La « NewZitiv » …Kézako???
Moi qui suis de nature « positive », optimiste, depuis pas mal de temps mon pourcentage de « positivité est plutôt négatif. Avec toutes ces infos qui circulent sur internet, la crise, le chômage, l’austérité, les mensonges et corruptions de nos cheeeeeers élites, il y a de quoi perdre les pédales!
Ne te laisse pas abattre ma p’tite Lylibre!! me suis je dit. Il y a de l’espoir, oui, il y a encore de l’ESPOIR, et l’espoir fait « VIVRE »!
Agacée de mettre en publication sur les Brindherbes des infos « négatives », j’ai cherché des infos positives. Il va s’en dire qu’il faut fouiller. Et…..je tombe sur le site « NewZitiv »….traduction « Nouvelles Positives »…. ALLELOUYA!! Mais qu’est ce donc….?????
Et je lis ceci :
NewZitiv, le site des bonnes nouvelles, s’inscrit dans cet élan d’optimisme depuis début 2011 en choisissant d’offrir des bonnes nouvelles aux internautes. Voici en 10 points, la preuve que le monde marche vers une pensée plus positive et tente de faire de la vision du « verre à moitié plein » une tendance à part entière.
1. Une table ronde sur le Bonheur National Brut (BNB), mis en place au Bhoutan, sera organisée au sein de l’ONU. Une bonne nouvelle pour les peuples du monde entier.
2. A l’occasion de ses 50 ans, l’OCDE a lancé l’initiative « Better Life » qui tente de mesurer au plus près le bien-être dans des dizaines de pays du monde.
3. Avoir une attitude positive, c’est bon pour la santé. Une récente étude réalisée par l’Université du Michigan, publiée dans la revue médicale Stroke, et relayée le 26 juillet par seattlepi.com démontre que les personnes les plus optimistes sont les plus heureuses (et non l’inverse !) et qu’elles se portent mieux que les éternels cyniques ou les râleurs compulsifs. En effet, la pensée positive a un impact biologique sur les risques de problèmes cardio-vasculaires et d’AVC, sur la pression sanguine, la tension artérielle, mais également le stress et l’anxiété. Se sentir mieux et éviter quelques tracas est donc à la portée de tous !
4. Les marques ont compris que les consommateurs ont besoin de voir le ciel un peu plus bleu. Alors elles positivent, elles créent des crèmes « Happyderm », « Happylogy », elles mettent en place des campagnes « live positively » et servent du « think positive » à toutes les sauces. Les voitures sont sources de joie, les crèmes sont heureuses, les aliments et autres boissons sont complices de votre bonheur. La publicité comprend d’ores et déjà la puissance de ces termes positifs.
5. Le monde change grâce au web et ces nouvelles formes de révolutions s’avèrent être positives. Le net devient le liant, les populations y puisent aussi leur courage en y rassemblant leur énergie commune. Et il est donc important de souligner que le web est utilisé de plus en plus souvent à des fins solidaires et positives. Les réseaux sociaux servent AUSSI à sauver des vies mais on le dit encore trop peu… Exemple.
6. Les réseaux fédérateurs autour de l’optimisme se développent : la Ligue des Optimistes (dont Jean d’Ormesson et Matthieu Ricard sont des membres actifs), la page Facebook « Positivez. C’est contagieux » de Thierry Saussez, « Positively Positive » qui regroupe presque un million de fans, « Quiero un día de sólo buenas noticias » qui milite pour une bonne nouvelle chaque jour, etc…
7. Depuis toujours, ceux qui ne cessent de passer des messages d’espoir et de bonheur sont évidemment les artistes. De « Three Little Birds » (Bob Marley) à « Don’t Worry, Be happy » (Bobby McFerrin), de « J’irai au bout de mes rêves » (JJ Goldman) à « Tout le bonheur du monde » (Sinsemilia), de « Y’a d’la joie » (Charles Trenet) à « We are the world » (Michael Jackson), on retrouve cette même envie de porter les foules avec le sourire. Et il y a même « Une bonne nouvelle » de Mathieu Boogaerts, qu’on ne peut s’empêcher de souligner comme « Bonne Nouvelle » de Francis Cabrel !
