L’État français démuni face aux cyber-attaques :
Brindherbe01 » Pierrot » : Bizarre aujourd’hui c’est pas un maghrébin islamiste terroriste psychopathe ? J’ oubliais, il faut changer de temps en temps un Asiatique ça fera l’ affaire, sinon les gens commenceraient a se poser des questions…
Sans déconner : cela aurait coûté un point sur le PIB à la France ????? Sincèrement, il se foutent vraiment de notre g*****, et pourquoi ne serait ce pas les 200 ingénieurs qui servent a rien qui auraient coûté un point au PIB Français.
Et le pire c’est que les investisseurs sont capables de gober ces sornettes, ce qui fera gagner aller soyons optimiste : 0.2 % au Cac pendant 5 heures ?
L’Elysée a été la cible de deux cyber-attaques en l’espace de quelques mois, révèle « Le Télégramme » mercredi 11 juillet. La dernière remonterait à mai dernier, entre le second tour de la présidentielle, le 6 mai, et l’entrée en fonction de François Hollande, le 15 mai.
Plusieurs sources citées par « Le Télégramme » affirment que l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), le dispositif français de protection contre les cyber-attaques, a alors passé trois jours entiers à reconstruire les systèmes d’information de l’Elysée, dans le plus grand secret.
L’Etat, qui limite au maximum la communication sur les attaques dont les réseaux gouvernementaux sont victimes, est de plus en plus préoccupé par la vulnérabilité de son dispositif informatique. Interrogé par « Le Télégramme », le sénateur Jean-Marie Bockel, qui doit rendre un rapport sur le sujet le 18 juillet, estime que « la coordination entre les différents ministères est trop faible, quand la porosité des systèmes est trop forte ».
L’attaque de Bercy en 2011 aurait coûté un point de PIB à la France
Le ministère de l’Economie et des Finances avait lui aussi été victime d’une cyber-attaque en mars 2011. Le gouvernement avait alors évoqué une attaque « venant d’Asie », accusant à demi-mots la Chine d’être à l’origine des faits. L’enquête menée sur ce piratage avait ensuite permis de découvrir que des régiments spécialisés de l’armée chinoise pourraient se cacher derrière la cyber-attaque de Bercy. Attaque qui, selon une source du « Télégramme », aurait coûté un point de PIB à la France après avoir été révélée.
L’Anssi, en charge de la sécurité du réseau informatique gouvernemental, a été créée en 2009. Elle est dirigée par Patrick Pailloux, un ancien des services techniques de la Direction générale des services extérieurs (DGSE), et est directement supervisée par des conseillers de Matignon. Elle compte environ 200 ingénieurs.
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source : le NouvelObservateur