Grippe: 20 millions d’euros par an pour des vaccins seulement « efficaces » dans 1,5 à 10% des cas

La Cour des Comptes (qui milite de façon tout à fait déplacée et idéologique en faveur des vaccins alors que cela n’a pourtant rien à voir avec les prérogatives de ses magistrats) vient de sortir un rapport sur la politique vaccinale française.

Dans ce rapport, on y apprend que le coût des vaccins antigrippaux pour la Sécurité Sociale est d’environ 20 millions d’euros par an (hors coût de consultations) et ce, alors que l' »efficacité » de ces vaccins se situe entre … 1,5 et 10% tout au plus!

 

En effet, les prétendus 60 ou 70% d' »efficacité » n’équivalent pas à 60 à 70% des vaccinés épargnés par la grippe, non, en réalité, de tels chiffrent s’obtiennent si, dans les essais cliniques – auxquels on fait souvent dire ce qu’on veut, surtout quand ce sont les labos qui les financent – il y a par exemple 1 malade en moins de la grippe dans le groupe « vacciné » que dans le groupe non vacciné! En réalité, le vaccin ne « préviendra » la grippe que chez 1,5 personne sur 100, tout en faisant courir un risque d’effets secondaires à 100% des gens et tout en créant bien plus de problèmes et d’effets secondaires directs ou indirects que cela. On est donc bien dans un phénomène d’efficacité tout à fait négative puisque par ailleurs, comme étudié par l’immunologiste américain Pr Fudenbergh, 5 vaccinations antigrippales successives multiplient déjà par 10 le risque de survenue d’une maladie d’Alzheimer…

 

Même si on veut « être optimiste », on doit bien constater que la vaccination antigrippale, même cette année, n’aura évité, selon le constat des Centres de Contrôles des Maladies américains (CDC), que 10% des infections à influenza, tout en augmentant bien sûr le risque de symptômes pseudogrippaux car cette vaccination, comme toutes les autres, en leurrant le système immunitaire, contribue à l’affaiblir et à le déprimer, le laissant donc plus démuni face à un lot d’infections opportunistes hivernales.

 

Parallèlement au constat incontournable d’un gaspillage aussi désespérant, il convient aussi de faire le lien entre cette actualité et celle qui vient de rappeler la dramatique sous-estimation de la toxicité de produits chimiques à soi-disant « faible dose » et également en « cocktail synergique », notamment dans les aliments. Pourquoi: parce que le journal Le Monde, qu’on ne peut tout de même pas accuser d’anti-vaccinalisme, vient justement de publier un article intitulé «  Le scandale alimentaire qui s’annonce« , dans lequel on peut notamment lire:

 

« Nul besoin d’une vaste enquête pour avoir une idée de l’incroyable pharmacopée destinée aux animaux d’élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux douvicides (contre des vers parasites), anticoccidiens (parasites de l’intestin), anthelminthiques (vermifuges), hormones, vaccins, neuroleptiques et antibiotiques.

 

Sait-on comment l’oxytétracycline se mélange avec la gonadolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l’azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d’un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d’une bonne vache charolaise ?

 

Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n’est menée. Il n’est pas dit qu’elles seraient possibles.

 

Lorsque c’est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. Le 3 août 2012, la revue PloS One publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l’agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central.

 

Commentaire de l’un des auteurs, Claude Reiss : « Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés. »

 

Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie –peut-être – à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ouAlzheimer.

 

Cette découverte est cohérente avec les grands changements en cours dans la toxicologie, qui étudie les substances toxiques. »

 

En effet, jusqu’ici, chaque toxicologue répétait à tue-tête que « la dose fait le poison » et c’est d’ailleurs encore le vieux discours périmé que tous les ministres de la santé osent sortir quand ils sont interpellés par des parlementaires sur des toxiquescomme l’aluminium ou encore le borate de sodium inclus dans les vaccins.

 

Or voici ce que le Monde précise sur le bisphénol qui pourrait bien être n’importe quel composant de vaccins puisqu’aucun vaccin ne fait jamais l’objet d’études destinées à évaluer son potentiel cancérogène ou d’études pharmacocinétiques destinées à étudier le comportement des différents ingrédients une fois dans le corps (et donc les synergies possibles!):

 

« Or les perturbateurs agissent à des doses si faibles que l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l’un d’eux, le bisphénol A, étaient avérés à « des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires ».

 

Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible (DJA) du bisphénol A – sa limite légale – pourrait être divisée par… 2 millions, selon le toxicologue André Cicolella.

 

Le bisphénol A pourrait même « avoir des effets plus importants à très faible niveau d’exposition qu’à haut niveau », ce qui mettrait à bas tout l’édifice. »

 

Par conséquent, rien, absolument rien de scientifique, ne vient étayer la témérité oratoire de ministres comme Laurette Onkelinx ou Xavier Bertrand quand ils minimisent les risques de l’aluminium ou du borate de sodium vaccinaux car enfin, on vient de le voir, qu’en est-il de leurs interactions avec les autres composants vaccinaux? Qui peut garantir aux parents et aux patients que la « dose journalière admissible » de ces substances toxiques ne devrait-elle pas elle aussi être largement revue à la baisse, si pas divisée par 2 millions? Personne ne peut le nier puisque personne ne veut vraiment chercher ni savoir, les risques commerciaux étant bien trop grands!

 

Et ceux qui, à l’instar de la Cour des Comptes française, se permettent de recommander, sur une base aussi aveugle, le renforcement généralisé des politiques vaccinales (qui coûtent au moins 400 millions d’euros annuels dans ce pays!), auront un jour des comptes à rendre dans de futurs scandales sanitaires à venir, toute vérité finissant toujours tôt ou tard par se savoir. Lorsqu’on sait que cette instance (la Cour des Comptes française) a pour slogan « S’assurer du bon emploi de l’argent public, en informer le citoyen » et qu’elle écrit sur son site que la vaccination est « un outil essentiel de la disparition en France des grandes pandémies qui ont marqué le passé« , on ne peut qu’émettre le souhait que ces gens se recyclent d’urgence -eux ou leurs experts enfin- en épidémiologie et en histoire des sciences et de la médecine. Quant aux sites « de référence » qu’ils aimeraient voir apparaître en haut de liste dans Google, à savoir des sites comme Infovac (dont les experts comme Claire Anne Siegrist ou Robert Cohen ont de lourds conflits d’intérêts avec les industriels du secteur), nous leur suggérons d’y substituer plutôt celui de Pharmacritique ou encore d’Initiative Citoyenne…Ca, ça serait au moins un gage de fameuses économies d’euros et de vies!

 

Source: http://www.initiativecitoyenne.be