8. Les livres aussi sont des passeurs d’idées essentiels. Et eux aussi surfent sur la vague de l’optimisme ! Du « Manifeste pour l’optimisme » de Thierry Saussez à l’ « Eloge de l’optimisme – Quand les enthousiastes font bouger le monde » de Philippe Gabilliet, de « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle au « Mystère du Nocebo » de Patrick Lemoine, les pages noircies se font lueur d’espoir… Il y a une volonté de transmettre un nouveau regard sur la vie et le monde, différent de celui qui est habituellement véhiculé par les médias de masse.
9. Les événements et les démarches pour la bonne humeur ambiante se multiplient. La fête des voisins, le mouvement de l’Happy Art, le rallye de la bonne humeur, l’école du rire, le club de la bonne humeur, la journée de la générosité, la police de l’amour dans le métro,… Des initiatives qui trouvent un public de plus en plus réceptif.
10. Enfin, les médias sont souvent accusés d’être anxiogènes à dessein pour faire exploser l’audimat ou pour booster les ventes à renfort d’actu choc et d’info tragique. Mais de plus en plus, des dossiers (111 raisons d’être optimistes par l’Express – 07/2011…), des émissions (Leur secret du bonheur sur France 2 par Frédéric Lopez – 09/2011, JT suisse des bonnes nouvelles,…), des numéros spéciaux, ou même des organes de presse (le blog des bonnes nouvelles sur lemonde.fr, Good News Magazine,…) fleurissent pour proposer une information tout aussi sérieuse mais qui s’intéresse non plus à ce qui se passe mal, mais à ce qui se passe bien.
La tendance est donc là, sous-jacente, et les graines semées sont en train de fleurir un peu partout dans le monde. NewZitiv fait clairement partie de ce mouvement.
source: http://www.newzitiv.com/31786-une-tendance-qui-se-confirme-loptimisme/
……. du ciel bleu???? ça sent le » j’te prend pour un con » !
Alors, Parano, quand tu me tiens! Il y a des paragraphes qui m’ont quelques peu titillé mes neuronnes. J’ai donc fait quelques petites recherches et analyses. Attention! Ce ne sont que mes analyses. Peut être allez-vous me certifier de ma parano?!
Déjà , premier point, cette initiative est organisée par l’ ONU…. (pour moi, méfiance)
Deuxième points, l’initiative Better life : http://www.oecdbetterlifeindex.org/ (traduction de google)
Comment définissez-vous une vie meilleure? Ce qui importe le plus pour vous – bonnes écoles, des rues sûres ou autre chose?
L’Initiative de l’OCDE Better Life propose un outil interactif, Votre Better Life Index, qui vous permet d’évaluer votre pays sur les choses que vous jugez faire pour une vie meilleure.
Une amélioration de Better Life Index a été lancé le mardi 22 mai 2012.La version mise à jour intègre les données sur le genre et les inégalités et renforce les sujets existants. Les visiteurs de votre Better Life Index sera désormais en mesure de comparer leur bien-être les priorités à celles des autres utilisateurs par pays, l’âge et le sexe, et de partager leurs résultats. L’indice de mise à jour comprend également deux nouveaux pays, la Russie et le Brésil. L’indice est disponible en français et est intégrable pour les sites et les blogs.
L’indice permet aux citoyens de comparer le bien-être à travers 34 pays, sur la base de 11 dimensions de l’OCDE a identifiés comme essentiels, dans les domaines des conditions de vie matérielles et la qualité de la vie: logement, revenu, emploi, communauté, éducation, environnement, gouvernance, la santé, la satisfaction de vie, la sécurité, équilibre travail-vie.
L’OCDE n’est pas de décider ce qui rend pour une vie meilleure. VOUS décidez pour vous-même.
BigBrother…. hummm….???
L’OCDE….article « Les tentacules du Mondialisme »…rien que le titre fait hérisser le poil!
Le mondialisme n’est pas un fantasme, mais une réalité agissante au travers de bureaucraties multiples. Ceux qui nous poussent sur la voie sans retour de la soumission à la « gouvernance mondiale » ne souhaitent pas qu’il y ait de prise de conscience à ce sujet.
