lucija Tomljenovic du Neural Dynamics Research Group de Vancouver.

Leurs travaux ont révélé que des fragments d’antigènes HPV-16L1 utilisés dans les deux vaccins Gardasil et Cervarix se retrouvaient dans le système nerveux central des victimes. D’après les auteurs de l’étude, ces particules représentent l’empreinte génétique du vaccin Gardasil et prouvent clairement qu’il est responsable d’effets graves sur certaines jeunes femmes qui le reçoivent.

Théoriquement, ces antigènes ne peuvent traverser la barrière cervicale, mais ces travaux prouvent le contraire, sinon on ne les aurait pas retrouvés dans le tissu cérébral des deux victimes, ce qui a grandement surpris les chercheurs qui ont également découvert une augmentation des lymphocytes T.

« Notre étude suggère que les vaccins HPV qui contiennent l’antigène HPV-16L1 présentent un risque potentiel de déclencher des vasculopathies auto-immunes. »

D’après le groupe Sanevax, ces travaux révolutionnaires expliquent pour la première fois les accidents constatés mais non expliqués causés par les vaccins, d’autant que le Gardasil est relié à 27 485 effets adverses graves et au moins à 121 décès.

N’oublions pas, de toute manière, que les vasculites sont depuis très longtemps considérées comme responsables de sévères réactions aux vaccins ; que le mimétisme moléculaire est considéré comme un mécanisme des vaccins capable de générer des maladies auto-immunes ; que les recherches de Tomljenovic et Shaw sur les bases de données du VAERS révèlent de nombreux rapports d’accidents liés à la vasculite et causés par le Gardasil ; que ces vasculites se déclarent dans les trois ou quatre mois qui suivent cette vaccination, même si elles ne sont pas reconnues comme telles et appelées migraines persistantes, syncopes, crises d’épilepsie, tremblements, myalgies, anomalies locomotrices, symptômes psychotiques ou déficits cognitifs.

En outre l’autopsie des deux cas n’a pas révélé d’anomalies ni anatomiques, ni microbiologiques ni toxicologiques ; qui auraient pu être considérées comme cause potentielle des décès.

Nous sommes donc très loin des études menées en France pour savoir si l’aluminium utilisé dans les vaccins est dangereux ou pas ou s’il se contente de rester présent seulement dans la partie injectée. Cet aluminium s’infiltre dans le système cérébral, donc affecte notre personnalité profonde, même lorsqu’il ne tue pas.

Le temps est donc venu d’arrêter ces sacrifices humains pour le bien-être des autres, d’admettre la dangerosité et l’inutilité des vaccins, sinon nous resterons totalement irresponsables et sans morale.

 

http://sanevax.org

http://www.naturalnews.com/Gardasil.html

 

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