Le rapport caché de l’OMS sur les crimes US en Irak
Je vous préviens c’est l’article trash pour un bon bout de temps …. j’ai volontairement laisser les photos qui parlent mieux que tous les rapports …..
Pour mémoire, la guerre en Irak n’a pas forcément les buts qu’on lui a assigné (comme c’est bizarre ) , rien que la justification de l’approvisionnement en pétrole est un leurre …. les USA dépensent entre 3 et 6 fois plus par an (selon les années) pour la sécurité des approvisionnements en pétrole au moyen-orient que la valeur du pétrole qu’ils importent, cherchez l’erreur !
Sous couvert d’apporter la démocratie, voici vraiment l’impact des USA sur la Terre d’Irak …
Le rapport caché de l’OMS sur les crimes US en Irak
Ce sont les bombardement à l’uranium appauvri qui sont responsables de cette horreur Où sont les défenseurs des Droits de l’homme pour le dénoncer. On continue à l’utiliser. L’unraium appauvri a été utilisé à Gaza, en Libye et certainement ailleurs. c’est un véritable crime contre l’humanité perpétué par les « démocrate »s occidentaux
ginette
Opinion
Le rapport caché de l’OMS
sur les crimes US en Irak
Mohsen Abdelmoumen
Les crimes monstrueux de l’armée US et britannique en Irak. D.R.
Jeudi 29 janvier 2015
C’est un scandale planétaire que l’on pourrait nommer l’OMSgate. Depuis novembre 2012, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) bloque la parution de son rapport sur les effets dévastateurs des bombardements à l’uranium appauvri (UA : déchet radioactif issu de l’enrichissement de l’uranium destiné aux réacteurs civils et militaires) sur la santé de la population irakienne.
En effet, suite à la parution fin 2014 du classement Censored 2015, programme universitaire répertoriant les 25 informations les plus importantes au niveau mondial et censurées par la presse, il apparait que l’OMS a censuré son propre rapport établi avec l’aide du Ministère irakien de la Santé concernant l’enquête sanitaire effectuée en Irak et portant sur les conséquences des bombardements américains et britanniques auprès de la population. Cette enquête a été menée auprès de 10 800 ménages dispersés dans 18 districts, à raison de 600 ménages par district. Nous aimerions savoir comment le Dr Ala Alwan, qui a gravi tous les échelons de l’OMS depuis 1992 pour finir par être nommé Directeur Régional en 2012, en passant par les portefeuilles ministériels de l’Education et de la Santé en Irak entre 2003 et 2005, peut justifier l’omerta étouffant les résultats de cette enquête réalisée dans son propre pays. Evidemment, on ne s’étonne plus de rien quand on sait que les fonds de l’OMS proviennent, outre la Fondation des Nations Unies, de l’USAID (United States Agency for International Development) et du DfiD britannique (Départment for international Development).
L’USAID est soumis aux directives du Président des Etats-Unis, du Secrétaire d’Etat et du Conseil national de Sécurité, quant au DfiD britannique, il est dirigé par la Secrétaire d’Etat au Développement International, Justine Greening, et le numéro deux n’est autre que le ministre d’Etat Alan James Carter Duncan qui a fait carrière dans l’industrie pétrolière Royal Dutch Shell et qui est aussi membre du groupe Conservative Way Forward que présidait la criminelle Margaret Thatcher, tandis que la sous-secrétaire d’Etat est Lynne Featherstone Choona de la riche famille propriétaire des magasins Ryness, et qui s’est fait taper sur les doigts pour avoir dépensé £22 000 en un mois en frais de papeterie pour son bureau au ministère.