Aussi s’efforcent-ils de faire croire que les pouvoirs nationaux subsistants possèdent encore un minimum d’indépendance. De là les nombreuses rencontres internationales très médiatisées, où les chefs d’État souriants, se tiennent par la main. Pendant ce temps, les véritables maîtres des destins de la planète, moins connus, tissent leur toile sur nos têtes sans se voir mis en cause. Derrière des sigles divers – FMI, OMC, OCDE, OTAN … -, ils interviennent dans nos vies quotidiennes, en dehors de toute possibilité de les contrôler et de s’opposer à leurs volontés.
Les cinq griffes qui déchirent notre libertéLe mondialisme ne reconnaît pas les nations, il préfère raisonner sur les « espaces spacio-économiques ». La domination financière s’avère son obsession. Il nous faut donc partir du FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL, le FMI.
❍ Le FMI est issu de la conférence de Bretton Woods, tenue en 1994. Il fonctionne depuis fin 1945 à Washington, une localisation significative. Il est censé s’occuper de la stabilité et de la liberté des changes, octroie des prêts aux États, et crée pour cela des « liquidités internationales », baptisées droits de tirages spéciaux, y adhèrent presque tous les pays du monde, mais sa direction est assurée par l’Amérique, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Japon et la France.
Le rôle de notre pays diminue de décennie en décennie. Le directeur général était traditionnellement un Français. C’est fini depuis l’an dernier. L’Allemand Horst Köhler a été agréé par Washington. Le pouvoir du FMI (qui dispose d’énormes réserves en or) est extraordinaire. Il peut faire s’écrouler en 24 heures l’économie d’un État récalcitrant à ses directives. Seuls les États-Unis sont en mesure de les ignorer, s’ils le jugent bon. En particulier, les pays en développement sont victimes du FMI, dont la politique vise à maintenir la domination des multinationales, et à empêcher la formation de classes moyennes.
En complémentarité avec le FMI, on trouve la BANQUE MONDIALE, qui a également son origine dans les accords de Bretton Woods, et qui finance plus particulièrement de grands projets de développement. Son siège est à Washington, son président depuis 1995 est l’Australien James Wolfensohn. La Banque mondiale joue un rôle décisif dans l’orientation de la politique des pays en développement. Elle n’hésite pas à intervenir dans des domaines qui ne sont pas les siens, par le chantage au crédit.
❍ L’OMC – ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE – part elle aussi du concept d’espaces spacio-économiques, qui ne tient pas compte des nations. Néanmoins, à la différence du FMI, beaucoup plus concentré dans son action, l’OMC ressemble par certains côtés à l’ONU, et fait figure de parlement du commerce international. Mais son évolution, sous la pression de Washington, la pousse à se subordonner de plus en plus au FMI et à œuvrer pour la suppression de tous les obstacles nationaux aux échanges, autrement dit pour l’anéantissement de toute protection.
L’OMC a remplacé le GATT, jugé trop lourd, le 1er janvier 1996. Elle regroupe presque tous les États. Son siège est à Genève, le pouvoir réel n’y est pas détenu par les pays représentés, mais par les hauts fonctionnaires internationaux permanents. En 1999, la succession du directeur général Ruggiero, un Italien, a donné lieu à une empoignade digne de marchands de tapis, et a abouti au resserrement de l’emprise des Anglo-saxons, avec la nomination du Néo-Zélandais Mike Moore. L’OMC est le théâtre des controverses américano-européennes, toujours terminées à l’avantage de Washington.
❍ L’OCDE – ORGANISATION DE COOPERATION ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES – est de création plus récente (1960) que les autres systèmes mondialistes.
Il s’agit de la transformation d’un organisme à l’origine cantonné à l’Europe occidentale. Vingt-neuf États, les plus riches, en sont membres. Le but de l’OCDE, dont le siège est au château de la Muette, à Paris, est de contribuer « au bon fonctionnement de l’économie mondiale ». Elle fonctionne parallèlement au FMI, en diffusant des analyses de situations économiques, qui ont quasiment force exécutoire. Ces analyses viennent d’être dénoncées par des économistes comme étant fondées sur la volonté politique des États membres (surtout les États-Unis) plus que sur la réalité économique. L’OCDE possède des organismes spécialisés, tel le club du Sahel, ou l’Agence pour l’Energie nucléaire. Son secrétaire général actuel est le Canadien Donald Johnson.
