Phytothérapie : Éliminer les infections sans antibiotiques

Bon à connaître,  par ceux qui veulent éviter les antibiotiques de Big Pharma et tenter d’abord un traitement doux et ne recourir aux antibios qu’en dernier ressort et par ceux qui se trouvent dans une situation où ils n’ont pas accès aux soins pour une raison ou une autre.

Éliminer les infections sans antibiotiques

En tout premier lieu, soutenir ses défenses immunitaires :

« Le microbe n’est rien et le terrain est tout », a mis en évidence le médecin Claude Bernard. Pour soutenir ce terrain, et plus précisément les défenses immunitaires endogènes, les plantes peuvent vous aider à constituer un bouclier. Certes, une bonne immunité dépend en premier lieu de votre mode de vie : un nombre d’heures de sommeil suffisantes, des temps de relaxation pour contenir le stress, l’absence de déficits nutritionnels et un apport suffisant en minéraux, vitamines (C, B1) et en oméga 3 sont des réflexes à adopter en prévention ou face aux infections. Une supplémentation en vitamine D s’avérera également particulièrement utile en hiver, mais gardez tout de même la complémentation en zinc pour la prévention et arrêtez-la lors des épisodes infectieux.

Des végétaux et des infections

« Le microbe n’est rien et le terrain est tout », a mis en évidence le médecin Claude Bernard. Pour soutenir ce terrain, et plus précisément les défenses immunitaires endogènes, les plantes peuvent vous aider à constituer un bouclier. Certes, une bonne immunité dépend en premier lieu de votre mode de vie : un nombre d’heures de sommeil suffisantes, des temps de relaxation pour contenir le stress, l’absence de déficits nutritionnels et un apport suffisant en minéraux, vitamines (C, B1) et en oméga 3 sont des réflexes à adopter en prévention ou face aux infections. Une supplémentation en vitamine D s’avérera également particulièrement utile en hiver, mais gardez tout de même la complémentation en zinc pour la prévention et arrêtez-la lors des épisodes infectieux.

Des végétaux et des infections

En termes de plantes, évoquons celles qui ont des propriétés immunomodulantes ou stimulantes à même d’éviter que l’infection ne s’installe. Il faut en premier lieu citer les échinacées (Echinacea angustifolia et purpurea) qui stimuleront l’activité de vos macrophages, le nombre de vos globules blancs (leucocytes) et celui de vos immunoglobulines (voir Plantes et Santé n° 152).

On pourrait également évoquer le curcuma, habituellement plus connu pour ses propriétés anti-inflammatoires, qui améliorera également, même à faible dose, la réponse de vos anticorps (macrophages, neutrophiles, cellules tueuses naturelles).

Parmi les grands généralistes à mettre à l’honneur du fait de leur large spectre d’action, citons l’ail, un des meilleurs antibiotiques naturels. La plante et son principe actif (l’allicine) ont montré des effets inhibiteurs sur des bactéries aussi différentes que Salmonella enteritidis et Escherichia coli, (gastro-entérites, infections urinaires), streptocoques de la flore buccale, Klebsiella pneumoniae ou staphylocoque doré impliqués dans de nombreuses maladies nosocomiales.

Les études montrent que son pouvoir antibactérien diminue avec le temps de stockage et à la cuisson. Aussi, préférez le cru, frais et broyé. En préventif, il stimule en outre la multiplication des macrophages et des lymphocytes. Autre antibactérien d’une grande efficacité issu du règne végétal, l’extrait de pépin de pamplemousse, utile sur les infections de la sphère ORL,
la grippe, les affections bronchiques et les infections intestinales ou vaginales.

Certaines armes végétales anti-infectieuses ont des affinités avec tel ou tel système du corps. Ainsi en est-il de la busserole pour le système urinaire ou de la bardane pour les infections cutanées : en teinture mère, utilisée pure en compresse (environ 100 gouttes), sa concentration en arctioside en fera une arme utile contre furoncles, abcès et anthrax. Rappelons ici cette règle qui vaut pour les plantes et les huiles essentielles, comme pour les antibiotiques : il ne faut pas les arrêter aux premiers signes de recul de l’infection, mais bien les continuer au-delà de la disparition apparente des symptômes, d’une dizaine de jours pour les infections courantes à plusieurs semaines pour des foyers infectieux plus installés.

Une des raisons de la résistance des bactéries aux traitements tient à leur incroyable intelligence collective, produit de stratégies de survie élaborées sur des millions d’années.

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SUITE DE L’ARTICLE :

http://www.plantes-et-sante.fr/soigner/eliminer-les-infections-sans-antibiotiques

Je vous rappelle que l’argent colloïdal est également un anti-infectieux très efficace :

https://lesbrindherbes.org/2014/11/29/argent-colloidal-le-produit-indispensable-de-votre-pharmacie/

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