Selon de nombreux médecins irakiens, la contamination par les munitions à l’UA est à l’origine de fortes hausses des malformations congénitales, des cas de cancer et d’autres maladies dans une grande partie de l’Irak. Le Dr Mozhgan Savabieasfahani, toxicologue à l’Ecole de Santé publique de l’Université du Michigan, a déclaré que « l’Irak est empoisonné et une telle enquête approfondie concernant la santé publique devrait être publiée et largement diffusée afin d’attirer le soutien et l’expertise internationale ». D’après elle, « des experts médicaux, des toxicologues environnementaux, des épidémiologistes, du personnel d’assainissement et des spécialistes de l’environnement devraient être convoqués de toute urgence pour résoudre cette crise et sauver des vies humaines ». Déjà en mars 2013, la BBC avait diffusé un reportage dans lequel un officiel de haut rang du ministère irakien de la Santé à Bagdad avait déclaré que « toutes les études effectuées par le ministère de la Santé prouvent avec des faits accablants qu’il y a eu une hausse des malformations congénitales et des cancers en Irak ». Au cours de ce documentaire intitulé « Born under a bad sign », deux autres chercheurs du ministère de la Santé irakien avaient affirmé que « les cancers et les malformations congénitales constituent une crise majeure pour la prochaine génération d’enfants », confirmant des hausses simultanées de cancers et d’anomalies congénitales dans les trois gouvernorats de Ninive, d’Anbar et de Najaf, et reliant ce phénomène aux munitions utilisées par les armées américaine et britannique.
Les bébés iraquiens victimes de l’uranium appauvri utilisé par les armées US et britannique.D.R.
De nombreux médecins irakiens tentent d’alerter la communauté internationale depuis des années pour obtenir de l’aide, relayés par des personnalités de premier plan au niveau international. En vain. Suite au blocage du rapport, 58 sommités issues du monde scientifique, intellectuel, des professionnels de la santé et des défenseurs des droits humains ont écrit en mai 2013 à l’OMS et au ministère irakien de la Santé pour demander la libération immédiate dudit rapport. Aucune réponse n’a été apportée à cette lettre signée par des universitaires du monde entier, parmi lesquels figuraient Noam Chomsky, Ken Loach, John Tirman, le Dr Mozhgan Savabieasfahani, et des organisations comme Human Rights Now du Japon, Health Alliance International, et bien d’autres personnes éminentes du monde scientifique et intellectuel. Devant cette obstruction délibérée, Hans von Sponeck, ancien secrétaire général adjoint des Nations Unies et membre du Tribunal BRussels a déclaré : « Le gouvernement américain a tout fait pour empêcher l’OMS d’enquêter dans les zones du sud de l’Irak où de l’uranium appauvri a été utilisé et a causé de graves dommages sanitaires et des risques environnementaux ».
Les autorités américaines admettent avoir utilisé 320 tonnes d’UA, chiffres contestés par la fondation LAKA d’Amsterdam qui estime le nombre réel plus proche de 800 tonnes larguées en Irak pendant la guerre de 1991, et 1200 tonnes lors de son invasion de 2003. En 1991, l’armée américaine a tiré près d’un million d’obus à l’UA en trois jours sur les milliers de réfugiés et de soldats irakiens battant en retraite sur la route de Bassorah. Très rapidement, certaines régions du sud de l’Irak ont vu une augmentation annuelle de 350 % de cas de leucémie, de déficiences immunitaires, de cataractes et de dysfonctionnements rénaux. Les statistiques officielles du gouvernement irakien montrent qu’avant le déclenchement de la première guerre du Golfe en 1991, le taux des cas de cancer était de 40 sur 100 000 personnes. En 1995, il avait augmenté à 800 sur 100 000, et en 2005, il avait doublé pour atteindre au moins 1 600 individus sur 100 000. Les estimations les plus récentes montrent la poursuite régulière de cette progression. « Le monde doit savoir que les Irakiens ont été victimes de l’agression infligée par l’utilisation de munitions à l’uranium appauvri par les troupes américaines et britanniques au cours de ces guerres, et que cela constitue un génocide », a déclaré le Dr Jawad al-Ali, médecin oncologue expert au Centre de traitement du cancer de Bassorah. Il estime qu’il existe 300 sites à travers l’Irak qui sont contaminés par le rayonnement des munitions à l’UA. « Avant la guerre du Golfe, nous avions deux ou trois patients atteints du cancer par mois, maintenant, 30 à 35 personnes meurent chaque mois. Nos études indiquent que 40 à 48 % de la population aura un cancer dans un délai de cinq ans ». Sachant que l’OMS chiffrait la population irakienne à 33 765 000 habitants en 2013, nous pouvons évaluer qu’environ 15 000 000 de personnes seront atteintes d’un cancer dans les prochaines années. En outre, jamais auparavant un taux aussi élevé de malformations du tube neural (spina bifida) n’avait été constaté chez les bébés comme à Bassorah et ce taux continue d’augmenter.