❍ L’OTAN – ORGANISATION DU TRAITE DE L’ATLANTIQUE NORD. Née du traité de Washington, en avril 1949, son siège a d’abord été fixé à Paris jusqu’en 1967, puis transféré à Bruxelles. L’OTAN comptait 12 membres à l’origine, en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord, puis s’est considérablement élargie. Elle avait pour but initial de contenir militairement l’expansionnisme soviétique. Elle avait perdu sa raison d’être en 1990-1991, avec la disparition du bloc de l’Est. La volonté de Washington lui a alors donné un autre rôle, avec une extension planétaire (sous l’appellation de « Partenariat pour la Paix »).
L’accent a été mis sur la défense «offensive» des « valeurs démocratiques »,L’OTAN est le bras armé du mondialisme. comprises comme conformes aux vues de la Maison Blanche. Les armées soumises au commandement de l’OTAN sont dépendantes de la logistique nord-américaine, et subordonnées aux stratèges du Pentagone. Le secrétaire général de l’OTAN est un civil (dernier en date, l’Espagnol Javer Solana), son chef militaire toujours un général américain (depuis 1997, le général Clark).
Les ONG – ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES DES NATIONS UNIES
– sont des associations à buts ponctuels fonctionnant dans la plupart des pays et qui s’ingèrent dans leurs affaires, au nom tantôt de l’écologie (Greenpeace) ou de l’humanitaire (Amnesty International), ou pour toutes autres raisons. Les principales d’entre elles frappent les mêmes cibles en même temps avec une redoutable efficacité. Elles contribuent à organiser les campagnes médiatiques à l’échelon planétaire, servent à justifier des interventions armées, et prolongent la logistique militaire du système mondialiste, comme on l’a observé entre autres au Kossovo.Ces cinq «griffes» sont de maniements différents, mais concourent toutes au même but : liquider l’autonomie des nations afin de parvenir à un gouvernement mondial, sous la coupe de puissances financières, couvertes par le formidable arsenal des États-Unis, qui aspirent de façon non dissimulée à régenter tout l’univers et à se muer en États-Unis du globe terrestre.
L’histoire de l’humanité indique que cette aspiration est vouée à l’échec. Il n’empêche que ses instruments sont en place et s’affinent.
Dossier réalisé par Nicolas Plu
Sur le 4ième paragraphes:
Les consommateurs ont besoin de voir le ciel un peu plus bleu…????….crème « Happyderm » Happylogy »…..???? oupsssssssssssssss!!!
Pour être « Newzitiv », ne faudrait il pas avertir les consommateurs des risques liés aux OGM, pesticides, colorants, édulcorants, additifs et j’en passe?? Du ciel bleu….?? Ils nous prennent vraiment pour des incultes de bas étages!! Pour des endoctrinés ! Pour des moutons!Pour des pigeons!!
Sur le 5ième paragraphes: Le monde change grâce au web…. oui c’est vrai, mais il ne faut pas tomber dans le piège! N’est ce pas?
Sur le 6ième paragraphes… l’apothéose du genre!
Mr Jean d’Ormesson , ancien directeur du Figaro, écrivain, journaliste….en 2012 il soutient Sazkozy. source wikipédia.
Thierry Saussez, ancien présient de l’agence « Image et Stratégie Europe »…..( STRA…TE…GIE…moi, ça me fait flipper), et conseiller en communication de Sarkozy ( encore lui, ça me fait doublement flipper), nomméà la tête du serice d’information du gouvernement (SIG)…. source Wikipédia
Il y a de quoi se poser des questions sur le « bien » fondé de cette initiative plus que doûteuse.
Rien que ça, me donne la nausée et j’ai envi de hurler à la supercherie d’un nouveau genre.
N’essayeraient-ils pas de faire accepter à nos jeunes et moins jeunes, encore ignorants, que manger un MCDO COCA LIGHT, ou un steack de boeuf nourrit aux OGM et farine animale, avec la NewZitiv attitude, leur apporteront de la joie ,de la bonne humeur et du ciel bleu plein la tête??? N’essayeraient-ils pas d’inciter les gens à la NewZitiv pour les empêcher de voir la réalité de ce qui se passe sous nos pieds et au dessus de nos têtes??
Arnaque ou réelle envie de changer les choses??
ET VOUS ? QU’EN PENSEZ VOUS??
LYLIBRE.