Seuls trois vaccins sont obligatoires en France. L’imposition de tout autre vaccin est illégale
Témoignage :
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j’ai vacciné pendant 33 ans, sans état d’âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l’innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable.
Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux ; jamais le dogme n’a été remis en question.
Il a fallu l’insistance et l’arrogance de Madame Bachelot à l’occasion de la grippe porcine pour que s’ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j’ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l’ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m’a apporté des révélations, m’a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j’ai découvert qu’il n’était qu’un escroc, avec une nombreuse descendance. J’en parlerai plus tard peut-être.
Comprenez qu’un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant « rapporte » au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n’incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J’ai franchi ce pas, après bien d’autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu’en fait ils n’ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l’entendre. En principe, celui qui se donne la peine d’étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.
J’ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer (Je n’ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c’est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus. Mon chiffre d’affaire n’a pas baissé, ce qui prouve qu’on peut le faire. Je vois moins d’enfants, et c’est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu’il faut. Voici, par exemple, pourquoi j’agis ainsi (mais j’ai des centaines d’articles tout aussi convaincants).
Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays): Diphtérie, Tétanos et Polio. L’imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.
Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison : « Qui aime bien, vaccine peu » qu’on peut commander sur editions-jouvence. De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu le film « Silence on vaccine » (en bas de page)
Vaccins : accédez à l’entièreté des faits
Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :
Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward « Ted » Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L’Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MD Máximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth « KP » Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel-Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD
Les signataires, ci-dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d’immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l’ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document.
MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent.
ND indique une formation médicale du niveau d’un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale.
FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n’arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C’est parce qu’ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :
• Allergies et eczema
• Arthrite
• Asthme
• Autisme
• Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d’effets secondaires
• Cancer
• Diabète juvénile
• Maladies rénales
• Fausses couches
• Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes
• Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN)
• Et beaucoup, beaucoup plus
Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :
• Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie
• Infections des oreilles
• Evanouissements (avec rapports de fractures consécutives)
• Insuffisance rénale nécessitant une dialyse
• Convulsions/épilepsie
• Réactions allergiques sévères, comme l’urticaire ou l’anaphylaxie
• Mort subite
• Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d’hospitalisation
• Le programme national d’indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d’1,2 milliard de dollars ($) d’indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.
L’autisme est associé aux vaccins
L’autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l’introduction des vaccins contre l’hépatite B et l’Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d’autres.
Prenez connaissance de l’information disponible sur le site fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables. Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d’assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.
• Les vaccins ne procurent pas d’immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.
• Chaque injection de rappel accroit le risque d’effets secondaires.
• Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.
• Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu’un accident survient après une vaccination. L’un et l’autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l’enfant (« National Child Vaccine Injury Act ») de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule :
« Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99-660)
Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font-ils pas ?
• Ils savent qu’il n’est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.
• Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.
• Ils savent que les vaccins génèrent de graves problèmes de santé.
• Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins.
La seule personne qui retire avantage d’être en bonne santé, c’est vous et ceux sur qui vous veillez.
• Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d’une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d’un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l’abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.
• Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.
• Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.
• Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.
• Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu’au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l’autisme, la grippe contre de l’asthme, des infections ORL pour du diabète,… et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.
Combien y a-t-il de vaccins?
Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d’ADN animal ainsi que de l’ADN humain issu de foetus avortés et de l’albumine humaine.
Si vous pensez que vous n’avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez-y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l’industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.
Certains composants des vaccins : Comment est-il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?
• Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués
• Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi-doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l’état de trace, dans plusieurs autres vaccins.
• De l’aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.
• Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d’humains.
• Du formaldéhyde (utilisé pour l’embaumement des morts), un cancérigène notoire.
• Du polysorbate 80, connu pour causer l’infertilité chez la souris femelle et l’atrophie
testiculaire chez la souris mâle.
• De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions
anaphylactiques et que l’on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre
la varicelle et le zona.
• Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance
connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d’autres troubles neurologiques.
Les conflits d’intérêts
• Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin. Selon le CDC, pour un groupe moyen d’environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les 100.000 $. Ces médecins s’enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.
Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organizations » – HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble-t-il, réprimandés par les compagnies d’assurance lorsque les taux de vaccination chutent.
Existe-t-il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés?
Une étude financée par Generation Rescue, appelée l’ « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d’enfants vaccinés vs. ceux d’enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :
• Les enfants vaccinés avaient 120% plus d’asthme.
• Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH)
• Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques
• Les garçons vaccinés avaient 146% plus d’autisme.
Les filles représentent seulement 20% du nombre total d’enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l’étude par vous-même, allez sur GenerationRescue.org pour lire un rapport sur la faible incidence de l’autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez survaccinationcouncil.org.Plus d’études encore au sujet de l’autisme, voir ici, et ici.
Les exemptions vaccinales aux Etats-Unis
Vous avez le droit de refuser ! Utilisez-le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables (exemptmychild.com) Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site vaccinationcouncil.org
Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.
Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux-mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions. Des milliers de témoignages écrits par des parents d’enfants non vaccinés au sujet de l’excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux – (se)/partenaire. Personne d’autre n’a à s’en mêler. Ce n’est pas l’affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !
Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.
• Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous-même et pour vos enfants. Vous n’avez aucun contrôle sur les conséquences d’une vaccination.
• Vous n’avez pas besoin d’un « pédiatre attitré » pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.
• Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n’était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D’énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l’injection de substances toxiques.
• Informez-vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent « prévenir ». Votre enfant n’entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c’était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s’en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.
• Informez-vous au sujet de l’importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d’eux- mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement (drtenpenny.com)
• Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n’est pas quelque chose qui s’injecte.
• Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l’exercice et de la joie de vivre.
• Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l’information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l’homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.
• Informez-vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l’a fait. Votre médecin n’a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l’industrie qui en font évidemment l’éloge.
• Sachez que vous payez pour les soins de santé ; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d’assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.
• Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.