Le nombre d’hydrocéphalies (eau dans le cerveau) chez les nouveau-nés est six fois plus élevé à Bassorah qu’aux États-Unis et certaines malformations sont pratiquement inconnues en dehors des manuels de médecine montrant les enfants nés à proximité des sites d’essais nucléaires dans le Pacifique : des bébés avec des moignons à la place des membres, ou les intestins hors de l’abdomen, présentant d’énormes tumeurs, les yeux exorbités ou avec un seul œil comme des cyclopes, ou sans yeux, sans membres, des enfants anencéphales (absence d’une grande partie du cerveau et du crâne), ou connaissant de graves problèmes respiratoires, avec des tumeurs malignes très agressives dans les membres qui aboutissent à l’amputation. Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. Une spécialiste en pédiatrie à l’Hôpital général de Falloujah, le Dr Samira Alani, a réalisé une enquête suite à la prolifération des anomalies congénitales qui ont suivi les bombardements américains depuis 2005. Ses recherches l’ont conduite au Japon où elle a rencontré des médecins japonais qui étudient le taux de malformations chez les bébés dû au rayonnement des bombardements nucléaires américains d’Hiroshima et de Nagasaki. Le taux d’incidence des malformations à Hiroshima et Nagasaki s’élève actuellement entre 1 et 2 %. Le Dr Alani a noté que les cas de malformation congénitale s’élèvent à 14,7 % de tous les bébés nés à Falloujah, c’est-à-dire plus de 14 fois le taux dans les zones touchées du Japon. Les médecins irakiens estiment que des malformations congénitales ont augmenté de 2 à 6 fois, et 3 à 12 fois plus d’enfants ont développé un cancer et la leucémie depuis 1991. Un rapport publié dans The Lancet en 1998 avait déclaré à l’époque que près de 500 enfants mouraient chaque jour des suites de la guerre et des sanctions et que le taux de mortalité des enfants irakiens de moins de 5 ans était passé de 23 pour mille en 1989 à 166 pour mille en 1993. Qu’en est-il en 2015, sachant que cette tendance s’amplifie ?
Dans l’ensemble, les cas de leucémie lymphoblastique aigüe ont plus que quadruplé avec d’autres cancers qui augmentent à un rythme alarmant. Chez l’homme, les cancers du poumon, de la vessie, des bronches, de la peau et de l’estomac ont montré la plus forte augmentation. Chez les femmes, les plus fortes hausses ont été le cancer du sein et de la vessie, et le lymphome non hodgkinien. Il faut également compter les milliers de fœtus qui ne sont pas arrivés à terme. On a en effet constaté un saut spectaculaire de fausses couches et de naissances prématurées chez les femmes irakiennes, en particulier dans les zones où de fortes opérations militaires américaines se sont produites, comme à Bassorah en 1991 et à Falloujah en 2004. Par ailleurs, une étude épidémiologique menée par Chris Busby, chimiste britannique de renommée internationale, intitulée « Le cancer, la mortalité infantile et la naissance sex-ratio à Falloujah, en Irak 2005-2009 » établie sur une population de 700 ménages à Fallujah montre que la crise de la santé représente « le plus haut taux de dommages génétiques dans une population jamais étudiés ». Outre ce désastre sanitaire qui frappe le peuple irakien, au cours des deux guerres menées contre l’Irak, l’infrastructure médicale a été complètement détruite alors que ce pays possédait les hôpitaux les plus modernes de la région et des praticiens de très haut niveau. Le potentiel médical, tant en médicaments qu’en équipements, quasiment réduit à néant pendant l’embargo criminel qui a duré treize ans, ne permet plus de soigner la population qu’avec des moyens sommaires. En outre, des milliers de médecins ont été assassinés et beaucoup d’autres ont dû fuir le pays pour échapper à la mort et pour mettre leurs familles à l’abri.
Les milliers de tonnes de bombes bourrées d’UA, sans parler des bombes au napalm, au plasma et au phosphore que les Américains et les Britanniques ont déversées sans répit sur l’Irak, ont dispersé dans l’air des milliards de particules meurtrières qui ont été propagées par les vents dans toute la région, mais aussi dans le monde entier. La poussière d’uranium appauvri toujours présente dans l’air, le sol et les nappes phréatiques, s’est disséminée dans les cultures, la faune, la flore, empoisonnant tout l’environnement et se retrouve dans la nourriture, les vêtements, les matériaux de construction, les métaux, et jusque dans les jouets des enfants. La radioactivité persistera pendant quelque 4,5 milliards d’années, continuant à tuer des millions d’irakiens de tout âge pendant des siècles. En outre, les gènes des individus peuvent avoir été endommagés à jamais. Il s’agit d’un crime contre l’humanité qui peut être classé parmi les pires atrocités de tous les temps.
Pour contrer toute tentative de déni de cette situation apocalyptique en Irak, il est intéressant de noter que certaines maladies observées chez les vétérans de la guerre d’Irak exposés à la poussière d’uranium appauvri sont semblables à celles des Irakiens. En effet, des soldats ayant participé à la guerre du Golfe ont engendré des enfants atteints d’anophtalmie (sans yeux) et dans un groupe de huit militaires dont les bébés sont nés anophtalmiques, sept sont connus pour avoir été directement exposés à l’UA. D’autres ont engendré des enfants avec les bras atrophiés et d’autres anomalies rares associées au rayonnement radioactif. Ils semblent également sujets au cancer et la leucémie. Autre fait révélateur, le taux de leucémie des soldats de l’UE qui ont servi comme Casques Bleus dans les Balkans où l’uranium appauvri a également été utilisé est aussi très élevé. En 1997, citant des expériences dans lesquelles 84% des chiens exposés à l’uranium inhalé étaient morts des suites d’un cancer des poumons, le Dr Asaf Durakovic, professeur de radiologie et de médecine nucléaire à l’Université de Georgetown à Washington a déclaré : « L’Administration des anciens combattants dépendant du gouvernement américain m’a demandé de mentir sur les risques de l’intégration de l’uranium appauvri dans le corps humain. L’uranium provoque le cancer, l’uranium provoque une mutation, et l’uranium tue. Si nous continuons avec la contamination irresponsable de la biosphère et le déni du fait que la vie humaine est menacée par l’isotope mortel de l’uranium, alors nous nous faisons du tort à nous-mêmes, nous rendons un mauvais service à la vérité, à Dieu et à toutes les générations qui suivent ». Suite à cette déclaration, les autorités américaines ont immédiatement bloqué sa recherche.
Plus de 3 300 000 d’Irakiens, hommes, femmes et enfants, sont morts à la suite de l’agression criminelle des États-Unis et du Royaume-Uni entre 1991 et 2011 : 200 000 tués dans la première guerre du Golfe, 1 700 000 morts à la suite de sanctions, et 1 400 000 de personnes massacrées dans l’invasion illégale de 2003. Le Tribunal BRussels, réseau international consacré essentiellement à l’Irak et composé d’intellectuels, de juristes, d’artistes et de militants issus du monde entier, milite pour la paix et se veut un pont entre la résistance intellectuelle dans le monde arabe et les mouvements pacifistes occidentaux. Il organise régulièrement des sessions internationales au cours desquelles différentes stratégies sont étudiées en vue de traduire en justice les responsables du génocide commis par les Etats-Unis et le Royaume Uni en Irak.
Au vu de cette tragédie occultée par les organisations internationales, nous somme amenés à nous poser cette question : quel est donc le rôle exact de l’OMS ? La fonction de cette organisation qui gave la planète avec ses campagnes bidon contre la poliomyélite, la lèpre, etc. et sermonne les pays, consiste-t-elle à cacher un rapport incriminant un gouvernement quelconque ? L’extermination de la population irakienne par l’utilisation de l’uranium à grande échelle par les armées américaine et britannique est-elle un sujet qui ne rentre pas dans les normes ou le code de l’OMS et de ces ONG « droits-de-l’hommistes », façades de l’Empire qui a rasé l’Irak et tant d’autre pays et dont les effets dévastateurs continueront à frapper pendant des siècles ? A quoi sert une organisation qui ose dissimuler un rapport impliquant les monstres qui dirigent Washington et Londres, et cacher les crimes abominables commis à l’égard des familles irakiennes, de la nature et des animaux ? Comment un scientifique peut-il cautionner de telles monstruosités ? Les médecins qui composent l’OMS ont tous trahi leur serment d’Hippocrate et démontrent qu’ils ne sont que des larbins et des lâches courant derrière les privilèges en couvrant les intérêts de l’impérialisme US et de son bras armé Israël qui n’offrent à l’humanité que mort et désolation. Heureusement qu’il y a de nombreux scientifiques qui gardent leur intégrité intacte, sinon qu’adviendrait-il de l’humanité si tous vendaient leur âme comme l’ont fait les scientifiques de l’OMS ? Quoi qu’il en soit, que l’OMS publie son rapport ou non, qu’elle le cache sous le manteau ou sous le tapis, la vérité finira par rattraper tout le monde, et nous, à travers nos contacts et nos sources, nous connaissons les détails de ce rapport accablant qui dévoile le visage monstrueux de ces guerres menées contre le peuple irakien exsangue et contre ces mères qui donnent naissance à des bébés difformes. Les fonctionnaires de l’OMS ont peut-être vendu leur âme au diable pour quelques deniers mais il y aura toujours des voix qui dévoileront tout ce qui est caché et nous serons toujours là pour traquer les non-dits et les mensonges, surtout quand la vie de plus d’un million de bébés irakiens est en jeu. Les américano-sionistes qui ont déclaré la guerre non seulement au peuple irakien mais à tout le genre humain nous trouveront toujours en travers de leur route.
Combien de temps l’OMS va-t-elle cacher son rapport sur les crimes américains et britanniques en Irak ? D.R.
Bande de lâches ! Larbins ! Criminels ! En taisant votre rapport, vous êtes complices des souffrances de ces enfants ! Aucun mot ne peut refléter le martyre de ces bébés et de leurs mamans, et celui qui n’est pas ébranlé par les photos montrant ces enfants mutilés n’est pas humain. Si les rejetons des assassins et de leurs valets complices sont gâtés, pourris et bien à l’abri, des bébés irakiens, afghans, syriens, gazaouis, yougoslaves, et tant d’autres enfants à travers la planète, naissent difformes, malades, mourants, souffrant dans leurs chairs ravagées, à cause des saloperies que les maîtres de l’Empire ont déversées sur des pays pour engraisser leurs panses de bouchers. Des têtes doivent tomber, il faut juger ceux qui ont mutilé et massacré l’innocence. Aujourd’hui, en Irak, les mamans ne demandent pas si elles mettront au monde un garçon ou une fille, mais si l’enfant qui sortira de leur ventre sera normal ! Ceux qui ont commis ces crimes contre le peuple irakien sont-ils des êtres humains ? Peut-on vivre normalement après avoir commis ces crimes ? Il semble que oui, puisque George W Bush s’est découvert une âme « d’artiste peintre » et expose avec une vanité égale à sa noirceur ses « œuvres » picturales insipides représentant ses bichons et autres caniches. Au lieu de portraiturer Vladimir Poutine qui ne peut que rire devant le résultat, nous conseillons à celui qui se prétend émule de Rembrandt de réaliser une exposition intitulée « Portraits d’assassins de masse » dans laquelle figureraient ses différents autoportraits ainsi que la représentation de son caniche favori, Tony Blair, son complice dans le massacre irakien qui s’est enfui au Proche-Orient comme consultant pour éviter d’être traduit en justice et qui fait fortune à travers sa société « Tony Blair Associates » et en donnant des conférences. Conférences portant sur quoi, Monsieur Blair ? Sur la meilleure façon de massacrer les peuples ?
Si les massacreurs Bush père et fils (c’est une tradition familiale !), Blair et les autres, bénéficient de l’impunité parce qu’ils ont corrompu les institutions à coups de milliards de dollars, alors il faut dissoudre ces institutions gangrenées. Nous ne sommes pas les seuls à demander le jugement pour crimes contre le genre humain, contre l’environnement, contre toutes les espèces animales, contre la vie même !, des Bush père et fils, de Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Tony Blair, Benyamin Netanyahu, Paul Wolfowitz, Colin Powell, Condoleezza Rice, Madeleine Albright, John McCain et tous les néocons responsables du désastre irakien et de tous les ravages qui ont suivi en Syrie et ailleurs. Que ce soient les activistes, nos amis dans les gouvernements et les Etats de la résistance à l’Empire, les vrais militants qui résistent malgré les lois liberticides et l’acharnement pratiqué contre tous ceux qui luttent, nous résisterons et nous triompherons en traduisant ces nécrophages en justice. Nos amis du tribunal BRussels font un excellent travail dans ce sens, ainsi que ceux du tribunal Russel, et bien d’autres organisations qui ont constitué des collectifs à travers le monde pour traîner les génocidaires devant la justice. On a vu comment Blair s’est enfui du Royaume Uni le jour même où il a donné sa démission au gouvernement britannique par peur d’être jugé et comment George W Bush a renoncé à un voyage en Suisse car nos amis l’y attendaient de pied ferme avec un mandat. Ces gens sont des géants aux pieds d’argile, pour ne pas dire un néant dans l’histoire de l’humanité. Ce n’est qu’une question de temps, ils paieront tôt ou tard pour leurs crimes ignobles, car le système des néocons sionistes est un château de cartes qui s’effondrera de lui-même. Quant aux Français qui ne cessent de pleurnicher et de jouer les martyrs exclusifs en donnant des leçons de « démocratie » à toute la planète, qu’ils n’oublient pas que leur uranium offert par leurs valets du Niger a servi à détruire la race humaine.
Un rapport accablant les activités des criminels contre l’humanité est censuré sans qu’aucun des chantres autoproclamés de la « démocratie », ces « belles âmes » des salons de Paris, de Washington, de Tel Aviv ou de Londres, et leurs médias exécrables asservis, médias-excréments qui ne balancent que de la crasse, n’ose ouvrir le bec ? Nous ramènerons les informations les concernant d’où qu’elles viennent, du cœur de leurs palais, de leurs chambres à coucher, quels que soient les moyens mis en œuvre pour cacher leurs méfaits. L’inutilité des organisations comme l’OMS et l’ONU étant une fois de plus clairement démontrée, ces organisations fantoches doivent disparaître sur le champ. Elles ne font pas le travail pour lequel les contribuables les payent, qu’elles disparaissent définitivement. Quant aux Sganarelles de l’OMS, chercheurs sponsorisés par les grandes firmes pharmaceutiques liées à l’impérialisme, ils seront traduits devant un tribunal moral où le procureur n’aura aucune peine à démontrer qu’ils ont fermé les yeux sur les conséquences effroyables d’un génocide dans le but de protéger leurs maîtres.
A vous, les responsables de cette boucherie et complices, regardez bien les images de ces enfants, elles reflètent vos actes et votre silence. L’innocence déformée, mutilée, sacrifiée, est le reflet de votre âme immonde. Quant à nous, les résistants à l’Empire et au sionisme, nous avons la certitude que du champ de ruines que sont devenus les pays que vous avez ravagés pour les intérêts du 1%, jaillira la lumière qui vous emportera dans les ténèbres qui vous ont vomis.
Mohsen Abdelmoumen
Published on Oximity, January 28, 2015:https://www.oximity.com/article/Le-rapport-cach%C3%A9-de-l-OMS-sur-les-1
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